20.12.17

Plus près qu'on ne le croit

Mes amis(es), avoir l'esprit des fêtes, c'est de garder a l'esprit qu'il nous importe de donner a ceux qui en ont moins...
Souvenez-vous de la petite marchande d'allumette, ce célèbre conte de Hans Christian Andersen. Pour ceux et celles qui ne s'en souviennent pas...
L'histoire se déroule au soir du Nouvel An. Une petite fille marchande d'allumettes erre en guenilles dans les rues enneigées d'une ville, sans trouver aucun acheteur. Cette petite fille est exploitée par son père, qui la battra si elle ne rapporte pas d'argent. À la fin de la journée, épuisée et grelottante mais n'osant rentrer à la maison, elle se blottit dans une encoignure entre deux maisons.
Pour se réchauffer, elle craque une allumette. Elle est aussitôt émerveillée par la flamme, qui rend le mur transparent et laisse voir un grand poêle en fonte aux ornements de cuivre. Malheureusement, l'allumette se consume.
Elle frotte alors une seconde allumette et aperçoit la table richement garnie d'un repas de fête. Sur une belle nappe blanche couverte de vaisselle en fine porcelaine trône une appétissante oie rôtie, garnie de compote de pommes.
Une troisième allumette lui montre un magnifique sapin de Noël, orné de bougies multicolores et d'innombrables jouets. Mais quand l'allumette s'éteint, l'arbre semble monter au ciel et ses bougies se transformer en étoiles. L'enfant se souvient alors des paroles de sa grand-mère décédée depuis peu, le seul être qui l'ait aimée : « quand on voit filer une étoile, c'est une âme qui monte au paradis ».
Une quatrième allumette produit une grande clarté et fait apparaître la grand-mère. Alors l'enfant allume fébrilement tout le reste des allumettes, de peur de voir sa grand-mère s'évanouir comme les visions précédentes. Mais la vieille femme prend l'enfant dans ses bras et toutes deux s’envolent au paradis.
Le lendemain, on retrouve la petite fille sans vie, avec un grand sourire aux lèvres. On la croit morte de froid, ignorant qu'elle a rejoint pour toujours sa grand-mère chérie pour jouir de la félicité céleste.
Des marchands d'allumettes, on en retrouve partout autour de soi. Suffit de bien regarder et d'avoir un cœur ouvert.
Ils / elles ne viendront pas frapper directement a votre porte pour demander de l'aide, mais en quelque part... vous sentirez ce qu'est la bonne chose a faire pour allez vers eux, aider ces gens plus démunis.
Soyons charitable !
Aimes ton prochain comme toi-même xx



15.12.17

Avoir du guts ...


L'une des plus intéressantes choses que j'ai mis à mon calendrier cette année, ce sont les Voyages.
J'ai attendu tellement longtemps... le meilleur temps, la somme d'argent nécessaire, le compagnon de voyage idéal ou encore, le "guts" de le faire. Et bien je n'attends plus.
Lorsqu'on avance en âge, on se rend bien compte de l'urgence de vivre. Les fleurs du tapis dans lesquelles on s'enfargeait jadis disparaissent tout d'un coup comme par magie.
On apprend à se respecter parce qu'on se connaît mieux, et en même temps, on devient plus tolérant envers les autres et leur histoire de vie puisque tout cela ne nous appartient pas.
La gratitude y est pour beaucoup aussi.
Savoir dire merci à ce que l'on est devenu grâce à nos choix personnels est réconfortant, surtout dans ces moments où on perd de vue son chemin.
Il faut savoir se donner ses gallons, se féliciter, se célébrer... et les voyages, grands ou petits font maintenant partis de mes habitudes de vie. C'est ma façon à moi de célébrer ma vie !
Bonne journée à tous et toutes xx

14.12.17

Un BOF ...



