5.9.14

L'amour, un retour à soi


Grand public, Corporatif, Association, Organisme OSBL

Il faut aimer les choses pour les avoir à soi...
                                                                                        
Aimer les choses si l’on veut qu’elles restent près de soi.                                                                     
S’aimer soi-même d’abord très fort pour se donner la permission de s’ouvrir à la vie.

L'amour, un retour à soi

Cette conférence vient faire un peu de lumière sur les difficultés rencontrées dans les relations amoureuses. Que ce soit pour les couples qui sont déjà en relation, ou pour les célibataires en recherche de l’âme sœur, chacun y trouvera ses propres réponses.

«Nous avons beaucoup d’attentes les uns envers les autres, et ces attentes nous éloignent de nos désirs profonds puisque pour la plupart, elles ne sont pas exprimées. À la limite, quelques-uns d’entre nous connaissent ce qu’ils attendent vraiment de l’amour, mais peu d’entre nous savons que l’amour est là déjà.»

 Les idées suivantes seront abordées lors de cette conférence 

·         Que sont les sentiments que nous entretenons réellement envers les êtres, les choses?

·         L’amour comme un principe de motivation

·         L’amour existe partout, c’est nous qui avons appris à nous en séparer

·         Se sentir autonome face à l’amour

        «L’amour ne transite pas d’un endroit à un autre...        
Ni d’une personne à l’autre avec une impression de début et de fin, non.
L’amour est illimité, omniprésent, c’est tout de suite et tout le temps !!»
 
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Les conférences interactives ont une durée de 90 minutes.
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514 945-2156

 

3.9.14

Vivre les fêtes de Noël cette année sans se chicaner !!


NOEL SANS LES CHICANES ... 
EST-CE POSSIBLE ?

Pour plusieurs d'entre nous, les préparatifs du temps des fêtes et les retrouvailles en famille sont déjà source de stress et d'angoisse.  On nous attends en grande pompe le 24 et le 31 pour les réunions de Noël ou du jour de l’An sachant toutefois que ces moments supposément féériques tourneront probablement au vinaigre. Comme pour les années passées, les vacances débutent vraiment le jour où nous retournons à la maison. Alors dites-moi, comment savoir si on ne devrait pas passer son tour pour les célébrations en famille?

Quand les réunions familiales du temps des Fêtes sont synonymes de stress et de lourdeur, ne devrait-on pas tout simplement cesser d’y participer ? On dit que cette période de célébration représente un temps propice pour les remises en question. Donc, quand les anciens paramètres ne tiennent plus la route, il faut songer à en créer de nouveaux. Comment nous voulons vivre Noël ?
Pourquoi se créer une obligation juste parce que ce sont des dates arrêtées dans le temps, des rituels aujourd'hui voués à la consommation qui ont perdus leur véritable sens. Dans cette optique, posez-vous la question suivante et demandez-vous comment « moi » je veux vivre cette période de Noël ? Qu'est-ce qui fait du sens pour moi ?

Pour s’aider dans notre décision, rapportons-nous aux expériences passées, et plus particulièrement lorsqu’il est question de conflits non réglés, de non-dits. Faire un bilan de ce que l'on a vécu, ressenti, exprimé, puis résumer notre expérience en un mot. Il est important également d’écouter ses impressions, son intuition, son guide intérieur pour évaluer objectivement la situation. Et si notre évaluation nous indique que le meilleur choix reste d'y aller même si on n’en a pas envie, on y va ! Ce n'est que partie remise. On n’est pas prêt à apporter un changement; pas maintenant en tout cas et c'est o.k.

Apprenons à mieux nous définir, à clarifier nos besoins, à ne pas se créer d’obligations qui ne nous ressemblent pas. Apprenons à faire de meilleurs choix, à vivre plus intensément chaque moment de la vie selon ce qui nous anime. Décidons de vivre Noël autrement juste en exprimant qui ont est profondément.

