25.1.19

Rendre heureux rend heureux

Apprendre à s'accepter tel que l'on est...
C'est quelque chose que l'on demande à nos proches de faire, et généralement, ils remplissent bien cette mission.
Par contre, on ne le fait pas lorsqu'il s'agit de nous-mêmes, alors qu'on est vraisemblablement le plus proche de nos proches.
Bon vendredi mes amis(es) xx


Ce qui change après la mort des parents

CE QUI CHANGE APRÈS LA MORT DES PARENTS. UN TEXTE À LIRE PAR TOUS !
Quel que soit l’âge auquel on perd ses parents, le choc n’en est pas moins grand. On a beau être un adulte responsable, devenu soi-même parent, on reste toujours au fond de nous un enfant qui a besoin d’être protégé par ses parents. Si bien que quand l’un d’eux disparaît, on se sent livré à nous-mêmes. La douleur et le sentiment de solitude sont d’autant plus poignants qu’ils sont irrémédiables.
Entre parler de cette mort et la vivre, il y a un monde
Rien ne nous prépare à la mort, encore moins à celle de ses parents. La mort nous est incompréhensible.
Nous vivons un décès différemment s’il survient à l’issue d’une longue maladie ou s’il est subi, comme après un accident ou un meurtre. Dans ces derniers cas, le choc de la surprise s’ajoute à la douleur de la perte.
Autre facteur : le laps de temps entre le décès des deux parents. S’il est court, le deuil sera difficile. S’il est long, nous sommes plus préparés, comme à quelque chose d’inéluctable.
Dans tous les cas, l’adieu est une déchirure. Car, avec ses parents, ce sont des millions de souvenirs qui s’en vont. Ce sont des mots, des odeurs, des gestes, des baisers et des caresses. Ce sont eux qui vous ont créé, physiquement et psychologiquement.
Quand ils sont là et plus là
On avait beau savoir que ça arriverait un jour, vient le moment où on voit notre parent dans son cercueil, corps immobile et rigide. Il est toujours là, mais déjà parti. C’est alors que l’on comprend que tout est fini. Et qu’on se souvient du vivant, de ses réactions et opinions qu’on n’avait pas comprises alors mais pour lesquelles, soudain, nous éprouvons de l’indulgence.
C’est aussi le moment des remords et des regrets, voire de la culpabilité. Il faut lutter contre ce sentiment, ne pas le laisser nous envelopper, car il ne fait qu’ajouter à notre chagrin. Dans la vie, le moment des adieux est souvent celui où l’on pardonne. Il doit en être de même à ce moment-là. On doit pardonner à ce parent et nous pardonner à nous-mêmes.
Profitez d’eux tant qu’ils sont là
La mort de ses parents est très différente de celle des autres personnes, même celles qu’on a aimé profondément. Car, à ce moment-là, nous nous sentons abandonnés. Nos parents sont les premières personnes que nous avons aimées. Même si nous avons eu de nombreux conflits avec eux, nous en restons toujours dépendants, que nous le voulions ou non.
Quand ils disparaissent, nous voilà privés de leur protection. Vous connaissez peut-être des personnes qui se sont éloignées de leurs parents pour une raison ou une autre : vous avez sans doute constaté qu’il est difficile de vivre avec « le poids » de cette absence.
La leçon de tout cela est que vous devez réaliser que vos parents vont disparaître un jour ou l’autre et qu’il est donc indispensable d’en profiter tant qu’ils sont là.
Par : Jad Therapeute


23.1.19

Témoignages

Vu qu'on ne voit pas toujours ces publications comme on le voudrait, nous avons décidé de vous les partager. Nos étudiants(e) sont notre fierté !