Cette année pour ma fête, je n'arrive pas à changer mon état interne.
Ouais... mon émotion si je la décris bien aujourd'hui, c'est un "bof".
Bah ... J'aurais aimé rester à 55 ans.
Il me semble que le chiffre était chanceux.
Les événements que j'ai vécu par contre ont été de toutes les couleurs ; heureux et malheureux, puis heureux encore. Comme quoi la vie trouve toujours son équilibre. Vive la fin de cette année 9 !
Vous savez, j'ai eu l'impression de vivre 20 ans en l'espace d'une seule année tant l'intensité était présente. J'ai fais des pas de géants dans certains domaines, et dans bien d'autres, oui, je stagne encore. Voilà où se situe mon imperfection, quand je pense par exemple à la solitude, parfois c'est si difficile à vivre.
Vous vous imaginez qu'à la question : Qui peut répondre pour vous en cas d'urgence, moi je laisse la case vide. Et qu'en des temps où l'on est supposé être avec des proches, pour moi, personne n'est là.
Normal, je suis un leader !
Alors, je vous avouerai qu'en dehors de mon travail et des personnes que j'accompagne, je suis heureuse d'avoir un si grand réseau social pour me soutenir et m'assister, qui en des jours comme aujourd'hui, me manifeste un peu beaucoup d'amour. Si vous saviez combien j'apprécie cela.
Je ne sais pas ce que j'attends pour passer à autre chose. Dites-le moi donc ! Le manque est parfois un trou si béant qu'il devient pénible à regarder. Et vient ce temps justement où il nous faut décrocher de ces conditionnements mentaux afin de pouvoir préserver sa santé et regarder son avenir. Je suis en accord avec tout ça. Rien ne se fait en claquant des doigts vous savez. On s'accueille dans ce que l'on vit. On accueille tout ce qui parle en nous, et on harmonise son intérieur petit à petit. Il faut les travailler ces automatismes en y faisant face ; ce que je fais d'ailleurs depuis bien des années avec beaucoup de courage. 
Ce que je me souhaite pour mes 56 ans, c'est une clan, mon clan.
Je suis un chef de clan... pas de clan !
Probablement que j'aurai à le construire moi même ce clan que je protégerai et aimerai avec tout mon coeur, mais étant une gagnante, je me lance ce défi de créer ce que seront mes 20 prochaines plus belles années.
Comprenez mes amis(es) que je ne suis pas à plaindre dans ma vie en général. A bien des égards, je suis la femme la plus chanceuse et la plus heureuse qui soit.
Je vous dis Merci mille fois d'être au rendez-vous aujourd'hui et à tous les jours, d'apprécier mes petites complaintes et mes grandes aspirations dans la mesure ou je vous les partage.
Je suis choyée... je suis bénie de vous avoir dans ma vie.
Bisous et câlins

16.11.17

Mots de l'âme

Pour réserver votre copie, laissez moi vos coordonnées courriel en message privé. Merci



26.9.17

L'histoire de Marguerite

J’ai connu Marguerite, une dame vraiment accueillante chez qui j’ai été hébergé le temps d’une formation. Marguerite était une femme qui avait vécu sa vie comme vous et moi, avec ce qu’elle comporte de hauts et de bas. Elle s’en était bien tirée si on peut le dire ainsi, grâce à une qualité spéciale, une qualité que chacun de nous devrions cultiver. Je vous raconte :

Marguerite était amoureuse de sa maison. Sans plus ni moins, elle lui parlait, échangeait avec elle ses réflexions sur la vie. Elle la sentait. Étrange me direz-vous, oui, elle la sentait comme si cette maison avait une âme et un cœur qui battait avec le sien à l’unisson. Marguerite avait peut-être choisie cette maison il y a quelques années, mais sans contredit elle avouait que c’était la maison qui l’avait choisie, elle.

Tous les objets sans exceptions, tous les meubles, toutes les plantes de cette maison avaient été imaginés, désirés, choisis avec minutie, accueillis, interrogés puis aimés tour à tour par Marguerite. À chaque acquisition, elle avait pris le temps d’observer et de questionner en long et en large qu’elle était la nature de l'objet en particulier, ce qu’il représentait réellement pour elle, le rôle qu’il voulait bien jouer au sein de sa maison, ainsi que la place, la parfaite place qu’il voulait occuper.
Marguerite percevait les réponses de par son ressenti intérieur. Quand ça se traduisait sous forme de légers frissons sur la nuque, elle savait que c’était ça, comme un accord tacite.

«Quand elle déposait son regard sur les choses, Marguerite leur donnait la vie».

Je peux vous dire qu’après avoir passé quelques jours chez Marguerite, on pouvait ressentir toute la vie, toute l’énergie émanant des objets, des pièces, de la maison comme telle, tout cela se mettre à respirer et interagir avec nous. Si bien que moi aussi, je ressentais tout comme elle qu’on m’adressait la parole de différentes façons, par-delà ce que je considérais à première vue être très matériel. Je ne m’étais jamais arrêté à l’essence même de toutes ces choses porteuses de sens tellement j’étais habitué à n'y accorder que peu d'importance.

Il s’agissait d’un incroyable enseignement que j’avais eu la chance de vivre avec cette personne qui respectait et soulignait, voire qui appréciait chaque chose en leur reconnaissant une âme, en leur offrant autant de valeur. Comme quoi l’amour que l’on porte dans son cœur, qu’il soit destiné à un être ou à une maison crée le même résultat au niveau de l’énergie de vie.

