21.5.23

Ode du Dimanche

 

Les weekends, j’ai rendez-vous dans un grand champ de mil qui orne la campagne environnante. C’est un endroit particulier, cher à mon cœur, un endroit qui m’appelle de semaine en semaine, et me fait rêver. Du coup, je me sens transporter ailleurs, comme si je devenais l’actrice principale du film « Orgueil et Préjugés » tant les décors sont romantiques.
Je me sens habité.
J’y suis, accompagnée de mes deux Corgis qui gambadent autour de moi dans l’herbe haute.
Tous mes sens sont sollicités. L’ouïe, la vue, l’odorat, mais aussi mon corps, alors que le vent me chatouille et fait valser mes cheveux, ou la rosée fraiche encore présente qui hydrate mon visage comme un masque au collagène.
Je vois… pas comme si j’étais assise au balcon d’en haut, non. Je vois la perfection qui fait grandir mon cœur. Ça me fait vivre par en dedans. Et dès lors, je me dis qu’aucune création de l’homme ne procure tant de joies, tant de vie que celle de la création même.
Qu’il fait bon de vivre dans le réel, car je n’expérimente pas la vie de la même manière. Il n’y a plus de distractions, de sollicitations mentales, de propagandes, de modes, de tendances qui nous éloignent de l’êtreté. La vie reprend son cours et j’y retrouve le sens, ma place. C’est alors que je suis inspiré d’un monde tout à fait différent de celui qu’on nous propose. Un monde connecté, exempt de tout artifice ; l’inverse de ce que nous vivons présentement.
Les oiseaux gazouillent. Ça me rend heureuse.
Ils m’observent, me regardent passer bien posés sur une branche. Quant aux quelques abeilles qui butinent çà et là, elles attirent mon attention sur une talle de petites fraises qui commencent à se pointer le nez. Ça me rappelle de bons souvenirs. Le soleil se hisse très haut dans le ciel. Il fait son ascension et inspire le monde du vivant à en faire autant. On se rend compte que sans lui il n’y a rien. Il est au cœur de toute chose, comme au cœur de nous-même cette lumière qui nous illumine. Elle nous pousse à transcender l’illusion des cités pour nous ouvrir et fleurir… et…
Comble de bonheur, les amélanchiers sont en fleurs.
Bon Dimanche
Lady Isabelle xx

