20.8.12

L'amour toujours...


Tout discours gravite autour d’un seul thème, l’amour. En effet, être en santé implique que nous aimons la santé suffisamment pour lui faire une grande place dans nos vies. Développer de saines habitudes, persévérer jusqu’à la constance et l’équilibre, il en est de même pour l’argent. Par exemple, celui qui est riche n’a rien de bien différent avec les autres que son ouverture à la richesse comme un élément naturel et créateur. Il faut aimer l’argent, le connaître et savoir s’en servir lorsqu’on désire bâtir sa propre fortune. En somme, il est préférable de s’aimer soi-même très fort pour se donner la permission d’être ce que l’on a envie d’être dans l’idéal. La permission d’être riche et heureux, ou d’être en santé et d’aimer, ou d’être tout cela à la fois.

L’amour se présente donc à nous comme un petit moteur, un principe de motivation à la base de toutes les choses. Curieuse image me direz-vous, car symboliquement parlant, notre cœur est partout associé à ce puissant sentiment. N’est-il pas lui aussi au centre de notre organisme. En fait, par notre coeur passe la vitalité qui alimente et qui crée le miracle que chacun de nous incarne. Nobles cœurs, noble amour, chantaient ainsi les troubadours.

Or, nombreuses sont les personnes qui ne différencient pas le sentiment de l’émotion qu’il engendre. L’amour prend naissance en nous et en même temps, l’amour est notre point d’origine. Il est ce moteur, cette énergie qui produit tantôt la joie, l’excitation, la complicité, et la beauté, tantôt le mensonge, l’égoïsme, la jalousie, ou la haine.

La confusion de ce que nous comprenons de l’amour génère la plupart des conflits. La plupart des problèmes relationnels que nous rencontrons aujourd’hui soutiennent généralement la même thèse : l’absence d’amour. Nous croyons que l’amour est un besoin qu’il nous incombe de combler, alors qu’en vérité l’amour est un courant de la vie qu’il nous faut apprendre à utiliser.

C’est lorsque l’on tente de rationaliser l’amour qu’on s’éloigne le plus de son essence véritable. L’amour existe partout, un peu comme l’air que nous respirons. Il ne transite pas d’un endroit à un autre, ni d’une personne à l’autre avec une impression de début ou de fin. Non, l’amour est illimité, infini, omniprésent.

Impossible pour certains, l’amour ressemble à l’image qu’on s’en fait mentalement. Chacun se représente le concept à sa façon, et toute vérité possède ses références, et pareillement ses preuves. L’interrogation n’est pas de se demander pourquoi l’amour n’est pas présent dans nos vies pour ces gens en particulier, mais de prendre conscience de ce qui nous sépare de ce sentiment. Si l’amour se réalise par les autres, nous l’avons tout autant en nous. Qu’est ce qui nous empêche alors de le ressentir profondément?

Prendre l’amour comme une énergie qui crée la vie et nous permet de faire des choses. Voilà comment nous devons l’utiliser. Pendre l’amour pour guérir un besoin en modèle, tant est-il que nous ayons la conscience de l’accueillir et de le reconnaître avant tout. Prendre l’amour pour voir fleurir une relation, pour illuminer un regard, pour transformer une discorde en harmonie, c’est à cela finalement que le sentiment nous sert. Il nous fait avancer, évoluer.

Au gré d’une intention qui se veut pure, et que volontairement nous faisons passer par le cœur, nos relations avec les êtres vivants ou les choses changent. Elles se manifestent en autant de splendeur qu’il nous est permis à chacun d’imaginer.

Isabelle Pitre n.d.
Coach de Vie, Maître thérapeute Humaniste

14.8.12

Prenons conscience de notre santé


Il est bon de prendre davantage conscience de ce que signifie la santé.

De nos jours, les approches holistiques ont grandement appuyé et prouvé le lien qui existe entre le corps humain et son esprit. De nouvelles professions naissent pour remplacer les anciennes, et cela dans le but de s’adapter aux problématiques que nous vivons dans la réalité actuelle. Le toucher quantique, l’Humaniste, les schémas heuristiques, la biologie totale, l’homéopathie, pour ne nommer que ces pratiques alternatives, sont tous des façons de communiquer avec les différents plans qui constituent notre être.