Aimer... c'est vivre !
Extrait de : Ce que les chevaux m'ont appris 



20.9.17

Choix


Dans la vie, nous sommes constamment en face de choix à faire. Lorsqu'il n'y a que 2 choix, on parle alors de dilemme, et avec lui vient le combat intérieur.

Mes amis(es), sachez multiplier vos choix en 4 en 6 ou en 8 car plus on a de choix mieux ça vaut, et plus on s'adapte à la fois aux contextes et aux autres.


Par contre, quand un appel vient du coeur et fait vibrer tous les corps, suivez-le. Les miracles arrivent à point à ceux qui lâchent prise sur le contrôle et s'abandonnent complètement à la vie.



12.9.17

Mon rêve

Je me suis réveillée ce matin sur la plage de Mavilette ; ce lieu magnifique que je ne suis pas prête d'oublier. C'était une réponse claire je pense, de mon esprit qui me ramène à mon essence quand je m'égare un peu.

Ce que j'ai vécu là bas se conjugue en différents verbes, mais celui qui me vient en tête là maintenant, c'est ÊTRE. Oui, être moi.

Mes amis(es) on a besoin des autres pour savoir que l'on existe. Vous êtes d'accord avec ça ! C'est par nos interactions, par nos... rapports avec la vie qu'on arrive à définir vraiment qui ont est. Alors, si la vie n'est qu'un reflet, j'ai trouvé le mien quand jai mis le pied sur le sable de Mavilette Beach.

Car aussitôt je me suis senti m'habiter complètement. Wow... c'etait tout un effet je vous le dit. Je me suis vu pour la première fois. Je me suis reconnue ! Cette partie de la terre était non seulement vaste et aimante, elle m'attendait les bras ouvert, avec une capacité d'accueil qui m'a touché droit au coeur.

C'était la première fois que je me sentais aimée autant, à la fois par la mer, par la magie de l'endroit, et je me suis ouverte à la gratitude éternelle d'avoir pu vivre cette extraordinaire expérience. Aujourd'hui, elle me sert de point de repère. C'est un sentiment fort que je reconnais bien, comme un GPS qui me montre la route ; ma route.

Comme j'aimerais que ce soit précisément là !



3.9.17

La gratitude

La gratitude est simplement un état d'esprit et pratiquer la gratitude au quotidien nous garanti de bonne santé physique et psychique.

Dans ce mouvement, nous apprenons que nous avons besoin des autres pour exister, et que grâce à eux nous trouvons notre place.

Soyez reconnaissant de ce que vous avez nous dit la gratitude, savourez les bons moments et donnez de l'importance aux gens, aux évènements qui vous permettent de grandir.

Bon Dimanche à tous xx 


31.8.17

Sagesse

La SAGESSE ne se situe pas au niveau du savoir ou de la connaissance... mais plutôt dans la capacité à mettre en pratique ce que nous avons appris et à donner l'exemple.
Nul besoin d'en parler... ou de se convaincre soi-même.
Lorsqu'on sait, on doit pouvoir se taire et laisser les autres vivre et faire leur propre cheminement !

Bon jeudi mes amis (es) xx



9.8.17

La joie


Cultivons notre joie de vivre mes amis(es), comme des gouttes de rosée qui brillent au matin d'un nouveau jour.

La joie de vivre vous savez, se vit lorsqu'on se sens relié, lorsqu'on se sens ensemble, dans une notion d'unité, avec la vie ou ce qui nous environne, comme avec notre famille. ...
Et pour ceux qui ont parfois des rapports difficiles, il faut aller plus haut que la réalité physique. Plus haut oui, dans son esprit et dans son cœur pour retrouver cette notion subtile d'unité qui nous rend si heureux.

La vie nous aime tant.
Cependant, il nous appartient de lui ouvrir notre cœur.
C'est à nous de nous abandonner à cette énergie d'amour, si présente et si grande. Cette énergie qui nous parle par delà cette même réalité que nous projetons.

Tout part de soi.
Notre regard... est le témoignage de ce qui nous habite.
Ayons un regard aimant envers nous-mêmes, envers les autres, et réalisons intérieurement ce que nous arrivons ainsi à créer.

Un bon jour à vous tous et toutes que j'aime xx




5.8.17

Rimouski 28 Degré

Je me suis baigné dans le fleuve, et supposément que personne ne se baigne là !
Pourtant, après vingt bonnes minutes à nager en long et en large, voilà qui se pointe un couple de gens un peu plus à droite, et un groupe d'enfants avec leur parents, à gauche. 
Puis, au bout d'un long moment, ils se sont décidés à y aller graduellement.
Alors, contente d'avoir pu influencer positivement une activité de partage avec la mer !

