13.10.20

Maladie et fin de vie

LA MALADIE ET LA FIN DE VIE 

La relation qui existe entre notre corps et notre esprit est bien réelle. Elle est présente en nous jour et nuit, et active à tous les niveaux de la communication, qu’ils soient conscients ou inconscients. Cette relation relie en fait la matière physique qui nous constitue en tant que corps humain, à notre sphère émotionnelle ; notre intelligence émotive et intuitive. Cette union forme un tout. 

Il existe un véritable langage du corps. Présent dans chacun des événements qui nous perturbent. Ce langage est parfois très fin, et d’autres fois plus fort dépendamment de l’insistance du corps face au message qu’il le veut passer, et, de notre capacité, notre ouverture à vouloir l’écouter.  Ce que nous avons du mal à comprendre, c’est que ce langage nous indique en avance ce qui s’en vient, et par extension, ce que nous avons à faire pour nous éviter le pire ; soit, des sillons plus profonds qui encourage le développement d’un terrain propice à la maladie. 

Cette intelligence naturelle et complexe qui se manifeste dans chaque cellule de notre être, nous la portons tous également. 

Ce qui fait souvent défaut chez nous, c’est notre capacité à vouloir la reconnaître. Comme si pour nous, ce serait bien trop facile de pouvoir se maintenir en santé, juste en écoutant religieusement les conseils de ce précieux GPS intérieur.

L'engagement conscient dans la guérison impose d’être à l’écoute, puis de déchiffrer et de surveiller le système corps-esprit. C’est un engagement envers soi qui ne demande que peu d’efforts. 

Nous avons besoin d’examiner les messages de notre corps du point de vue des évidences et de leur clarté, plutôt que de nous interroger sur leurs fréquents double sens...

La maladie fait partie de la vie, et elle mène indubitablement à la mort. Elle n'est ni bien, ni mal, elle est tout simplement une façon de se réajuster, de comprendre davantage nos besoins, nos rêves, nos désirs. Elle s'installe sans demander notre avis, et nous n'avons d'autre choix que nous en occuper lorsqu’elle a pris notre corps pour domicile. Nous devons prendre conscience que la partie malade de nous-mêmes nous impose de partir à la recherche d'un nouveau sens. Elle nous signale qu'une partie de notre vie a été oubliée, négligée ou maltraitée et qu'elle demande réparation et considération. 

La meilleure attitude à avoir face à la maladie reste dans l’acceptation de sa présence, comme d’un journal personnel qui nous annonce les dernières nouvelles de nos structures les plus profondes. La maladie devient alors une période d'introspection, et à partir de là, un point de départ possible d'une future transformation.

Bien vivre sa vie implique qu’on adresse les messages de notre corps au fur et à mesure qu’ils se présentent, et qu’on ne laisse rien traîné au hasard sur son sillage. 

Nous mourrons exactement comme nous vivons.

Lady Isabelle
FORMATION ACCOMPAGNEMENT FIN DE VIE
L'école Isabelle Pitre Coaching Inc.
www.isabellepitrecoachng.ca

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