Les magasins «nouvelle-ère» poussent comme des champignons. Aliments naturels, organiques, biologiques, équitables affluent pour le bien de tous dans nos assiettes. On tente de plus en plus de se rapprocher des principes qui régissent la nature, la simplicité par exemple, l’équilibre du ying et du yang, l’acceptation et l’harmonisation de ce que nous sommes. En vérité, plus on unit la nature à soi, plus on s’ajuste à sa nature véritable.

L’eau, l’air, le soleil, le mouvement, la joie d’être ensemble représentent des éléments qui nous ressourcent et nous rendent heureux. Ironiquement, lorsque nous vivons un pépin, au lieu d’aller dans le sens du mouvement, nous choisissons toutes sortes d’activités qui nous permettent d’oublier ce qui ne va pas, et nous créons l’effet inverse. Oui, plus on remet à plus tard, plus cela revient en force. Nous l’avons tous expérimenté à un moment ou à un autre de la vie.

Or, une des façons d’oublier, de décrocher de ce qui nous trouble momentanément est devenu aujourd’hui monnaie courante. L’alcool, parce que socialement acceptée, s’est hissé au même rang que certains aliments santé, si bien qu’on y découvre presque des vertus afin d’en faire mousser les ventes. L’alcool représente une grande part de l’économie mondiale.

Intégré dans nos vies comme une saine habitude, l’alcool perd vite de sa réelle valeur d’expérience gustative et cela, au détriment de la dépendance qu’elle engendre rapidement. Parce que c’est légal et même favorable d’en avoir et d’en boire, nous en renions la dépendance, nous minimisons l’impact de ce que la consommation abusive crée en nous, et un petit verre devient un second puis un troisième. L’effet engourdi ce qui nous fait souci, et voilà que l’habitude devient franchement malsaine.

Derrière toutes les dépendances qui tendent à paralyser la communication entre notre corps et notre esprit, souvenons-nous qu’à la base il y a eu un message important.  Souvenons-nous que nous avons préféré le taire et ne pas l’écouter. Comme un enfant qui se sait en faute, nous avons fuit la réalité en croyant pouvoir courir plus vite qu’elle. Mais attention, cette réalité-là nous rattrape toujours parce que fondamentalement, c’est le grand sentiment de l’amour qui motive sa présence.

Nous avons tous en nous la connaissance Universelle. La culpabilité de l’erreur n’a plus sa raison d’être aujourd’hui lorsque nous évoluons en conscience. Si nous pratiquons l’amour comme une puissance naturelle, l’amour de soi avant toute chose, puis l’amour du prochain, nous n’aurons plus à oublier la morosité de vivre dans l’absence de santé et de vitalité. C’est de notre ressort de prendre notre santé en main.

Isabelle Pitre, Coach de vie

L'alcool est le produit psychoactif le plus largement consommé dans notre société. Il est associé à l'idée de fête, de détente, de convivialité. En réalité, l'éthanol, principe actif que contiennent toutes les boissons alcoolisées est un anesthésiant dont les effets se font sentir à peine quelques secondes après son absorption.
Nous ne sommes pas égaux face à l'alcool. Certaines personnes peuvent en consommer de manière récréative, mais d'autres ont une sensibilité particulière à l'alcool ou à ses effets et peuvent développer assez rapidement une consommation appelée « à risque » qui peut se transformer en dépendance.
Si on arrête ce processus assez tôt, il est possible de continuer à consommer des quantités modérées d'alcool. Une fois que la dépendance s'est installée, une abstinence complète devient nécessaire pour éviter les pertes de contrôle et réacquérir une qualité de vie bonne.(Source APTA)


16.7.12

LETTRE À MON INCONSCIENT...




 Chère partie de moi,

Il y a longtemps déjà que nous n’avons pas communiqué ensemble. En vérité, longtemps que moi, je ne me suis pas adressé à toi directement de cette manière. Je crois que je n’osais pas te parler. En quelque part, j’avais peur de ce qui aurait pu se manifester.
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Aujourd’hui je t’écris avec des vrais mots, tant est-il que les mots peuvent différer quelquefois de notre véritable nature, mais aujourd’hui, ce sont les mots qu’il y a dans mon cœur. J’ai pensé à toi beaucoup ces derniers temps. Toi sous la forme des autres, ou toi comme un champ d’énergie qui me recouvre, peu importe. J’ai pensé aux beaux moments que nous nous sommes alloué ensemble plein de fois.