4.8.17

J'ai pris ma dernière marche

Ce matin, j'ai marché le long de la Bay sans apporter mon appareil. J'avais besoin je pense, de bien imprégner mes sens des splendeurs de l'endroit.
Il y avait un peu de brouillard à l'aube d'un lever de soleil rose et magestueux. Ce qui fait que j'ai pu hydrater ma peau naturellement grâce aux minuscules goutelettes d'eau. ...
Puis cette odeur de poissons, de crustacés qui flotte dans l'air en permanence, j'en ai pris une grande bouffée. Entre vous et moi, ça ne sens pas l'eau salé ici, non, ça sens les pêcheurs et leurs histoires de pêches miraculeuses.

Au détour d'une avenue, je me suis surprise à demander à la vie de me guider dans mes choix futures, et immédiatement, j'ai compris que j'étais heureuse, là maintenent, et que cette manifestation de joie intérieur (qui me fait pleurer à tout coup ; de bonheur bien sûr), était ce sur quoi je devais me fier pour faire les meilleurs choix pour moi.

Durant ce voyage, j'ai eu l'impression que la nature était de connivence avec l'au delà, comme si on voulait madresser un message subtil, raffiné, plus élevé.
Mais je sais au fond de moi mes amis (es), que ce message n'était que l'amour, présent à chaque instant dans ce rendez vous.

La vie m'aime tellement, je le sens... et ça me touche profondément !
Je m'apprête à aller déjeuner avec 2 couples d'américains du Wisconsin et de l'Ohio, ensuite, je dirai au revoir Digby et à L'Acadie de la Nouvelle Écosse. J'ai dans mes bagages des souvenirs inoubliables que je chérirai la balance de ma vie. 

Merci à Betty et Georges d'avoir été des hôtes extraordinaires. J'ai été traitée comme votre propre fille.

Ferry 10h00 et Direction Rimouski !



25.7.17

Faire de son mieux

N'est ce pas là l'unique motivation à la base de nos agissements ?
Oui mes amis(es), en quelque sorte ; à condition bien sûr que nous ayons appris à nous accepter tel que l'on est dans le moment présent ; avec notre bagage d'erreurs.

Parce que faire de son mieux vous savez, n'est pas toujours évident. Il y a tellement de facteurs qui influencent nos actions, nos décisions, qu'on ne peut se baser sur un modèle précis et facile à faire pour y arriver. Ça ne marche pas comme ça !

C'est à chaque jour un recommencement. Il nous faut continuellement s'ajuster au contexte du changement. Et on comprendra que c'est exactement l'essence même de la vie que d'être en perpétuel mouvement.

Et ensuite, une fois dans l'acceptance et dans la flexibilité, viendra avec le recul, une nouvelle façon de s'observer peut-être, plus détachée cette fois, plus réaliste. Une position différente sur la vie, où on se demande selon ce qu'on observe de nous-mêmes, comment peut-on faire mieux la prochaine fois.

Mais vous savez, il n'y a jamais deux fois qui soit pareilles. Alors on fait toujours de notre mieux lorsqu'on a la propension à faire le bien autour de soi en en soi.

La dessus mes amis(es) bonne journée xx


20.7.17

Le changement

Comme le dit Louise Hay, lorsque nous commençons à travailler sur nous-même, parfois les choses semblent être pire qu'avant.

C'est que nous sommes dans le processus.

Mes amis(es), vouloir changer implique bien sûr une réorganisation du système en entier. Le changement n'est pas un coup de baguette magique qui transforme les citrouilles en carrosses. Non !... Cela se fait étape par étape, comme un deuil. On doit apprendre à vivre sans... pour éventuellement renaître. D'ailleurs, lorsqu'on se rebâti, cest toujours différemment de ce que l'on a défait, de ce que l'on était ; avant.

Il y a une logique dans toute reconstruction. Une manifestation parfois malhabile que l'on peut vivre intensément dans tout son corps... et de toute sorte de manière.

Personnellement, je vis cette transformation qui me fait cohabiter avec toutes sortes de sentiments plus ou moins doux et forts. J'ai appris à faire de la place pour ces sentiments et ces pensées négatives qui surgissent de je ne sais où dans ces moments-là. Je les accueille, je les entends, je les soigne comme on le fait d'une blessure sur la peau. Et une fois qu'elles ont été bien accueillies, bien aimées, je les renvoie dans l'énergie qui guérit !

