22.7.23

Regard cru sur l'avenir

 

Depuis une centaine d'années, nous avons graduellement perdu nos facultés d'intelligence au détriment du matérialisme. Tout a un prix vous savez. Et je pense que c'est plus difficile aujourd'hui d'avoir un regard éthéré sur la vie, étant donné que nous nous accrochons à des illusions de bien-être.
Nous sommes entourés de béton. Notre contact avec la nature est réduite à l'action de prendre l'air ou de cultiver des tomates. Pour ceux qui vivent à la campagne, ce n'est guère mieux compte tenu des pratiques industrialisées. L'argent mène le monde ou que nous soyons.
Nous ne savons plus lire le temps, ni les étoiles ou le comportement des animaux. Nous ne prenons pas soin de la nature qui d'ailleurs est manipulée. Nous ne savons plus comment être en adéquation avec les éléments comme le faisait nos ancêtres. Peut-être n'avaient-ils pas autant de raffinement qu'à notre époque ou tout est compliqué, mais chose certaine, ils avaient les pieds sur terre.

Pratiquement tout ce qui est vivant sur cette planète est exploité à outrance depuis bien trop longtemps, Exploité oui, puis détruit. L'homme se sert des ressources en place comme s'il en était le seul maître. Il n'a aucun intérêt dans le développement durable, aucune idée de ce qu'est la prospérité. Ce ne sont pour lui que des mots. À terme, il rejette ses résidus dans les étendues d'eau, le sol, et l'air, laissant des trous béants un peu partout, brisant les écosystèmes. Quant à celui qui a donné sa santé pour faire tourner la roue, il meurt endetté, le coeur complètement vide. L'essence divine est chassé de sa contenance lorsqu'elle se retrouve dans les mains de personnes dont la motivation première est le service à soi. Mais il est aussi de mise d'affirmer que nos habitudes de vie font que ces pratiques perdurent.
Notre multidimentionnalité nous l'avons égaré au détriment d'une technologie qui pense et cherche à notre place. C'est si facile, si rapide, et en même temps, on se déconnecte du réel, et nos facultés psychologiques et parapsychologiques prennent le bord. Le discernement n'existe plus. On laisse l'IA penser à notre place. Puis les gens vous savez, sont de moins en moins présents dans leur corps car l'incarnation comme telle demande de la présence, et être présent, conscient, demande l'effort et une vigilance de chaque instant.
On a l'impression d'être connectés alors qu'en vérité nous sommes branchés sur un mode virtuel. Une technologie qui régit actuellement toute la sphère entourant les échanges vécus ou transmis normalement à travers les sens. L'expérientiel s'oublie. On devient des machines et on se joue bien de nous. Pour que des courants purs telles que les sciences de l'esprit soient infiltrés par des forces involutives, on peut deviner l'importance des stratégies déployées à détruire ce qui élève l'esprit et la conscience humaine. Par conséquent, nous ne cessons de produire des mémoires et de les alimenter.
Ce qui arrive, nous l'avons créer, collectivement, par nos choix. L'ignorance est un choix. Le je-m'en-foutisme aussi. Nous nous sommes laissé endormir sous le chant des sirènes comme Ulysse l'a fait dans l'île des plaisirs ; par paresse mentale. C'est ainsi qu'on "by-pass" la conscience humaine en stimulant la partie du cerveau la plus archaîque ; le reptilien. Nos vies sont menés par la survie à priori, puis par le plaisir, la consommation de biens, l'argent et l'alcool, les jeux vidéos, l'internet et la télévision. Bref, des stimulations incessantes qui détruisent petit à petit notre conscience et notre souveraineté.
Vous savez, le vivant derrière nos habitudes de vie s'étouffe sous le joug de l'illusion. Par manque de contact réel avec le soi supérieur, la pollution de l'esprit continue de grandir et se matérialise sur la terre. De ma vie, je n'ai jamais vu une société aussi malade, aussi inversée dans ses valeurs. Les gens agissent déjà comme des robots. Dès lors, ils sont relativement faciles à conditionner. Costco, Walmart, Apple, Microsoft, tous peuvent s'en frotter les mains. Toutefois, sont-ils réellement responsables.
L'effort que nous avons à faire pour lever les voiles est immense, et peut se résumer à ces deux premiers mots que je vous partage ce matin ; ABANDON et RESPONSABILITÉ
Nous sommes appelés à comprendre la mesure de ces mots pour abandonner dans un premier temps ; croyances et peurs, illusions, faux plaisirs, spiritualité polarisée, opposition, déprogrammation. Tout ce à quoi nous nous sommes attaché, identifié, doit être remis en question, puis abandonné.
Puis ensuite, pourquoi ne pas se responsabiliser face à nos habitudes de vie. Sommes-nous conscients de ce que nous alimentons par notre consommation. Y en a t-il qui pensent réellement qu'ils n'ont pas le choix ?
Pour ceux qui veulent du concret. ça peut commencer avec le cellulaire. Un instrument de conditionnement bien rodé qui mobilise votre attention. Fermez les applications, les données. Servez-vous en seulement pour appeler.
Sortez de chez vous, allez vous rencontrer en personne.
Dès lors, nous recommencerons peu à peu à vivre des expériences réelles, puis à voir le sacré en toute chose, alimenté par la pureté de l'esprit, par l'intention et par le coeur. Là ou se trouve nos vraies richesses.
Lady Isabelle xx