Un bon conseil : La règle d'or pour un Noël sans chicane est d’éviter de consommer trop d’alcool. :)

1.8.14

Les polarités conflictuelles


Réintégrer la vie en soi     

Au cours d’un processus de changement, rare sont les fois où une personne n’en arrive pas à devoir faire face à ses parties d’ombres. Dans la majeure partie des cas, il s’agit de conflits internes qui s’expriment de la même façon que les conflits avec lesquels nous avons à négocier dans la vie courante. Ce sont des rôles qui se jouent en nous au niveau de l’inconscient, rôle que nous pourrions catégoriser pour mieux les comprendre, par les archétypes mis de l’avant dans l’analyse transactionnelle.
Il est question du parent critique par exemple, de l’enfant intérieur, de la partie médiatrice, de la partie créatrice ou de quelles qu’autres polarités (féminine ou masculine), qui ne sont pas nous mais qui sont tout de même des éléments qui composent notre persona. D’ailleurs, ces éléments régissent notre vie bien inconsciemment, et c’est à nous d’en prendre conscience par l’entremise des conflits externes que nous avons tendance à rejeter. Il faut comprendre que ce que nous réalisons chez les autres qui nous incommode, ne sont en fait que des projections de notre espace interne.  
Or, ces polarités conflictuelles ont pour la plupart une bonne raison d’être. Même si le plus souvent nous désirons nous en débarrasser, comprenons qu’il s’agit là d’un non-sens puisque nous rejetons le bébé dans l’eau du bain. Nous rejetons le négatif, et en même temps, nos propres solutions.
 
Extrait : La qualité d'être 1ère partie

1.4.14

Quelle direction prendre ?


Les cycles de la vie

Plusieurs périodes de la vie nous amènent à faire le point sur nos motivations profondes. Ce sont les cycles normaux de la vie. Vous savez, il s’agit plus particulièrement d’étapes par lesquelles nous devons passer comme on le fait une journée d’examen.

 

Ce n’est certes pas sans heurts que nous franchissons ces épreuves pour certains, ni sans stress ou tension superflue pour d’autres, mais nous arrivons généralement à circuler au travers ce passage. 

Trop souvent toutefois, en y laissant notre peau. Souvenons-nous que pour parachever nos apprentissages à l’école de la vie, pour valider notre droit d’évolution, il nous faut aller de l’avant...




 

25.9.13

LA DISCIPLINE.... UNE LIBERTÉ


Pratiquer une discipline de vie demeure pour chacun de nous un moyen d'accéder à la liberté d'être. Là où le plaisir nous maintient dans l'inconscience, dans le deni et la souffrance, la discipline nous ouvre toute grande les portes du coeur et de la vérité.
 
Qu'avons-nous donc à faire?
 
En tout premier lieu, s'engager envers soi-même à s'aimer comme on a toujours voulu l'être; s'aimer inconditionnellement. Qu'est-ce que cela signifie exactement... ?
Ça signifie de faire les choses pour soi, par amour, parce que l'on sait que ces choix précis par exemple, sont de bons choix pour nous...
- Mais je m'aime me direz-vous... tout en songeant au peu de temps que vous vous accorder pour vous-même !
 
La discipline se vit donc dans l'attention que l'on se porte, dans l'intention aussi car elle présuppose un acte d'amour, et dans notre présence au moment. Cela peut commencer avec une discipline corporelle libre et consentie, tant qu'elle est vécue sans contrainte, par amour de soi et dans la joie. Elle sous-entend une nourriture saine, naturelle et vivante.
 
Cela implique une respiration complète, la relaxation et l'accueil de période de silence où l'on se retrouve dans le calme, face à soi. Un juste milieu entre l'activité et le repos, en y incluant des activités physiques, intellectuelles et spirituelles en égale proportion.
Une ouverture à la Conscience par la décérébralisation; soit en cessant de tout vouloir comprendre de façon rationnelle. Une ouverture à ce qui est... dans le non-jugement. Elle implique une pureté renouvelée au niveau de l'esprit.
 
Du coup, pratiquer une discipline de vie permet de prendre conscience plus facilement des contradictions internes, des conflits et de leur ré-harmonisation. Pareillement, elle nous fait réaliser de l'importance que l'on accorde à nos peurs et avidités inconscientes, puis nous invite à les dépasser.
 
La discipline est aussi flexible qu'objective. Aujourd'hui n'est pas demain ni hier.
 
Elle demande de faire la paix au niveau des pensées. Oui la Paix avec un grand «P» dans notre esprit afin de se rencontrer soi-même chaque jour de nouveau comme au premier jour; s'apprécier, se réconcilier.
 
Elle implique peut-être la prise en conscience de la réalité des choses ou du fait que tout est illusion, ou les deux; l'existence de lois Universelles qui régissent la Vie, telles que l'impermanence, l'interdépendance et la responsabilité que nous avons les uns envers les autres, ou encore la causalité, pour ne nommer que cela.
Elle suggère la remise en question de nos habitudes de vie au présent et le développement des qualités du cœur, de l'intelligence émotionnelle.
 