Merci Louise Hay
Bon journée à tous xx



14.7.17

Je suis d'accord avec ceux qui disent que l'amour est la seule puissance qui existe.
L'amour crée, ouvre, fleurit.
Mes amis(es), il faut aimer les êtres, les choses pour les voir s'épanouir et grandir, les aimer assez fort pour qu'elles existent dans ce qu'elles sont fondamentalement.
Tout est un reflet de notre regard sur la vie.

Bonne journée et bisous xx

5.7.17

Truc de coach


Les affirmations positives sont de bonnes manières de se sortir momentanément d'un tourbillon de ténèbres. Ils augmentent notre niveau vibratoire. Par contre, il faut littéralement en submerger son esprit inconscient  et souvent, ce n'est pas assez ... car il s'agit d'une répétition de mots dépourvu d'émotions.
Ajoutez à vos demandes une émotion qui vient du cœur, et hop.. ! Voilà que cela devient beaucoup plus efficace !

Bonne journée mes amis(es) xx

28.6.17

Accompagner humainement

Nous pouvons facilement fausser la réalité de quelqu'un lorsque nous ne respectons pas son vécu. Certaines souffrances se présentent peut-être de façon démesurée à prime abord, mais, sans connaître le type de «terrain» dans lequel une blessure a été inscrite à l'origine, notre jugement n'a pas sa place. La bienveillance envers autrui implique notre plus grand respect.

Ce que chacun de nous vivons a son importance. Tout n'est peut être pas à traiter avec urgence, j'en conviens, mais chaque blessure demande pourtant la même attention, les mêmes soins. Pour ainsi transmuter une émotion difficile en quelque chose de plus agréable, il ne nous suffit pas de répéter sans cesse un mantra. Ce que nous avons à transformer, est ce regard intérieur que nous portons sur notre propre expérience. Ce qui nous a fait mal jadis résonne encore en nous selon notre fragilité du moment.

C'est ici que l'accompagnement humain prend tout son sens ; lorsque nous nous aidons les uns les autres tout en se respectant mutuellement dans ce que nous vivons.




26.6.17

Les vacances

Pour chacun d'entre nous, les vacances prennent une signification précise.
Pour certains, les vacances se vivent en voyage, lorsqu'on change d'environnement, qu'on explore. Pour d'autres, les vacances signifie un temps d'arrêt où l'on reste penard chez soi alors que la plupart du temps on court.
Nous connaissons tous ce qui profondément nous rend heureux, alors... si les vacances répondent à ce critère, nous sommes assurément sur la bonne voie.!

Moi ces moments, c'est au bord de l'océan que j'aime les vivre.
J'ai besoin de voir la mer à perte de vue, de côtoyer les vastes horizons pour me retrouver moi ; voir grand pour cesser d'être dans des limites qui ne m'appartiennent pas, pour me reconnecter à ma vie et me rappeler qui je suis.

J'ai pris rendez-vous avec ma vie fin juillet et j'ai tellement hâte de me rencontrer autrement.
Encore un mois à rêver !

Bon lundi mes amis(es) xx



23.6.17

Romeo

Mon Amour de basset, mon "bonheur d'occasion" comme je le surnomme souvent, est peut-être rendu au bout de son chemin. J'ai souvent dit pour rire, que lui et moi, c'était pour la vie... mais en vérité, je me rends à l'évidence que ce ne sera que pour la sienne. 

J'ai vécu aujourd'hui l'une de mes plus belles journées depuis des lunes. En vous partageant ma nouvelle ce matin, vous saviez que je partais le cœur gros et rempli de chagrin à ce rendez-vous chez un second vétérinaire. J'avais pris ma décision compte tenu de l'état de santé de mon chien. J'étais prête à revenir sans lui.

Pour vous mettre en contexte, la semaine dernière, le vétérinaire où je vais habituellement, m'avais dit ce qu'il en était de sa condition détérioré en simplement 2 semaines. Il me faisait voir bien sûr le pire côté de la maladie tout en me soulignant que pour être certain, il fallait faire un test de ceci et puis un autre de cela, ce qui faisait monter la facture à des milliers de dollars.

Suite à cela, j'ai lancé un appel sur Facebook, et une amie m'a proposer le nom d'une vétérinaire chiropraticienne qui pratique dans le secteur nord ; Dr Tremblay. J'y suis allé ce matin... et ce que j'ai vécu en toute humilité était extraordinaire.