Sans savoir qui tu es vraiment à l’intérieur, je suis convaincue que tu es une personne magnifique. Tu sais, en prenant un peu de recul, j’ai réalisé toutes les choses que tu m’as exprimées, tout l’amour qui avait envie de sortir de toi de toutes les façons, en passant à travers moi. Je veux te remercier de cela, car je ne sais pas si par moi-même je pouvais en donner autant.

Je crois que nous nous sommes jugés souvent. Je crois que nous avons placé en face de nous les filtres qui font que l’amour même si on le reconnaît, ne se connecte pas.
Tu vois, je pensais vraiment que c’était toi qui n’arrivais pas à aimer. Je pensais que c’était toi qui avais coupé le lien qui unit la tête et le cœur, alors que dans le fond je réalise bêtement que c’était moi.

Je te remercie pour toutes ces prises de conscience que tu m’as permis de faire pour atteindre une étape nouvelle dans mon processus d’évolution. Je suis désolé de t’avoir jugé et condamné quant à l’implication que tu as mis dans l’importance de nos rencontres.  De mon côté, j’ai fais tous les efforts pour remarquer les choses qui te manquaient, et j’ai fourni très peu d’efforts pour être moi-même, pour te donner la chance de me découvrir, et de nous apprivoiser.

Je me suis littéralement placer à part, et j’ai valorisé l’espace qui séparait nos deux consciences plutôt que de t’avouer ma peur et le peu d’estime que j’alimentais face à la situation. Je te trouvais si beau, si grand, si admirable, que je voulais être toi au lieu d’être moi-même… mais c’était bien avant que je comprenne que de nous deux finalement, il n’y avait qu’une seule et même expérience, et qu’il était temps de t’accepter comme une partie de moi.

Je te remercie encore une fois de m’avoir permis de m’exprimer ainsi. Je me sens libre maintenant, et je me sens complète à la fois. J’espère que par ce texte, d’autres auront l’opportunité de communiquer ensemble comme nous l’avons fait. Souhaitons-leur si tu veux bien, beaucoup de bonheur et beaucoup de joies.

Isabelle xx

10.7.12

Relations amoureuses









Donnons-nous ce cadeau...


Aujourd’hui, les relations amoureuses ressemblent davantage à des soldes de grands magasins qu’à des échanges au niveau du cœur.  Plus les gens font des courses, plus ils s’éloignent de leurs désirs profonds. En vérité, hommes et femmes recherchent les aubaines qui feront d’eux des gens fiers et heureux l’espace d’un instant.

Selon une liste de critères extérieurs bien attirants à première vue, les célibataires passent rapidement à l’essayage, comme on essaie un vêtement. Ils se rendent compte peu de temps après, que leur achat est soit trop grand, soit trop petit ou simplement d’une mauvaise couleur.

Au travers tous ces essayages fortuits, presque jamais ils n’auront pris le temps de s’attarder à ce que dit le cœur. Le cœur qui aime et qui désire s’exprimer, bien au-delà du soi. Pourtant, rappelons-nous qu’il s’agit bien de relations amoureuses… et prioritairement dans ces cas-là, c’est au cœur à qui nous devrions donner plus de place.

Nous recherchons la personne qui va nous faire tourner la tête, la personne qui va répondre à nos besoins physiques, la personne qui va faire les choses que nous n’aimons peut-être pas faire comme de s’aimer soi-même suffisamment pour s’écouter intérieurement quand ça ne va pas. Tout cela reste une quête sans fin puisqu’elle ne correspond pas à ce qui fait de nous des êtres conscients, et sans un minimum de conscience, nul bonheur n'est possible.

Les célibataires d’aujourd’hui sont nombreux. Ils compulsent sans vraiment examiner la qualité des marchandises qu’ils consomment, car fondamentalement ils ne connaissent pas leurs véritables besoins. C’est une réalité triste, et difficile à assumer, mais comment remplir adéquatement un vide lorsque l’on ne sait pas de quoi il est constitué?

Vous savez au départ, une rencontre est une découverte de soi, et toute rencontre se présente à nous tantôt avec une facette positive, tantôt avec une autre plus négative. Sans ces deux polarités, comprenons que l’équilibre est impossible, et l’équilibre est ce qui représente les limites dans lesquelles toute vie se crée.