21.7.23

Des endormis ?

 

Si les gens ne se lève pas c'est qu'il y a plusieurs raisons.
La première c'est qu'ils ne le "sentent" pas. Et bravo, parce qu'effectivement, il n'y a absolument rien à faire. Chacun observe la réalité à partir de son point de vue, de ses cartes mentales, de son niveau de conscience. Chacun a son bout de chemin à faire selon ce qui vibre en lui-même, et un ajustement intérieur si ce qu'il projette ne lui convient pas.

Le processus de la fin du monde de la mort est enclenché depuis plusieurs années déjà. Là, nous sommes dedans et ce que nous voyons, ce sont les résidus de merde qui remonte à la surface quand on décide de fluscher la toilette. Plus ça avance, plus il y en aura. Réjouissez-vous ! La seule chose que nous ayons à faire, c'est de nous permettre de vivre cette transition de la meilleure façon possible dans notre avatar, et cesser de craindre la mort.
L'équilibre de la vie, la fin du Kali Yuga, l'inversion des pôles... appelez-le comme vous voulez, vous avez le choix. ACCEPTANCE d'une situation qui se veut tout à fait naturelle, sans la polariser, ou RÉSISTANCE & SOUFFRANCE, car tout est bien mené pour vous garder dans l'enfermement.
La seconde raison de l'inaction, c'est effectivement qu'il n'y a pas de vision.
Pour le moment le narratif astralisé absorbe tout le monde qu'on soit pour ou qu'on soit contre. Cela divise les gens en clan et permet de nourrir un balancier. On est appelé à regarder les évènements à partir d'un plan plus élevé. Car comment allez-vous pouvoir changer le scénario du film si vous en train de jouer dedans ?

Il est essentiel de sortir de la polarité pour voir vraiment où se situe le réel de l'histoire. Et à partir de cette position détachée, on a conscience que l'amour est bien présent, oui, également partout.
Ces quelques jours hors des réseaux sociaux m'ont ouverts les yeux sur tellement d'avenues nouvelles. Je me suis fais la promesse que plus jamais je ne mettrai d'énergie à suivre les polémiques des uns ou des autres, conscients ou inconscients de ce qu'ils nourrissent ou des pièges dans lesquels ils sont. C'est beau de savoir que quelque chose existe, mais plonger dedans nous empêche de voir qu'il y a une infinité de ligne de temps à notre disposition.

Ceux qui veulent encore donner du pouvoir aux artifices de la matrice doivent avoir conscience qu'il y a un ange pour un démon ; une vérité pour un mensonge ; que de nourrir l'un fait émerger l'autre. Tout s'équilibre. On ne donne pas son pouvoir à un camp sans savoir qu'on nourrit le même agenda.
Alors peur du manque, pauvreté ou survivalisme sont des scénarios qui appartiennent encore une fois à la pensée unique. On ne doit pas s'imaginer des portes de sortie, mais ignorer complètement la venue d'une ligne de temps unique qu'on veut nous faire gober de la façon qui nous sied le plus.
Personne n'a pas besoin de se lever et d'aller aux barricades, et s'il le fait c'est une sérieuse perte d'énergie. De n'importe où dans le monde, personne ne sera épargné en ce qui concerne le changement de fréquence imminent. Chacun ira toutefois dans le chemin qu'il a choisi. C'est un torrent de changement qui prédit pourtant une nouvelle route, plus élevée en conscience.