D'abord j'ai été accueillie par un câlin, de la reconnaissance et beaucoup de compassion. Ça m'a fais du bien, et je me suis sentie immédiatement en confiance. Les symptômes une fois nommés, ont été analysé d'une façon non traditionnelle. Elle parlait alors de l'émergence d'un traumatisme du passé (tant au niveau physique que psychique). Émergences qui faisaient référence entre autre chose, à de l'anxiété de séparation. Oui, c'était bien de Roméo qu'elle parlait, et de ces symptômes qui étaient beaucoup plus présents justement à la suite de mon dernier petit voyage. (Il a été 3 jours en gardiennage).

Puis, elle a mentionné ce lien particulier qu'elle ressentait entre lui et moi. (Roméo, ce n'est pas un chien ordinaire) !

Bref, Roméo ressentait beaucoup de douleur physique. Elle a pu s'en rendre compte avec ses mains. (Ce qui nous écartait d'un diagnostic de dégénérescence selon elle). Elle lui a fait plusieurs manipulations, des massages, des points de pression. Puis on a parlé de fleurs de Bach, d'homéopathie et de toutes sortes d'actions qui pouvaient être mise en place pour améliorer son état de santé. Il a bien réagit et c'était le principal.

Ensuite, elle m'a proposer de procéder à une coupure énergétique. De couper ce lien d'énergie qui nous reliait lui et moi. .... Oui, vous entendez bien ! Oh que je ne m'attendais pas à ça !

Malgré des expériences semblables vécues par le passé, je peux vous dire une chose importante : la qualité d'être de la personne qui vous accompagne dans une démarche énergétique y est pour beaucoup. (90% je dirais) J'ai été accompagnée avec tellement d'amour que rien que de l'écrire me fait verser des larmes de gratitude. Oh Merci... merci tellement !

Je remercie cette femme docteur d'exister, et d'avoir tant à donné aux animaux ainsi qu'à leur propriétaire. Romeo est revenu à la maison. Il est fatigué et moi aussi. Mais il est là; tranquille. Peut-être va-t-il partir ? Peut-être pas. Mais je n'ai pas l'impression que ce sera maintenant. 

Je t'aime mon toutou.
Cette année aura été difficile pour nous deux.
Une épreuve de plus pour toi Roméo. 
J'ai confiance !  


20.6.17

Au même diapason

Nos rencontres se ponctuent comme des accords de musique.
Dans le meilleur temps, la mélodie est vraiment harmonieuse... tellement harmonieuse que les mots deviennent parfois inutiles.
C'est dans ces temps là que l'amour, la compréhension, le partage entre deux êtres se veut si fort, que rien d'autre finalement n'importe dans le présent.

Bon mardi mes amis(es)



13.6.17

Travailler sur soi

Vivre au présent est le fruit d’un travail intérieur exigeant, nous disait Eckhart Tollé. C'est une façon de vivre en conscience qui s’atteint soit par l'entremise de la méditation, les thérapies ou les arts martiaux , soit par la simplification. *Voir au-delà des schémas de pensées.

Le futur est un concept inventé par les humains, qui nous projette dans des mondes parallèles illusoires. On peut certes s'appuyer sur une vision pour élaborer un plan, tout en sachant que celui-ci se construit étapes par étapes, au présent. Mais la plupart d'entre nous vivons dans cette vision du futur. Si bien qu'une fois un objectif atteint, la satisfaction passe inaperçu.
Le passé n’est pas un meilleur allié. Il se présente à notre esprit sous forme d’idées préconçues, de croyances souvent limitantes, d'œillères... comme celles que portent les chevaux de calèche. Le passé nous incite à nous baser sur ce que l’on a déjà vécu pour élaborer nos nouvelles aventures. Et ainsi, on remet devant nous les vestiges d'un passé révolu.

Posez vous la question : Qu'est-ce que j'ai véritablement envie de vivre aujourd'hui ? Et déjà, vous revoilà revenu au présent !

Bonne journée mes amis(es) xx



9.6.17

La vie te parle

Les mots ne sont pas toujours nécessaires en regard de la vérité.

Lorsqu'elle nous saute au yeux telle une évidence, il n'y a que nous finalement que cela rejoint.
La vie est une suite de synchronicités et d'échanges entre des dimensions qui nous semblent à priori différentes mais qui pourtant sont les mêmes.

Bonne journée xx



8.6.17

Chercher l'amour

L'amour que nous cherchons tous profondément est souvent si difficile à trouver.
Nous croyons à tort qu'il viendra d'un autre espace, d'un autre temps, d'une autre personne alors qu'en vérité, il prend naissance au fond de soi. Nous l'éprouverons pleinement le jour ou nous déciderons de nous le donner.

C'est par nous que toutes choses se créent. 