Bien des rencontres s’interrompent ainsi dès le premier faux-pas. Ce que nous reconnaissons chez l’autre et qui nous repousse tant sont indéniablement nos parties les plus secrètes, nos ombres. Celles dont nous avons très peu de connaissance. Notre foi, notre confiance en soi, en l’autre comme étant une partie de soi, en la vie même, doit déterminer les balises de tous partages communs. Pour aimer l’autre, pour être en mesure d’offrir notre amour en cadeau, nous devons d’abord nous avoir aimé complètement. Sachons que les aspects que nous n’aimons pas en lui ou elle sont les aspects que nous n’avons pas encore acceptés en nous.

Aimons-nous les uns les autres avec plus de conscience et plus de coeur.

4.6.12

La Philosophie derrière L'Humaniste


Nous considérons que chaque homme, chaque femme est en possession de capacités intellectuelles potentiellement illimitées. La compréhension de tous les savoirs a toujours été accessible à tous. Elle passe par l'éveil à une conscience plus vaste.
Toutefois cet éveil, faut-il le désirer profondément.

L'individu aspire à sa liberté d'être, à ses droits, et en même temps il remet ses choix de vie entre les mains de tiers. Il remet son pouvoir de créer sans réaliser ce que son geste exprime. Se souvient-il que la responsabilité de ses choix lui appartient, tout comme celle de ses pensées, de ses actes, et par conséquent, de sa propre réalité?

Nous avons cette quête d'individualité inconsciente qui nous sépare les uns des autres. La quête de vouloir toujours plus, d'avoir plus ou d'être plus alors qu'en définitive, rien ne peut réellement être comparé. Nous sommes unique, et parce que nous le sommes, la seule chose qui devrait nous importer est d'occuper notre juste place au sein de l'humanité. Cela revient à laisser la juste place que doit occuper chacun.

L'action individuelle nous sépare de notre nature véritable, car ce sont par les autres que nous éprouvons notre conscience d'être. Nous vivons grâce à l'interrelation de chacun, nous co-créons ainsi continuellement. D'ailleurs, si nous étions seul face à nous-même, en quoi pourrions nous être si spécial?

L'humaniste met donc au premier plan de ses préoccupations le développement des qualités de chaque être humain, son essence. Cela implique un engagement à la recherche de son unicité, de sa vérité, de ses possibilités oui, mais dans un esprit humain universel. Le développement et le raffinement de certaines disciplines devient dès lors absolument nécessaire pour parvenir à la maîtrise de ce que nous sommes en tant qu'être vivant.

24.11.11

Nos amis les animaux...








Les animaux de compagnie ont une grande sensibilité. Ce sont des êtres vivants, des êtres subtils, au service de la conscience. Ils sont là pour nous. Que représentent-ils donc lorsqu'ils ne sont pas l'éponge que l'on presse pour en tirer le jus? Et bien, ils sont des accompagnateurs de vie, des indicateurs de douleurs, et même des messagers de ce que notre âme veut nous dire.
En vérité,les animaux n'ont rien à apprendre de nous. Ce qu'ils sont fondamentalement correspond à leur véritable nature. Un chien de chasse a les attributs nécessaires pour la poursuite du gibier, alors qu'un chat domestique, l'agilité et les ressources pour se débrouiller bon an, mal an, été comme hiver. En contrepartie, nous avons tout à apprendre d'eux. Leur loyauté envers nous est complète, dans le sens qu'ils font ce qu'on attend d'eux dans l'exacte mesure où c'est notre coeur qui parle. Car le langage de l'égo, ils ne connaissent pas.

Nos amis poilus n'ont pas d'égo. Ils sont directement reliés au flot de conscience, à l'infinité de possibilités, et par extension, directement reliés à nous aussi, ainsi qu'au contenu de notre âme. C'est pourquoi, ils ont cet instinct de vie qui leur permet de ressentir l'inharmonie qu'il y a entre nous, dans son immédiateté. D'emblée, ils captent nos états d'êtres, comme ils captent nos états d'âmes et réagissent par les mêmes comportements que les nôtres. Ils ont compris notre façon de nous exprimer.

En les observant, nous pouvons tant apprendre sur nous-mêmes. Ils reflètent comme un miroir, toutes nos blessures les plus profondes, tous nos défauts, toutes nos manies, et heureusement aussi, toutes nos qualités. Lorsqu'il ou elle nous fait bénir tous les Saints de la terre, prenons conscience qu'en regardant un peu plus attentivement, l'animal ne fait que reproduire notre façon d'être. Comme un copier-coller, il mime nos actions, nos réactions, nos expressions.

