19.11.14

Changer de cadre ... changer de vie !!

Ça prend du courage pour changer... ?
Puissants outil de développement personnel, le coaching et les approches humanistes alternatives proposent des techniques destinées à favoriser le changement, à atteindre des objectifs personnel d’épanouissement. Ces démarches nécessitent la vérification de quelques points importants avant d’être mises en œuvre. Il s’agit notamment de savoir précisément d’où l’on part avant toute exploration ultérieure des objectifs souhaités.
Ce point de départ se nomme « état présent », et le point d’arrivée « état désiré ». Ces états sont des moments de l’expérience subjective qui se composent par addition d'états internes, de processus internes, de comportements extérieurs caractérisant la perception qu'a la personne de sa propre expérience. Les croyances, les représentations, les stratégies mentales, les méta programmes et les émotions participent à l’état présent comme à l’état désiré.

Si nous admettons que les états internes (ce que je ressens), les processus internes (comment j'organise ma pensée) et les comportements (comment je m'exprime et j'agis) sont interdépendants les uns des autres, alors le moindre changement de l’un se répercute automatiquement sur les autres.

Bien connaître l’état présent  permet de mieux répondre aux questions suivantes :
  • Qu'est ce que je ne veux plus ?
  • Qu’est-ce que je veux à la place ?
L’état désiré sera la réponse à «qu’est-ce que je veux à la place». Aujourd'hui, maintenant... tout cela reste contextualisé. Un état désiré peut donc être la conséquence d’un objectif, mais un état désiré peut aussi être un objectif à lui seul.

Alors, est-ce que ça prend vraiment du courage pour changer ?
Oui et non...
En changeant le cadre dans lequel nous évoluons, nous changeons notre expérience.

Isabelle Pitre Coach de vie
 


18.11.14

Réflexion du jour

SUIS-JE À MA PLACE ?

Les gens ont parfois beaucoup de difficulté à déterminer exactement ce qu'est leur place. Nous entendons souvent des phrases comme: "Comment puis-je savoir si je suis à ma place ?" ou "Je ne sais pas si ce que je fais ...est bon". Les doutes occupent alors une partie de leur esprit.

Une des façons d'arriver à retrouver le fil conducteur de la vie est de vous rappeler un moment précis de votre vie où vous avez connu une grande satisfaction. Quelle a été l'expérience ? Comment l'avez-vous vécu ce moment ? Qu'est-ce qui était satisfaisant et qu'avez-vous ressenti exactement lors de cette grande satisfaction ?

Ces sentiments de satisfaction et de joie ressentis pendant ce moment sont une façon de communiquer que «la vie» utilise pour vous faire savoir que vous êtes sur la bonne voie, en lien avec ce pourquoi vous avez été conçu.

Lorsque vous vivez des moments de doute ET d'ennui, peu importe la sphère de votre vie qui est le plus affectée, c'est aussi une façon de communiquer que «la vie» utilise pour vous faire savoir que vous êtes cette fois-ci «dans le champ»... vous allez dans la mauvaise direction. Reprenez-vous... Réévaluez vos besoins... car...

Lorsque vous êtes à votre place et que vous poursuivez sur la route de vos passions, les opportunités ne peuvent pas s'empêcher de se présenter à vous comme des fruits mûrs. Les gens et les outils semblent vous trouver avec facilité. Vos réussites se succèdent les unes à la suite des autres dans un mouvement continue.

1.11.14

S'arrêter... condition première de la guérison


«C'est une chose merveilleuse que de s'arrêter. En s'arrêtant, le calme devient possible, la paix devient possible et avec elle la guérison».
S'arrêter veut dire: prendre une bonne respiration et aussi, expirer de manière à cesser totalement la course qu'il y a dans l'esprit ou dans le corps. Car lorsqu'on ne court pas au sens propre, on le fait au sens figuré... et comme ce qui est en Bas est comme ce qui est en Haut, c'est partout finalement que se manifeste cette frénésie. Tant que nous continuons de courir après quelque chose ou pour échapper à quelque chose, la course continue. S'arrêter, être calme, en paix, est la condition première de la guérison. C'est à partir de là qu'on commence à se sentir apaisé et reposé.
Grâce à cet acte volontaire, nous pouvons pratiquer notre vision intérieure et même regarder plus profondément. S'attarder à voir la véritable nature de la maladie, le sens caché de la douleur qui n'est là au fond de nous que pour être reconnu. Regarder devient plus facile une fois qu'on s'est arrêter, et avec cette vue profonde s'installe le sens et la compréhension. Nous avons vu, reconnu, accueilli, accepté ce qui est; sans juger du pourquoi et du comment, sans prétendre tout savoir, sans justifier ou argumenter et dans l'absence de temps, là... maintenant.
Nous survivons aux douleurs. Nous traversons la souffrance. Nous en supportons l'intensité et la durée parce que notre conscience SAIT comment survivre. Alors, donnons-lui la chance de se manifester.

UNITÉ

  Le principe de responsabilité universelle implique un niveau de conscience qu'on peut toutefois apprendre à développer. Ce n'est p...