7.6.17

On ne se voit pas toujours

L'expérience humaine est fonction des choix que nous faisons. Parfois nous restons plusieurs années à l'intérieur d'une expérience avant de pouvoir s'en détacher. C'est que la leçon est longue ou profonde ! D'autres fois, une seule rencontre fait basculer notre équilibre et nous ramène immédiatement au centre de notre sphère.... et on peut remercier ces évènements de nous ramener sur notre route.

Mes amis (es), la vie est mouvement et impermanence. Il n'y a donc rien qui soit figé ou permanent ... autrement que par la notion d'attachement qu'on y applique sans le savoir et sans le voir.

Apprendre la transparence reste notre Salut, et la connaissance de soi, la marche a suivre.


29.5.17

Le courage

Qu'est ce que le courage?

C'est ce qui te permet de gagner ta propre course.
C'est aussi ce qui te donne assez de maitrise de toi-même pour persévérer là ou les autres abandonnent.
Le courage avec lequel tu vis détermine ton propre niveau de satisfaction. Il te permet surtout, d'accomplir les petits et les grands succès de ta vie !



3.5.17

Devenir grand

Il y a des semaines, des mois, et dans certains cas des années, où les idées foisonnent comme les fruits d'une bonne récolte. Les objectifs sont les peut-être mêmes, mais la rectitude elle, se veut plus présente.

Comme un arbre qui se solidifie au départ en faisant ses racines, toute la vie nous sommes à la recherche de lumière. Lui, pointe sa cime tout droit vers le ciel, et nous, c'est souvent notre carapace qui épaissit.

Oui cet arbre grandit dans la conscience qu'il a de lui-même et dans la joie que lui procure le fait d'être vivant, aligné tout simplement dans sa mission de vie.

Je suis là aujourd'hui, dans ce genre d'énergie pure remplie de promesses, et je rend grâce à la fois de ma position et de ma vie.

23.4.17

DE QUOI PARLE LE LIVRE ?

On m'a demandé à plusieurs reprises si le livre CE QUE LES CHEVAUX M'ONT APPRIS pour développer une qualité d'être.. parlait de l'éthologie. Et bien NON. C'est un livre de croissance personnelle, qui se sert de quelques expériences passées avec les chevaux pour illustrer des concepts comme LE DON DE SOI, L'AMOUR INCONDITIONNEL, L'INTER-RELATION ENTRE LE VIVANT, dans des niveaux de consciences plus élevées.

En fait, lorsque l'on croit pouvoir apprendre quoi que ce soit à un cheval qui, énergétiquement parlant est beaucoup plus près que nous de sa vraie nature, et bien on est à côté de la track... comme on le dit en bon Québécois. On a beaucoup plus besoin d'eux pour apprendre sur nous-mêmes qu'ils ont besoin de nous.

L'humain n'a de reste d'ouvrir sa conscience à la perfection de l'Univers et de cesser de penser qu'il peut tout contrôler, tout transformer selon son mode de traitement de la réalité. La seule chose qui soit en notre pouvoir... est ce qui part de nous, c'est-à-dire nos états internes, nos pensées, notre amour qui transcende par delà l'ego. À lire...


27.2.17

Editorial de Mars / Réseau des accompagnants en fin de vie


En fin de semaine dernière dans le journal de Montréal, Denise Bombardier faisait état de la loi 52 sur l’aide à mourir. Elle affirmait qu’au Québec, il s’agit là du consensus le plus large débattu à propos de droits humains comme si la mort était ce qui nous réunit le plus.

Le projet de loi sur l’euthanasie au Québec, projet de loi 52 que l’on nomme aussi – Aide médicale à mourir - vise essentiellement à faire de l’euthanasie une « question de santé » et donc une affaire provinciale. De ce fait, cette loi contourne ainsi l’interdiction de l’euthanasie et du suicide assisté par un médecin, contenue dans le Code criminel du Canada. 

On comprendra qu’il s’agit ici d’une forme d’expression détournée, d’un langage qui se veut trompeur et qui dirige l’attention du public dans un bassin si vague d’informations incomplètes qu’il s’y perd. Pourtant, on nous doit à tout le moins une explication plus substantive et honnête de ce qui est en jeu, ou peut-être est-ce que l’on doit s’y engager soi-même.