19.1.19

Maintenant crée demain

Maintenant crée demain...
Planifier un futur ne veut pas dire de mettre toutes ses énergies à penser ou ne pas penser à sa retraite, de gérer ou de ne pas gérer son fond de pension, d’avoir ou non une hypothèque. Bien au contraire, cela signifie simplement de ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier, tous ses efforts dans un futur probable.
Pour chacun de nous, il faut prendre le temps de vivre au présent, car le futur n'est jamais assuré. En vérité, personne ne sait ce que nous réserve demain. Par contre, ce que vous aurez semé aujourd’hui viendra à terme d’ici quelques temps tout comme un enfant que l’on conçoit un certain vendredi soir et qui naîtra quelques neuf mois plus tard.
Il faut jouir du temps qui passe, lorsqu'il passe, tout en ayant à la conscience que ce que nous faisons aujourd’hui importe vraiment tant dans la qualité, notre qualité de vivre que dans l’action de préparer ce que nous vivrons demain. Vivre la tête dans le futur est selon moi aussi nocif que de vivre en regardant toujours en arrière. Ce qu’il nous faut alors c’est de trouver un endroit entre les deux, bien ancré, où nous pouvons vivre tout en ayant la conscience de ce que maintenant crée demain et que c’est ainsi à cause d’hier.
Extrait de : Ce que les chevaux m'ont appris...
Isabelle Pitre


8.5.18

Un vieux rêve

Mon plus vieux rêve d'enfance remonte à l'âge de 2 ans.
Redondant, dans ce sens que je l'ai rêvé à plusieurs reprises, c'est un genre de rêve qu'on oublie jamais... Voilà.
Je suis assise seule au milieu de la banquette arrière du véhicule de mon père ; une Ford Victoria 1951 Bleu-vert.
Mes parents sont à l'avant bien sûr, mais je les vois uniquement comme de grandes silhouettes noires ; des formes en deux dimensions, sans vie.
Du pli de la banquette sort une longue main de squelette qui s'approche de mon corps et me touche. Ça bouge comme une araignée cette affaire-là, et ça avance rapidement sur mes jambes et mon ventre. La sensation est vraiment super désagréable, surtout du fait qu'on ne m'a pas demandé la permission, alors je cri...
AHHHHHHHHHHHHH.......
Je cri très fort et très longtemps.
Mon père et ma mère sont immobiles et ne se rendent compte de rien. J'ai beau crier de plus en plus fort, je m'aperçois que je suis seule et qu'on ne viendra pas m'aider. Alors je change d'attitude et j'observe ce qui se passe.
Je me rend compte que ce n'est pas hostile, c'est plutôt drôle de la façon dont "ça" bouge. Ce n'est qu'une main faite d'os, au bout d'un avant-bras osseux qui avance sur moi et finalement me chatouille. Je ris...
Ce n'est pas méchant. Je décide de m'en faire un ami.
Puis, simplement, nous apprenons à faire connaissance. FIN
Les rêves de l'enfance sont gorgés de sens. Étant donné que ce rêve est venu me hanter de façon positive aussi souvent, j'ai développé un reflexe qui m'amène à changer d'attitude devant la peur. La mort et moi sommes devenus des amis, jusqu'à quel point ? Je ne saurais le dire. Mais je la connais mieux, ça c'est certain.
Et vous ? Vous avez aussi des souvenirs qui remontent d'aussi loin ?
Bonne journée
Isabelle xx

1.5.18

Tout est là déjà

Le fait d'avoir une quête, comme celle d'être un jour riche ou amoureux, n'est ni la richesse ou l'amour.
Plus nous cherchons ce quelque chose de particulier, plus nous nous en séparons.
La richesse et l'amour sont là déjà, partout, tout autour. C'est une énergie tout comme l'air. Ils ont toujours été là en réalité. Voilà la bonne nouvelle.
La vie essaie simplement de nous révéler son immensité... alors, prenons conscience qu'elle est là en nous.
Isabelle xx



Âmes mémorielles et programmations

  Non seulement les programmations sont-elles acquises à partir du jour un de notre existence, mais dans le mémoriel de l’âme, certaines pro...