Et c'est dans l'esprit que se trouve la sagesse du détachement dont plusieurs ont encore besoin.
Lady Isabelle xx

20.7.23

Un pas en avant et deux en arrière

 

LES PEURS SONT DES OBSTACLES ...
D'un côté, il y a ce besoin d’exister et de l'autre, il y a les peurs qui paralysent ce mouvement. C’est un paradoxe auquel nous avons à faire face toute notre vie puisque la raison d’être des peurs est de nous protéger.
L'intention est bonne, sauf que ...
Le problème, c’est que nos peurs sont saines quand elles nous protegent d'un réel danger, et elles le sont moins lorsqu'elles nous privent de notre liberté d'être.
Nous sommes donc appelés à nous questionner sur le fondement de la peur. Sommes-nous en face d'un réel danger, comme par exemple un lion qui arrive de nulle part en rugissant, ou le feu qui est prit dans la maison ? Ou sommes-nous victimes de nos propres scénarios, issues de croyances et de perceptions erronées ?
En fait, la plupart du temps, les peurs n’appartiennent pas au présent. Elles émergent souvent du passé, d'un traumatisme issu du 0-6ans, vécu sans accompagnement adéquat, qui refait surface suivant l'activation d'un déclencheur.
Passer à l’action, c’est se donner le droit d'exister.
Oser prendre sa place, c’est vivre dans l'inconnu pour un certain temps, et inévitablement ça réveille des peurs.
Si on souhaite avancer dans sa vie en se sentant vivant, et bien il faut faire avec, inclure les peurs dans le processus pour les aider à évoluer, ou encore, changer la programmation mentale et retrouver la liberté.
Lady Isabelle xx

14.7.23

Loi du rythme

 