Lorsque les médecins en soins palliatifs menacent de démissionner à cause du projet de loi 52, cela porte fortement à croire que l’« aide médicale à mourir » suscite qu’on prenne le temps, beaucoup plus de temps, pour l’approfondir davantage.
Comment voit-on cela aujourd’hui, à peine quelques mois après l’adoption de la loi 52 ? Déjà pour certains, on voit la mort comme une affaire classé et c’est tellement dommage. Encore une fois, nous donnons à nos élus trop de pouvoir en ce qui a trait aux décisions qu'il nous appartient de prendre face à notre rapport à la vie, à celles de nos proches, ou à toute la dimension relationnelle. On oublie alors de pousser plus loin notre réflexion, et en l’absence de ce regard plus profond envers l’autre, en l’absence de présence, d’accueil ou de compassion, nous devenons proactifs d’un discours qui n’est pas le nôtre et derrière lequel on se cache malgré que n’en comprenne ni la portée, ni le sens.

Pour tout être vivant, la mort est une réalité inéluctable ; la vie s'achèvera tôt ou tard par un arrêt définitif de l’expérience humaine. Cet aspect de l'existence, ce passage si on veut, est un des défis les plus difficiles que la vie nous propose, car nul n’en revient vivant.
La mort peut effectivement sembler totalement désespérante et absurde à quiconque refuse d'y faire face ou de l'assumer complètement. Mais pour ceux et celles qui parviennent à accepter vraiment cette réalité, c'est au contraire toute la valeur de la vie qui s’ouvre ; dans toute sa contenance enfin, toute sa beauté, son infinité.

D'ailleurs, les personnes qui se sont donnés volontairement la chance ou l’opportunité d’accompagner la fin de vie, en sont revenues pour la plupart, avec des expériences riches de sens. Sans contredit, elles ont pratiquement toutes le même discours ; à savoir que c’est en côtoyant la mort que la vie prend tout son sens. On en vient alors à sentir de façon presque tangible, toute la valeur de la vie dans ses mains, dans sa voix, dans son expression, son émotion.

Alors, si nous pouvons développer dans ce petit bout de vie une relation intègre et vraie, avec soi-même comme avec les autres, même dans la douleur, c’est qu’on réapprendra vraiment à faire de la place au présent, aux valeurs humaines d’accueil et de partage. Ce sont nos relations interpersonnelles, et du coup notre vie toute entière, qui s’en trouvera changée.

Isabelle Pitre, Présidente du Réseau des accompagnants en fin de vie

Sources :
Les Québécois et la mort, Denise Bombardier
Le projet de loi sur l’euthanasie au Québec, projet de loi 52, Vie-Canada

21.2.17

Ce que les chevaux m'ont appris...

Les gens passent...
Vois-les, reconnais-les, bénis-les
Car c'est la vie qui te parle à travers eux...
Comprends son amour !




http://cequeleschevaux.blogspot.com

9.2.17

L'autre jour

Il y a quelques jours, je suis allé dans une de mes boutiques préférées. C'est une brocante, êtes-vous surpris ? 

Le proprio de la boutique achète des successions et des entrepôts personnels laissés vacants. Son employée, une dame de 80 ans... qui reste seule dans ce fourbi toute la journée. En fait, elle travaille 7 jours semaine - de midi à 18h.

Malgré ses vieilles mains un peu tordues, elle tri les nouveaux arrivages, place la marchandise, vend et enveloppe les paquets, se souviens de la majorité des prix et du moment où les choses sont arrivée, d'où elles viennent et qui les a acheté. C'est un exemple à suivre.

J'adore cette dame ; ce qu'elle dégage.
Parfois je me surprend à y aller uniquement pour elle, parce que je m'ennuie. Je vous dis ça et en vérité, j'y vais toujours juste pour elle. J'en prends conscience en l'écrivant.

Elle me parle de son fils qui a des difficultés, de son mari qui est mort chez lui et qu'elle a accompagné même si ils étaient divorcés depuis longtemps. Elle me pose aussi des questions sur moi, et je lui raconte mes trucs. 

Enfin, j'achète quelque chose même quand il n'y a vraiment rien dont je n'ai besoin, car ce sont des objets qui la représente elle, et dont je me souviendrai comme d'un moment que nous avons passé ensemble. De ce geste, je participe à cette action qui nous permet d'apprécier quelqu'un pour ensuite lui donné ce sentiment d'être utile, d'être vivant.

Quand je lui demande ; vous êtes pas fatiguée de faire ça ?
Elle me répond : Oh que Non, ça m'occupe. Je ne veux pas finir dans un endroit ou les vieux (c'est elle qui le dit) font des activités plates et jouent au bingo.

À méditer, vraiment.
Le monde est rempli de ces gens merveilleux qui ne demandent rien, mais qui au final, sont tout !



UNITÉ

  Le principe de responsabilité universelle implique un niveau de conscience qu'on peut toutefois apprendre à développer. Ce n'est p...