15.5.23

Extrait du livre - PASSAGE À VIDE


Le principe de polarité

"Tout est Double ; toute chose possède des pôles ; tout a deux extrêmes ; semblable et dissemblable ont la même signification ; les pôles opposés ont une nature identique mais des degrés différents ; les extrêmes se touchent ; toutes les vérités ne sont que des demi-vérités ; tous les paradoxes peuvent être conciliés. – Le kibalion
Pour un alchimiste, le processus de la manifestation se réalise à partir de deux phases inversées que l’on peut résumer à l’expansion et la contraction, telle une respiration universelle. On peut également faire un lien avec les mouvements ascendants et descendants des courants d’énergies cosmiques.
Le Principe de Polarité explique que, dans toute chose, il y a deux pôles, deux aspects opposés, et que les contraires ne sont en réalité que les deux extrémités du même concept entre lesquels sont intercalés des degrés différents. Par exemple les concepts de chaud et de froid, que l’on peut étaler sur une ligne droite et séparer par degrés ne sont en réalité qu’un seul et même concept.
En consultant son thermomètre, on peut constater qu’il fait froid ou très froid, chaud ou très chaud, soit entre les deux. Mais où commence le froid ? Où se termine le chaud ? Qui peut affirmer avoir découvert l’absolu de ces dénominations ? Personne. Car il n’y a ni début ni fin.
Le même principe se retrouve dans le jour et la nuit. Quand le jour nous quitte, la nuit arrive, et entre les deux, nous retrouvons encore une fois différents degrés de luminosité et différentes façons de les organiser sur une ligne : l’aube, l’aurore, le matin ou le crépuscule, la fin de soirée. En fait, on décrit un phénomène naturel et ses variables en se basant sur une analyse en 2D fragmentée.
Cette explication ne tient toutefois pas compte du mouvement, car la vie est mouvance, ni des notions d’infinité et d’éternité. On n’y fait pas allusion car l’être humain n’arrive pas encore à conceptualiser de telles informations, habitué qu’il est de tout simplifier à l’intérieur d’instruments de mesures qu’il a lui-même inventé. Il a besoin de compartimenter des informations sans prendre compte de facteurs fondamentaux tels la mouvance ou l’absence de temps. Les Lois Universelles lui sont inconnues, et il erre tel un handicapé à la recherche de l’autre moitié de son cerveau.
La création respire au rythme des polarités. Une expiration fait apparaître le monde, et une inspiration le fait disparaître. On prend alors compte qu’il y a deux mondes pour engendrer la forme ; et ces mondes font allusion à la dualité : Visible et invisible, intérieur et extérieur. Mais en même temps, la dualité ne peut être vu sous un angle linéaire. La dualité se contient en un seul mouvement, qui se fait peut-être en deux phases certes, mais qui ne peut être compris autrement.
Les polarités font aussi référence à des concepts plus abstraits, l’amour et la haine par exemple, le bien et le mal, ou l’évolution et l’involution. Tous ces aspects font partie du même ensemble, de la source si on veut. Du point de vue astrale, on retrouvera dans les fractales d’énergies, l’ébauche de formes qui prendront une direction ou une autre dépendamment de l’énergie polarisée par la force d’attraction.
Qu’est-ce qui crée cela ? C’est notre incapacité à traiter l’information telle qu’elle se présente à l’origine. Par effet de résonance, nous attirons des énergies qui viendront se greffer sur les cristallisations déjà présentes dans le champ de notre âme, et ce, jusqu’à ce que nous en prenions conscience et que nous parvenions à les libérer, voire les dissoudre.
Pourquoi ces cristallisations sont-elles encore présentes ? Parce que le terrain dans lequel nous avons pris forme, comprenait une série de programmations appartenant aux lignées d’ancêtres qui nous ont précédés. Comme ce terreau possède déjà des prédispositions à engendrer certaines caractéristiques plutôt que d’autres, il nous influence constamment dans le mouvement.
Puis bien sûr, au-delà des programmations de l’âme qu’on est tous appelés à connaître sur le bout des doigts, il y a les croyances acquises au fil des expériences humaines. Les essais-erreurs qui ont façonnées la conscience du jeune adulte par exemple, une fois qu’il a quitté le giron familial, ou de toute la propagande, les mensonges, la manipulation dont nous sommes victimes quand on donne trop de son temps au monde de la 3D.
Dans la 3D tout est polarisé. Le narratif mondialiste ou celui des complotistes se rejoint, car il est dirigé par les mêmes personnes. Peu importe le camp que l’on nourrit, Trump, Poutine, Macron, Trudeau, ils servent tous le même mandat. Ils sont mus par ceux qui maîtrisent la connaissance des Lois du monde astral.
La manipulation mentale et les technologies de contrôle sont si avancées qu’on est à même de se demander si certains, ou la plupart, ne sont pas parasités par des informations que l’on dépose ainsi comme une idée dans leur intellect. Sont-ils conscients des messages qu’ils proposent si on considère que les lanceurs d’alerte font partie de l’opposition contrôlée ? Je ne pense pas. Il y a certes des gens qui profitent toujours des occasions pour promouvoir leur ego, mais il y a aussi ceux qui pensent agir pour le bien de tous, et qui fondamentalement, font tourner la même roue du point de vue des polarités. Parles-en en bien ou parlez-en en mal, importe peu, puisque la parole crée, et que la répétition des messages suit parfaitement la loi du rythme. Une belle leçon qui s’incruste dans les consciences d’aujourd’hui.
Il y a fort à parier que ce qui se passe sur terre actuellement, n’est pas le fruit de coïncidences. Cela se passe avant tout dans le plan de la forme. Bien que des « machines » créent réellement des ondes qui hypnotisent les individus dans la matérialité, il reste que ceux qui maitrisent le fondement des Lois et des Principes kabbalistiques en sont à l’origine. D’ailleurs, l’agenda de ce groupuscule les amène à censurer l’enseignement occulte aux âmes qui sont désireuses d’aller voir plus loin. Ils ont fait leurs choux gras de la spiritualité new âge. La plupart des chemins spirituels empruntés par les initiés ont été infiltrés depuis la fin des croisades. Ils ont été reconstruits afin d’avoir la mainmise sur l’ensemble de la communauté ecclésiastique et par conséquents, sur les croyants qui les suivent.