Alors, loin de vouloir nous garder en cage, la discipline nous donne la clarté d'esprit, la lucidité. Elle nous permet de voir que ce qu'on croyaient être des moyens de profiter de la vie, d'avoir du plaisir, ne sont en fait que des manières qui nous approchent de la mort.
 
La discipline commence par un engagement à s'aimer soi-même comme on l'a toujours voulu.
 
Isabelle Pitre Coach de vie
 

15.8.13

Qu'est ce que le coaching ?


Concrètement, le coaching utilise des outils qui permettent d’approfondir la connaissance de soi. C'est une approche humaine, orientée vers les solutions où chacun retrouve le sens qui l'unit à sa vie. Les résultats deviennent mesurables dans le temps grâce à ce qu'on appelle: des indicateurs de performance.

Le respect de la déontologie, les techniques basées sur l’écoute, la reformulation de la réalité de l'autre, ainsi que la position d'observateur sur sa propre vie, font que la "magie" opère, et dès lors les solutions émergent dans l’esprit de la personne qui consulte lui permettant enfin de définir un plan d’action pour atteindre ses objectifs.


Mon Coaching s'inspire de tout un ensemble d'outils allant de la PNL très performante, à la Modélisation de l'excellence qui s'inspire des aptitudes des gagnants. La Gestalt que plusieurs honorent, la Systémique, ou la connaissance des systèmes et de leurs organisations en passant par le Voice  Dialogue ou les sous-personnalités, sans oublier l'approche Humaniste, la plus puissante de toutes.

Les approches humanistes orientées solutions sont efficaces et puissantes, Elles préconisent un changement durable. Que ce changement soit d’ordre physique, psychique, comportemental, perceptuel ou même spirituel, soyez convaincu qu'il influe sur tous les plans à la fois, allant de ce qui vous environne à ce qui vous inspire en passant par ce que vous croyez ou ce que vous êtes…

En tant que Coach de vie professionnelle, je valorise cette prise de conscience pour chacune des personnes que je rencontre. Cette ouverture vers d’autres horizons est déjà porteur d'une vision nouvelle puisque l'engagement personnel à vouloir changer sa vie vous permet d'être pleinement dedans.

Avez-vous besoin d'un coach professionnel, et à quoi ça sert?
Quand on pense au mot coach, la première image qui vous vient à l’esprit peut-être est le coach sportif qui vient en aide à un individu ou à une équipe sportive afin de performer au maximum de leurs capacités. 

Un coach de vie, c’est un peu la même chose.  Personnellement, je me spécialise dans ce genre d'accompagnement qui favorise la connexion à soi. À dire vrai, je morcèle les processus de la pensée pour vous aider à élargir votre champ de conscience et multiplier vos choix. Ce qui semblait impossible le devient ou ce qui prenait trop de place débarrasse.

Comment procède-t-on ? Facile comme 1.2.3

La consultation est d’au plus 90 minutes.

1. Tout d’abord, il faut nous rencontrer une première fois pour m'exposer cette réalité là dans laquelle vous vivez.

2. Avec du recul, j'analyserai ces informations et préparerai un plan d’action de connivence avec vous; ce qu'on appelle l'élaboration d'une stratégie de  changement.

3. Ensuite, vous vous doutez qu'il y aura du travail à faire ensemble. La communication se fait sur plusieurs niveaux de conscience, et génère un changement mesurable. C'est pourquoi il y a des suivis réguliers entre nous à raison d'une fois semaine dans le meilleur des cas, ou au deux semaines pour s’assurer qu’on est toujours sur la bonne voie. 

4. Je vous donne des actions concrètes à réaliser et des devoirs peut-être aussi, et on s'ajuste ensemble au besoin.

Quand on ne sait plus par ou commencer pour être heureux, peut-être qu’un coach de vie est la meilleure solution !




Ma pratique est assujettie à un code d'éthique professionnel. Je suis reconnue par l'Association RITMA qui regroupe les intervenants en médecine alternative.
Vous bénéficiez donc de reçus d'assurance à titre de Naturopathe.

Être le co-créateur de Sa propre Vie… Oui!


5.7.13

Quelques mots sur le temps...








 
Le passé n’est pas, il était, et le sera toujours.
Il n’est pas plus derrière nous, tournez-vous…
Il n’a jamais existé en fait.