COMMENT ON IMPLANTE UN COMPORTEMENT, UNE TENDANCE OU UNE IDÉE
Le principe du rythme est une Loi universelle qui présuppose ceci :
"Tout s'écoule au dedans et au dehors; toute chose a sa durée; tout évolue puis dégénère; le balancement du pendule se manifeste dans tout; la mesure de son oscillation à droite est semblable à la mesure de son oscillation à gauche; le rythme est constant."
Le début, la naissance :
Débuter, c’est se lancer, c’est oser. Débuter est une épreuve en soi et réveille bon nombre de peurs. Commencer, c’est être différent de l’instant d’avant, et cela peut perturber vos habitudes et activer vos croyances.
La durée, la croissance :
Durer, c’est maintenir un état, c'est affirmer son engagement en continu. L’énergie de la durée n’est pas de même nature que l’énergie du démarrage.
La fin, la mort :
Finir est parfois douloureux car cette étape peut vous rappeler des mémoires de fins, de séparations ou de pertes. Elle résonne avec l’idée de la mort. Savoir finir, c'est une phase importante de la loi du rythme.
La répétition du cycle :
Voila une autre difficulté ! Après avoir traversé les 3 étapes "début, durée, fin", le rythme demande de recommencer, de revivre le parcours et de se remettre du chaos.
En appliquant ces quatre étapes, vous créez un sillon qui se creuse et qui donne une forme à ce que vous faites. Si cela prend forme, cela commence à exister dans la psyché ou dans la matérialité. La réalité de ce qui existe est issue de l'enchaînement de ces quatre étapes.
D'autre part, dans l'univers, tout est rythmique. Tout ce que vous faites est donc inclus dans un rythme, une fréquence vibratoire. Vous pourriez essayer de décoder sur quel rythme vous êtes actuellement, dans quel cycle vous êtes engagé. Cela permet de comprendre les mouvements de la vie ou les cycles et les étapes de votre vie.
Observez les cycles en cherchant ce qui se répète, comme les cycles que nous vivons présentement. Brisez les cycles que vous ne voulez pas ou qui vous sont imposés. N'embarquez pas dans les schémas répétitifs qui sont néfastes. Créez en d'autres.
Reconnaissez vos patterns, vos dépendances, opposez-vous à eux avec force.
Vous vivez des cycles courts et long, des rythmes rapides ou lents, et vous vivez différents rythmes simultanément. La prise de conscience de ces rythmes est un outil fabuleux qui vous permet de les maîtriser.
Observez les rythmes dans votre vie, identifiez-les, comprenez-les, aimez-les. Et petit à petit, vous aurez en main la baguette du chef d'orchestre de la symphonie de votre vie. Car le rythme donne forme, et par la pratique du rythme, vous pourrez modeler la forme de votre vie selon votre volonté.
La loi du rythme est un principe que j'utilise souvent avant de prendre des décisions importantes. Pour moi, mettre cette loi universelle en pratique m'a évité bien des tourments et bien des pertes de temps.
Voici comment ça marche.
Sachez déterminer si votre action dans cette sphère de vie est au début du cycle (La naissance d'un projet par exemple), en période de croissance (Ça vous anime encore et il y a encore des leçons à apprendre, du chemin à faire), ou dans la fin.
Généralement lorsque vous vous posez la question intérieurement, la réponse vient rapidement. Mais je vous avouerai que beaucoup de gens ont de la difficulté à lâcher prise.
Dépendamment de la réponse, vous n'avez pas la même forme d'énergie à investir dans votre projet.
a. Une naissance qui ne démarre pas bien est comme un feu qui n'allume pas. Soit vous changer un ou plusieurs éléments pour lui permettre de prendre vie et d'être bien solide, soit vous le laisser aller parce que non-viable.
La naissance présuppose de prendre soin de son projet et de s'investir dedans comme le ferais un bon parent avec son enfant.
b. La croissance implique le remaniement, les tests, et les expériences, puis l'accueil et l'acceptation du cycle qui tourne maintenant de lui-même. Le projet a atteint une certaine autonomie. On a tout de même besoin de donner de l'eau au moulin pour l'alimenter.
c. La fin d'un cycle quand à elle, présuppose deux choses ;
1. Soit on renouvelle le cycle et on recommence, et alors, on matérialise davantage l'énergie en une entité qui va demeurer et s'auto alimenter.
2. Soit on laisse mourir, et alors l'énergie libéré pourra servir à d'autres, et l'espace créer attirera de nouveaux projets, de nouvelles idées.
Vous reconnaissez ce qui se passe avec la pseudo pandémie ?
Brisons ce cycle, cessons de le répéter et laissons-le mourir complètement.
Reprenons notre énergie !
Ça demande de l'effort oui. Mais c'est de votre vie qu'il s'agit.
Lady Isabelle xx

11.7.23

Mission d'âme

 

Comment différentier notre mission d'âme de la fausse mission astralisée de l’âme ?
Dans ce labyrinthe de Dédale qui nous sert de prison, nous avançons de façon limitée et contrôlée. Nous sommes cette souris de laboratoire qui toujours a l’impression d’avancer, qui se donne à fond dans sa quête jusqu’à ce qu’elle s’aperçoive qu’elle repasse continuellement dans les mêmes chemins, vie après vie. Dès lors, elle comprend qu’elle existe dans un décor, et que tout y est artificiellement conçu pour la berner.
La fausse mission d’âme est cette quête sans fin, ou l’être a cédé sa pensée, ses sentiments et ses désirs à des programmations qui n’ont d’autres prérogatives que de se nourrir de sa force vitale. Dans cette piteuse copie du monde, les idées se véhiculent à partir du bas ou du haut astral et donne l’impression de venir de nous. En fait, notre conscience est soit possédée, soit récupérée lorsqu’elle s’éloigne trop, soit déviée dans des pièges quand elle se rebelle.
Il faut beaucoup de discernement, de finesse d’esprit et de lucidité pour décortiquer ces stratagèmes, beaucoup de volonté et de force pour s’en extirper, car on est seul à le faire. Toute une communauté d’humain ne souhaitant pas faire l’effort de trouver la sortie, de peur de manquer de nourriture ou d’être privé de protection, nous attend au détour si on fait bande à part. Vouloir éveiller les autres sera toujours une mauvaise idée.
La vraie mission d’âme est bien au-delà de la vision astralisée du New Age, qui soit dit en passant est infiltrée par les mêmes qui nous tiennent en otage. Il n’y a pas grand-chose dans la matrice, pour ne pas dire : rien, qui ne soit infiltré par eux. Que ce soit l’histoire, les guerres, la nourriture ou la famine, les habitudes de vie ou la religion, en passant par l’éducation, la santé, la famille ou les relations. Absolument tout fait partie de conditionnements qui nous sont imposés depuis le jour 1 de notre existence. Il n’y a rien de réel dans cette maquette.
Le réel c’est la nature sacrée du vivant ; les règnes minéral, végétal et animal, et les humains, qui comme des imbéciles, participent à détruire l’un et l’autre.
L’âme est notre forme. Sans âme, il n’y a pas de corps. Un corps altéré, inconscient ou malade est synonyme de séparation, de blocage, de coupure. Pour être en connexion à l’âme, nous sommes appelés à user d’intelligence, de conscience, de finesse, d’unir la gauche et la droite en adéquation avec le cœur car l’âme répond à la beauté, à la vérité, à la pureté. Celui qui s’aligne avec son âme alimente d’emblée l’aspect sacré de toute vie dans chacun de ses gestes, de ses pensées, de ses désirs. Oui, nous sommes là pour aimer, pour protéger, pour faire prospérer la création, pas pour la détruire.
La vraie destinée de l’âme c’est d’être ce qu’elle est dans sa vraie nature, sans censure, coupure, distraction, division, invasion, pollution, sans besoin d’être gouvernée par quiconque.
Il est temps de mettre fin à ces expériences malsaines.
Lady Isabelle xx

