30.8.22

Il n'y a pas de choix à faire

 Tout est là déjà, en soi-même.

La liberté de créer nous appartiendra toujours, et notre réalité ressemblera en tout point à ce que nous imaginons, maintenant, au présent, dans nos consciences.
Instantanément.
L'être humain a des facultés mentales fantastiques, Elles lui permettent de voir, de chercher, d'analyser, de discerner, de faire des synthèses, d'en tirer des conclusions, puis de réaliser que derrière tout scénario finalement, derrière toute existence, il y a une perception d'individu qui détonne, influence, tri, généralise, sépare, essore, et se prouve en continue combien elle a raison.
Le savoir de l'esprit descend en ceux qui ont pris soin de nettoyer leur espace intérieur, après avoir fait le vide de toutes influences et croyances extérieures.
En position de révérence, la conscience et ses perceptions non intégrées par la connaissance des ses propres structures, s'abandonne à sa guidance intérieure ; pas de guides non, pas d'anges, pas de maîtres, mais bien Soi, seul avec tout ce que nous sommes dans l'intelligence de la source infini.
La connaissance de soi, de notre fonctionnement dans tous nos corps et dimensions d'existence, et ce, dans les structures et Lois qui les encadrent, demeure le phare qui nous éclaire en l'absence de l'esprit. Avec cet éclairage sur la vie, muni d'un certain recul, nous pouvons retrouver à tout coup notre centre, et ainsi, nous laisser vivre ce que nous avons besoin de vivre pour nous prouver à nous-mêmes que nous créons, encore et encore.
Lady Isabelle xx



22.8.22

La mue


Autant auparavant, c'était monnaie courante de voir des groupes s'organiser ou "faire le party" dans sa cour arrière, autant aujourd'hui il me semble que cela n'a plus de sens.

Vous en pensez quoi ?
Les partys et les rassemblements "juste pour le fun" ont une connotation politique, pour déterminer à priori dans quel camp on se situe, sinon ils sont tout simplement absent de plus en plus.
Les rues sont vides. Les gens consomment.
En ce qui me concerne, les menteries ont assez duré, et les menteurs aussi. Ce qui nous laisse très peu de choix pour les rassemblements ou l'on échange vraiment.
Enfin, cette transition de vie difficile est tout de même quelque chose d'individuel. Le serpent se délaisse de sa vieille peau et en même temps, il s'en reconstruit une nouvelle. Quel exploit !
La mutation a lieu lorsque nous n'avons plus de repères dans ce monde corrompu avec lequel on détonne. Plus rien ne nous fait vibrer. N'est-ce pas comme cela que nous vivons cette fin de cycle ? À cheval sur les dimensions, alors qu'on doit constamment se recentrer et retrouver le "Je suis".
On doit penser en terme vibratoire, car la forme, comme le dit cette chère Arwen de La Réault, n'a plus vraiment sa place si l'on veut se baser sur quelque chose de réel pour créer sa future vie.
C'est un questionnement incessant, de soi à soi-même, que l'on est appelés à faire, et en même temps, c'est avec une conscience plus soutenue que nous vivrons chaque minute d'un quotidien nouveau.
Que nous souhaitons tant,
Que nous chérissons tant, alors que notre cœur prend enfin les commandes.
La position de l'observateur se développe ainsi pour celui qui apprend à se détacher de ce qu'il projette, qui ne participe plus dans le maintien d'une matrice artificielle.
D'emblée, il se sens mal devant les avenues qu'on lui propose.
Il devine qu'on veut le manger, qu'on a besoin de sa vitalité, de sa force et de son énergie. Alors il dit NON, et il agit en conséquence.
Il se change intérieurement au fur et à mesure qu'il prend conscience de ce qu'il porte en lui-même, et laisse cette peau vieillir derrière lui.
Valorisant les échanges profonds, lorsqu'ils passent... et accueillant la nuit en toute gratitude, il chemine et découvre son Eden à lui, son jardin d'abondance.
Lady Isabelle xx

UNITÉ

  Le principe de responsabilité universelle implique un niveau de conscience qu'on peut toutefois apprendre à développer. Ce n'est p...