Les animaux de compagnie ont ce qu'on appelle l'amour inconditionnel. Et quand nous faisons référence à cet amour qu'ils nous vouent, nous l'interprétons comme une marque de faiblesse, de stupidité. Il est vrai que dans notre vision du monde, c'est ridicule d'aimer un maître qui ne s'aime pas lui-même. Mais les animaux le font... car ils savent conjuger le verbe sans les conditions.

Les animaux regorgent de leçons de vie. Apprendre à les apprécier, c'est s'ouvrir un peu plus à la perfection de l'Univers.


Isabelle.

4.10.11

Le Reflet








Êtes-vous certain de vivre du bon côté?


Vous a-t-on déjà fait part d’un monde parallèle? Moi oui!

Un monde où, à l’exact moment où nous prenons une décision ou faisons une action quelconque, quelqu’un d’autre, en quelque part, identique à nous-mêmes prend aussi la même décision et fait la même action, et tout ça évidemment, au même moment!

De plus, n’a-t-on pas renchérie cette théorie en disant que ce monde parallèle, que personne ne semble avoir visité jusqu’à présent, se relie au nôtre par un, ou plusieurs vortex énergétiques semblables à ceux de la populaire série télé «La porte des étoiles». Oh la la...


Lorsqu’on y pense, c’est inquiétant. Il y a toujours dans ces légendes une part de mystère et de vérité qui vient ébranler un peu ce que nous sommes. L’espace d’un instant, nous imaginons combien il serait drôle de voir quelqu’un, pareil à nous, en train de promener un chien, pareil au nôtre, au même endroit… au même moment, mais ailleurs.
Est-ce que cette personne pense comme moi? A-t-elle les mêmes rêves dans la vie? Vit-elle les mêmes choses que moi?
Voilà les questions qui nous passent en tête sans toutefois en savoir les réponses. Car, nous ne sommes pas habileté à le faire. Du moins, c’est ce qu’on nous a enseigné.

Et bien, ce fameux monde, il existe. Il existe vraiment. Taratata !!
Si nous faisons abstraction du côté un peu extra-terrestre de l’histoire (nous les humains aimons tellement entendre des histoires), et que nous enlevons aussi tous les petits artifices qui provoquent des «Wow» et des «Holà», ainsi que d’autres réactions toutes plus magiques et impossibles les unes que les autres, nous nous retrouvons devant ce monde… les deux pieds dedans pour dire vrai!
Dedans ce monde que nous croyons double, et avec raison puisqu'il l'est ! Il s’agit là d’un reflet… un parfait reflet de nous-mêmes; dans cette eau pure, comme un miroir.


Vous savez. Nous sommes là, à contempler ce reflet sans savoir qu’il s’agit de nous. Comme des aveugles, nous regardons une personne sans la reconnaître, quelquefois avec compassion pour ce qu’elle vit, et d’autres fois, avec la plus grande ignorance. Mais toujours et partout où l'on regarde, c’est de nous dont il est question.
Ce monde que nous croyons loin de nous, au-delà de la porte des étoiles, il est là… à l’intérieur. Il est en nous et l’a toujours été. La porte quant à elle, apparaît lorsque nous fermons nos yeux et prenons contact avec ce merveilleux reflet dans le but de communiquer avec notre MOI le plus profond; notre MOI intérieur. Je sais que cette version de l’histoire vous semble plutôt terne et bien moins intéressante que celle d’avant où héros et quêtes se côtoient, mais ce serait de nous comparer nous-mêmes à quelque chose de terne et de moins intéressant alors qu’il en est tout autrement. Nous sommes ces héros et nous sommes ces quêtes.

À l’intérieur de nous, il y a ce petit monde… exactement pareil à celui que nous vivons. Nous en sommes les créateurs. Par nos pensées, nous entretenons et influençons notre propre monde… idéalement, nous le créons, comme ce que nous rêvons de créer pour nous-mêmes.

Isabelle Pitre
Coach de vie, Thérapeute Humaniste 514 945-2156

UNITÉ

  Le principe de responsabilité universelle implique un niveau de conscience qu'on peut toutefois apprendre à développer. Ce n'est p...