27.1.19

Mise à jour

MAJ
S'il nous était permis de faire des "Mises à jour" de façon automatique dans notre système interne, comme le fait si bien notre ordinateur dans le but d'améliorer nos anciens programmes, comme ce serait aidant !
Nous pourrions par exemple remettre en contexte des patterns de l'enfance qui n'ont plus lieu d'être ; ou de changer notre façon de nous voir, de cesser de nous juger ou d'accepter des situations qui ne nous ressemblent pas.
Voilà l'idéal, mais ce n'est pas ainsi que ça fonctionne.
Nous devons à priori être conscient de notre mal-être, ce qui demande une volonté et une présence à soi importance (qui n'est pas inné chez l'humain). Puis, avoir le courage de vouloir changer et de faire les actions nécessaires pour y arriver.
(J'en vois déjà quelque uns qui font la grimace).
Reste que tout cela ne représente que le début du vrai travail… qui se veut d'être axé vers l'amour de soi. (pas le narcissisme)
Soyez bienveillant avec vous-même. Faites des choix qui vous rendent heureux (pas aux yeux des autres… dans votre cœur).
Isabelle xo


26.1.19

Reconnaissance

RECONNAISSANCE DE QUI NOUS SOMMES
Un besoin fondamental.
Quelqu'un me disait récemment que la reconnaissance était un manque d'estime de soi ?
Comment un bébé qui n'a pas été reconnu dès sa naissance comme une âme qui vient de traverser d'une dimension autre, arrive à savoir qui il est dans cette expérience humaine ?
Comment ce bébé peut-il se construire une personnalité, savoir qu'il existe vraiment s'il n'a pas ce regard aimant lui affirmant d'où il vient, qu'il est unique, important ?
Que fait-il si les personnes qui l'on mis au monde ne savent même pas qui ils sont ? Où seront ses repères ?
Si au moment où son baromètre intérieur lui dicte ce qui est bon et ce qui est mauvais, on lui répond que tout cela est faux ?
Et bien, vous le savez tous. Je suis convaincue que nous tous, avons vécu cette non-reconnaissance dès la naissance. D'où l'importance et la redondance de ce besoin fondamental qui pousse l'être humain dans une quête existentielle toute sa vie.
Reconnais toi dans l'amour inconditionnel qui transite au travers de toi. Reconnais sa présence ! C'est toi.
Bonne semaine les amis (es) xx Isabelle Pitre



25.1.19

Rendre heureux rend heureux

Apprendre à s'accepter tel que l'on est...
C'est quelque chose que l'on demande à nos proches de faire, et généralement, ils remplissent bien cette mission.
Par contre, on ne le fait pas lorsqu'il s'agit de nous-mêmes, alors qu'on est vraisemblablement le plus proche de nos proches.
Bon vendredi mes amis(es) xx


Ce qui change après la mort des parents

CE QUI CHANGE APRÈS LA MORT DES PARENTS. UN TEXTE À LIRE PAR TOUS !
Quel que soit l’âge auquel on perd ses parents, le choc n’en est pas moins grand. On a beau être un adulte responsable, devenu soi-même parent, on reste toujours au fond de nous un enfant qui a besoin d’être protégé par ses parents. Si bien que quand l’un d’eux disparaît, on se sent livré à nous-mêmes. La douleur et le sentiment de solitude sont d’autant plus poignants qu’ils sont irrémédiables.
Entre parler de cette mort et la vivre, il y a un monde
Rien ne nous prépare à la mort, encore moins à celle de ses parents. La mort nous est incompréhensible.
Nous vivons un décès différemment s’il survient à l’issue d’une longue maladie ou s’il est subi, comme après un accident ou un meurtre. Dans ces derniers cas, le choc de la surprise s’ajoute à la douleur de la perte.
Autre facteur : le laps de temps entre le décès des deux parents. S’il est court, le deuil sera difficile. S’il est long, nous sommes plus préparés, comme à quelque chose d’inéluctable.
Dans tous les cas, l’adieu est une déchirure. Car, avec ses parents, ce sont des millions de souvenirs qui s’en vont. Ce sont des mots, des odeurs, des gestes, des baisers et des caresses. Ce sont eux qui vous ont créé, physiquement et psychologiquement.
Quand ils sont là et plus là
On avait beau savoir que ça arriverait un jour, vient le moment où on voit notre parent dans son cercueil, corps immobile et rigide. Il est toujours là, mais déjà parti. C’est alors que l’on comprend que tout est fini. Et qu’on se souvient du vivant, de ses réactions et opinions qu’on n’avait pas comprises alors mais pour lesquelles, soudain, nous éprouvons de l’indulgence.
C’est aussi le moment des remords et des regrets, voire de la culpabilité. Il faut lutter contre ce sentiment, ne pas le laisser nous envelopper, car il ne fait qu’ajouter à notre chagrin. Dans la vie, le moment des adieux est souvent celui où l’on pardonne. Il doit en être de même à ce moment-là. On doit pardonner à ce parent et nous pardonner à nous-mêmes.
Profitez d’eux tant qu’ils sont là
La mort de ses parents est très différente de celle des autres personnes, même celles qu’on a aimé profondément. Car, à ce moment-là, nous nous sentons abandonnés. Nos parents sont les premières personnes que nous avons aimées. Même si nous avons eu de nombreux conflits avec eux, nous en restons toujours dépendants, que nous le voulions ou non.
Quand ils disparaissent, nous voilà privés de leur protection. Vous connaissez peut-être des personnes qui se sont éloignées de leurs parents pour une raison ou une autre : vous avez sans doute constaté qu’il est difficile de vivre avec « le poids » de cette absence.
La leçon de tout cela est que vous devez réaliser que vos parents vont disparaître un jour ou l’autre et qu’il est donc indispensable d’en profiter tant qu’ils sont là.
Par : Jad Therapeute


23.1.19

Témoignages

Vu qu'on ne voit pas toujours ces publications comme on le voudrait, nous avons décidé de vous les partager. Nos étudiants(e) sont notre fierté !



19.1.19

Maintenant crée demain

Maintenant crée demain...
Planifier un futur ne veut pas dire de mettre toutes ses énergies à penser ou ne pas penser à sa retraite, de gérer ou de ne pas gérer son fond de pension, d’avoir ou non une hypothèque. Bien au contraire, cela signifie simplement de ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier, tous ses efforts dans un futur probable.
Pour chacun de nous, il faut prendre le temps de vivre au présent, car le futur n'est jamais assuré. En vérité, personne ne sait ce que nous réserve demain. Par contre, ce que vous aurez semé aujourd’hui viendra à terme d’ici quelques temps tout comme un enfant que l’on conçoit un certain vendredi soir et qui naîtra quelques neuf mois plus tard.
Il faut jouir du temps qui passe, lorsqu'il passe, tout en ayant à la conscience que ce que nous faisons aujourd’hui importe vraiment tant dans la qualité, notre qualité de vivre que dans l’action de préparer ce que nous vivrons demain. Vivre la tête dans le futur est selon moi aussi nocif que de vivre en regardant toujours en arrière. Ce qu’il nous faut alors c’est de trouver un endroit entre les deux, bien ancré, où nous pouvons vivre tout en ayant la conscience de ce que maintenant crée demain et que c’est ainsi à cause d’hier.
Extrait de : Ce que les chevaux m'ont appris...
Isabelle Pitre


UNITÉ

  Le principe de responsabilité universelle implique un niveau de conscience qu'on peut toutefois apprendre à développer. Ce n'est p...