10.7.23

Chacun son message

 

J'ai confiance en la vie, et vous ?
Après avoir vu le monde comme une source profonde de l'Univers, on peut facilement constater que tout ce qui existe dans la nature comporte une structure au niveau de la mécanique quantique.
Apprendre comment fonctionne ces mécanismes nous permet de créer à notre tour de façon plus conscience. On parvient à ce niveau de création par la connaissance de soi à priori, et par l'abandon à sa vraie nature, et dès lors, c'est la conscience qui grandit et se développe au rythme de l'Univers tout entier, jusqu'à ce qu'elle se transforme pour devenir elle-même un monde.
Vous êtes ce monde !
Vous êtes cette réalité !
Observez-la de façon détachée, et prenez note de tout ce qui vit à l'intérieur de vous-même. La réalité représente ce que la collectivité porte en elle, ce que chacun transporte en lui-même comme bagage. Il est temps d'alléger le vôtre.
Regardez la réalité jusqu'à ne plus y être, et observez comment se comporte le vivant.
Prenez conscience que votre observation est toujours teinté d'une intention, et/ou de pensées parasites.
Acceptez-les...
Puis accordez-vous le droit de regarder le monde avec plus de compassion.
Vous le verrez alors tel qu'il est vraiment, sans illusion aucune ;
baignée dans l'amour de votre âme et de la création.

J'ai confiance en moi, parce que je suis la vie !
Avec amour,
Lady Isabelle xx

3.7.23

Harmonisation

 

Harmonisation et principe de volonté

Krishnamurti disait que dans tout désir, tout acte, même dans le plus insignifiant qui soit, il y a des répercussions ; dans le champ d’énergie qui nous entoure ainsi que dans celui que nous portons en nous. C’est comme la goutte de colorant rouge que l’on introduit dans un verre d’eau limpide et qui en colore l’entièreté. Donc toute pensée qui s’immisce dans notre conscience, qu’elle soit négative ou positive, a un effet immédiat sur notre organisme cellulaire, puis sur les vibrations qui émanent de notre corps et rayonnent à l’extérieur. Par conséquent, vigilance et volonté deviennent des forces puissantes, qui nous orientent dans une direction que nous souhaitons voir venir.

Quand la volonté n’est pas, c’est le programme de base qui prend le relais, celui de l’inconscient. Celui-ci, nous le savons déjà, n’aime pas le changement.

Il en a même horreur. Il reproduira dans une exactitude précise les mêmes expériences que la veille et l’avant-veille afin de maintenir le statu quo dans tout le système. Quand la volonté est dirigée par l’ego, on n’est guère plus avancé. L’ego étant un ensemble de filtres qui répond bien aux programmations de la matrice et qui en général est pratiquement toujours en conflit.

Lady Isabelle xx

UNITÉ

  Le principe de responsabilité universelle implique un niveau de conscience qu'on peut toutefois apprendre à développer. Ce n'est p...