 

Tout ce qui existe pour nous se situe dans cette part de conscience que nous avons de vivre l’instant présent. Une conscience d’être que nous avons très peu développée. Nous vivons dans nos pensées pour la plupart, dans nos impressions. Nous vivons à la fois dans le futur quand nous anticipons un quelconque évènement, sinon c’est dans le passé que nous habitons la plupart du temps. Par exemple, lorsqu’on raconte un segment de notre vie, nous décrivons une simple image mentale, à laquelle on associe parfois des émotions pour faire en sorte de la rendre plus vivante. Nous faisons revivre de cette manière le passé en le situant de nouveau dans le présent.

 
Nous sommes intellectuellement parlant soit dans l'un ou dans l'autre, et cela, tout en effectuant des actions, des gestes qui eux, se situent au présent. Notre tête et notre corps vivent dans deux endroits différents, deux rives séparés. Ils expérimentent la vie avec un fidèle décalage, et presque jamais ils ne la saisissent en simultané. À dire vrai, ils s'ignorent.

 
Nos actions sont-elles conscientes alors, ou inconscientes? Voilà une question que l’on est en droit de se poser. Et pour une grande proportion, je vous dirais que nos pensées se promènent comme ça, d’avant en arrière sans savoir trop d'où elles émergent ni où elles s’en vont. Tantôt nous échafaudons des scénarios d’avenir, des pensées qui sont axées beaucoup plus sur les autres, sur les évènements externes, comme sur nos relations,  tantôt nous modifions le passé en imaginant que les choses se passent différemment de ce que l’on a vécu, ou nous ressassons le pourquoi du comment ça n'a pas fonctionné. Nous sommes experts dans ce genre de vagabondage mental.

 

Là où une seconde est déjà chose du passé 

Dans la vision habituelle que nous entretenons du monde, le temps s’écoule à l’intérieur d’un cadre. Une matrice que l’on appelle communément notre espace-temps. C’est une façon comme une autre de cerner le temps dans un espace bien à lui, comme l’est notre manière d’aborder la vie d’ailleurs; un espace linéaire qui offre une impression de début et de fin. Cette perception de ligne nous permet évidemment d'avancer dans la vie avec assurance. Elle nous donne une direction, un sens, et nous montre que jamais nous ne pouvons retourner en arrière. Une roue n’avance pas à reculons, sauf si elle est à l’envers.
Même si cette notion d’avancement demeure nébuleuse pour certains, elle semble être très utile pour d'autres puisque nous pouvons y placer nos repères.

 
Dans cette vision linéaire, il y a toujours un départ qui nécessairement représente le début de la vie; la naissance. Ce point se trouve au tout début de la ligne, en fait, dans le passé si c’est de notre vie dont il est question, sinon aujourd’hui s’il s’agit de la naissance d’un projet. Nous pouvons aisément nous imaginer une ligne dans le temps qui symbolise notre temps à nous et qui relie ensemble le passé, le présent et l’avenir. Une belle ligne droite. Pourquoi pas!

 
Nonobstant l’endroit où nous croyons être sur cette ligne, où l’endroit dans lequel se place notre projet, nous pouvons avoir l’impression d’être à même de regarder derrière, à l’autre bout, comme de regarder plus loin en avant. Nous avons une position d’observateur sur notre propre vie. Dans cette position, nous pouvons tout autant nous transporter au travers le temps, et revivre par la pensée certaines bribes de notre vie passé qui nous paraissent stratégiques peut-être, pareillement, nous pouvons nous imaginer de quoi sera garant notre avenir. C’est donc un truc efficace quand on veut faire marche arrière pour considérer tout le chemin parcouru, ou encore, lorsqu’on a besoin d’avoir un regard plus détaché sur certains évènements. Essayez-le.

 
Parler du temps sans tenir compte de l’instant présent est une dérision puisqu’en fin de compte il n’y a que cela qui constitue notre réalité. Mais je vous entends me demander : Quand vient donc ce précieux moment?
Eh bien, lorsque la tête et le corps s’unissent ensemble. Dès lors, il n’y a plus de décalage, et normalement, ce sont ces fameux moments où l’on fait les choses dans le plaisir et la spontanéité.

 
Isabelle Pitre Coach de Vie professionnelle et Thérapeute Humaniste                                 

 


 
 
 

UNITÉ

  Le principe de responsabilité universelle implique un niveau de conscience qu'on peut toutefois apprendre à développer. Ce n'est p...