26.7.15

RÉFLEXION DU DIMANCHE


Comme le dit Louise Hay, lorsque nous commençons à travailler sur nous-même, parfois les choses nous déstabilisent, et semblent à première vue être pire qu'avant.
 
C'est en fait, que nous sommes dans le processus...
 
 
Mes amis(es), vouloir changer implique bien sûr une réorganisation du système en entier. Le changement n'est pas un coup de baguette magique qui transforme les citrouilles en carrosses. Non ! Cela se fait étape par étape, comme lorsqu'on rebâti différemment une structure que l'on au préalable défait. Il y a une certaine logique dans toute reconstruction comme il y a une logique dans le fondement même de tout ce qui existe. 
Et parfois, c'est la réorganisation du système qui se manifeste et crée un inconfort, plus ou moins grand, plus ou moins intense, selon ce que nous sommes, ce que nous croyons, ou ce que l'on laisse vivre naturellement dans le corps...
 
Personnellement, j'ai appris à faire de la place pour les sentiments et les pensées négatives qui surgissent dans ces moments-là. À dire vrai, je les accueille, je les entends, et je les soigne comme on le fait d'une blessure sur la peau.
 
Après coup, je renvoie le tout dans l'énergie qui guérit ! On ne sait jamais, ça peut être utile à quelqu'un d'autre :)
 
Merci Louise Hay
Lady Isabelle 

9.7.15

Tout part de soi...

On ne vois pas
On n'entend pas
On ne ressens rien d'autre que le vide qui habite notre corps, notre vie.
 
Mes amis(es), quelqu'un me disait récemment combien il a manqué d'amour dans sa vie, combien il avait besoin d'aimer et d'être aimé !

 
Pour connaître un peu cette personne, assez en tout cas pour savoir qu'elle possède tout et bien plus encore, je lui ai répondu : tu ne vois pas, tu n'entends pas, tu ne ressens pas et pourtant tout est là autour de toi !
 
Tu sais, j'ai déjà été comme ça moi aussi. J'avais tout en principe, mais je n'étais pas heureuse. Il a fallu que je me déleste de toutes mes possessions pour me rendre compte que ma maison était à l'intérieur de moi, et que peu importe ou j'étais, je me sentais aimée, dans la plénitude et dans l'abondance. Il a fallu que je travaille sur moi, que j'apprenne à priori à m'aimer.

Si tu commence dès maintenant à apprécier, à aimer ce que tu as, ce que tu es et à l'inscrire à l'intérieur d'un petit journal juste pour toi, ton journal des gratitudes par exemple, tu découvriras que ton vide intérieur n'est issu que la peur d'être toi-même, dans ta propre beauté.
Sois dans la gratitude oui, car aujourd'hui tu as cette chance d'avoir et d'être ce que tu es.
 
Quand le cœur est fermé, rien ne peut transiter à l'intérieur.
Ni l'amour, ni le pardon, ni la joie, ni la sérénité.
L'amour existe et s'expérimente lorsque nous le laissons entrer en nous.
Ça ne viendra jamais des autres... Il ne faut pas attendre !
 
 
 
Tout cela part de SOI.
 
Isabelle Pitre Coach de vie

4.7.15

J'ai sauvé une libellule de la noyade...


J'ai sauvé une libellule de la noyade...
Oui... Puis je l'ai déposé doucement devant moi, sur le ciment de la piscine. Elle était inerte... Totalement.
Habituellement, lorsque je fais ce genre de sauvetage, les insectes sont pour la plupart un peu remués, mais ils bougent.
Elle, au bout de 20 minutes, encore rien.
Rien d'autre que ses petites ailes qui se soulevaient avec le vent. ...


Alors... Je me suis mise à lui parler, tout doucement.
Je lui ai dit combien elle était belle, ses couleurs, sa perfection.
Je l'ai informé de sa petite aile brisée, coupée en deux,.. un accident peut-être...
J'ai parlé et soufflé des mots doux, bienfaisants, des mots d'amour jusqu'à ce que... en une torsion très étrange, elle se mette à bouger.
 
Oh ! Te voilà, lui dit-je. Toi ma belle petite libellule.
 
Peu à peu, en faisant des essais, parfois en testant ses pattes, d'autres fois en vrombissant ses ailes, elle s'est rendue compte je pense, de sa petite aile brisée. Je dis cela parce du coup, elle s'est renversé sur le côté. Pouf !
 
Je me suis alors posé la question suivante : mais que fait-elle donc ?
Était-ce un relent à la vie tout ce que je venais de voir, ou simplement un réflexe conditionné. J'ai observé plus attentivement encore pendant un bon moment.
On aurais dit qu'elle avait rendu l'âme.
 
Lui flattant doucement le dessus des ailes, j'ai remarqué que parfois ses ailes bougeaient grâce au vent, mais d'autres fois, il y avait bel et bien une vibration minuscule qui venait forcément d'elle. Alors j'y ai mis toute mon attention.
 
Je regardais ses yeux verts. Deux grands yeux qui semblaient aussi me regarder.
Puis tout à coup, sa longue queue s'est replié comme le fait celle d'un scorpion.
Ça a duré une fraction de seconde et plus rien.
 
Alors j'ai parlé à nouveau, et j'ai parlé encore.
Puis je l'ai soulevé par les ailes pour la remettre plus droite sur ses pattes.
Cette fois je l'ai vu bouger légèrement, mais est tout de même retombé sur le côté...
Je lui dis: qu'à cela ne tienne, on va essayer encore. C'est pas un petit bout d'aile qui va t'empêcher de vivre, de te nourrir ou même de voler.
 
Je l'ai flatté, repris et l'ai remise debout. Plus je voyais qu'elle était vivante, plus la joie emplissait mon cœur. Ça a durer une bonne heure ce petit manège là. Il était temps pour moi de quitter la piscine.

 
Bien sûr, vous pouvez deviné que je ne l'ai pas laissé sur le ciment. J'ai placé mon petit doigt et derechef elle s'est accrochée bien solidement dessus comme un condamné s'accroche à sa dernière cigarette.

Je l'ai regardé bien en face et j'ai vu sa petite bouche s'ouvrir... une fois, deux fois, puis trois fois comme si elle me disait des choses dans son langage de libellule.
Wow... C'était magique !!
 
Je l'ai redéposé au sol, dans la verdure du gazon frais fait, et lui ai souhaité bonne chance, et bonne vie !
 
Mes amis(es), de retour à la maison, je vous partage cette histoire vraie... en riant de bon cœur pour ce que vous en penserez ! Pour ma part, cette aventure a fait ma journée, et je passerais le restant de ma vie à ne faire que ça !
 
Namaste

Lady Isabelle
(Merci à Laurent R. pour la photo)

UNITÉ

  Le principe de responsabilité universelle implique un niveau de conscience qu'on peut toutefois apprendre à développer. Ce n'est p...