Parmi les Principes du Kybalion, celui de la vibration représente assurément ce qui leur fait le plus peur, car s’ils en perdent le contrôle, tout risque de s’effondrer.
Ce Principe implique que tout est en mouvement, tout vibre, rien n'est à l'état de repos. Ce principe explique les différences qui existent entre les diverses manifestations de la Matière, de l'Énergie, de l'Âme, et même de l'Esprit. En fait, elles sont la conséquence d'une proportion inégale de Vibrations. Nasim Harramein, physicien chercheur, le décrit au moyen de mini vortex. Quant à moi, je compare le principe de vibration à une toupie qui n’a de cesse que l’éternité.
Depuis la source, qui est Esprit Pur, jusqu'aux formes les plus grossières de la matière, tout vibre. Plus grande est la vibration, plus haute est sa position sur l'échelle. Par exemple, la vibration du Soi supérieur est tellement intense et si infiniment rapide qu'elle paraît pratiquement être en repos, comme les roues d’une voiture qui roulent si vite qu’elles semblent arrêtées. À l'autre extrémité de l'échelle il y a les formes grossières de la matière dont les vibrations sont si lentes qu'elles paraissent ne pas exister. Le règne minéral par exemple en fait partie. Entre ces deux pôles opposés, il y a des millions et des millions de degrés différents de vibrations.
En maintenant les consciences humaines dans des vibrations basses, ils arrivent à garder la structure de la matrice en place. D’où l’importance de la guerre, la peur, la maladie, la souffrance. Si nous avons oubliés que la pensée crée, fiez-vous sur moi qu’eux le savent.
L’opposition contrôlée représente l’autre versant d’une même chose. Elle sert à l’acceptation d’une idée en proposant deux choix ; la pilule rouge ou la pilule bleue. Or, nous savons que deux choix présupposent d’un dilemme, d’où cette impression d’être toujours en conflit intérieur. Nous sommes rendus à un point, en tout cas pour ceux qui s’observent et savent se remettre en question, ou la dualité n’est plus nécessaire pour créer. Non seulement ne l’est-elle plus, mais les conflits intérieurs dispersent la volonté. On doit plutôt s’accaparer les deux énergies pour les unir ensemble, et augmenter par conséquent la force de réalisation.
On ne peut passer à côté de l’idée que les chapeaux blancs sont justement une opposition contrôlée. Finement ciselée certes, elle a pour but d’entretenir l’inertie, tant au niveau physique que psychique ou spirituel. Ceux qui se font des scénarios sur l’aboutissant des guerres, qu’elles soient reliées à la mafia Khazar, à L’OTAN, ou au mouvement Géséra/Néséra se leurrent. Encore une fois, on entretient un discours dualiste. C’est l’autre extrémité de l’agenda 20-30. Et pendant ce temps, on reste dans l’inaction, dans l’attente qui crée l’attente jusqu’à ce que l’urgence de sortir de la matrice devienne impossible.
Je l’ai déjà dit. Tout ce qui est inorganique ne pourra pas ascensionner en 5D. Oui, car tout ce qui est organique possède un corps éthérique, un corps astral qui lui donne une forme, une énergie, etc. Le reste ne peut transiter d’une dimension à l’autre. Cela doit passer par l’éther.
Je vous le dis, il n’y aura pas de maisons vacantes disponibles lorsqu’on fera une transition d’un monde à l’autre, parce qu’il n’y a pas de séparation hors de la dualité. Nous ne nous élèverons pas à l’intérieur de la matrice. Non, il faut en sortir une bonne fois pour toute. Le plastique, la technologie, la robotique, les matériaux composés, ce qui est fait en laboratoire ou construit par des procédés artificiels, tout cela va disparaître. Il n’y a pas en 5D de structure pour maintenir ces choses ou les soutenir.
Idem pour les personnes qui n’auront pas préparé et structuré leur conscience. Aucun changement de fréquences ni de dimensions n’aura lieu pour eux. Ceux-là seront récupérés par des forces involutives, ailleurs, sur d’autres plans ou ils continueront d’agir en esclaves pour des maîtres.
L’étude des Lois de L’Univers, encore disponibles sur internet, est probablement une première bonne étape à réaliser pour quiconque aspire à la transformation, car elles sont les seules qui valent qu’on s’y attarde. Mais il ne faut pas uniquement les étudier au point de vue intellectuel, on doit les mettre en action dans nos vies en étant engagés.
J’aimerais vous amener à réfléchir sur la différence qui existe entre les Lois de la manifestation qu’utilisent les Francs-Maçons pour bâtir des systèmes d’enfermement et de contrôle, et les Lois de la manifestation qui implique de se vider de son personnage (ego) pour se laisser transcender par l’esprit, et incarner le divin dans la matière ? En fait, il n’y en a pas. Les Lois sont les mêmes. Seulement, elles ne sont pas utilisées pour les mêmes agendas.
Les Francs-Maçons se servent des Lois de la Kabbale pour maintenir une réalité artificielle en place, une réalité dans laquelle ils sont maîtres. Cette réalité, on l’appelle la matrice. Notre compréhension de la matrice n’est pas encore tout-à-fait au point. Il s’agit d’une panoplie de technologies sophistiquées qui diffuse en continue ses poisons et toxicités anesthésiantes, sous toutes les formes possibles. Car vous le savez, nous sommes tous programmables, d'autant plus lorsque nous dormons du sommeil de l'innocent.
Alors, ils sont peut-être passés maîtres des forces occultes et involutives sur terre, mais ça s’arrête là. Leur suprématie, leur dominance s’arrête aux limites de la matrice. Au-delà de cette zone, ils n’ont plus aucune influence sur nous. Le « Truman show » prend fin lorsque Truman trouve la porte de sortie. Alors ne croyons pas être prisonniers de quoi que ce soit d’autres que de la manipulation psychique dans notre propre ego.
Mus par le bas astral qu’ils connaissent par cœur, les oligarques FM y resteront toute leur vie. C’est leur destinée d’incarnation. On sait par exemple, que s’ils vont badiner du côté de la conscience christique, ça en est terminé pour eux. Aucune ombre ne résiste à la lumière, c’est la logique même. Mais attention, le plan astral est composé de dualité. Sans cet aspect, il n’y a pas de forme.
Dit comme cela, on est à même de se demander s’il existe une façon de manifester la source, sans avoir à passer par le plan de la dualité ? Bien sûr que oui. Dans un premier temps, on aura remis l’ensemble de nos mémoires au point zéro, dans la neutralité, et nous irons jouer directement dans le plan de l’éther. La matérialisation sera instantanée, moins dense peut-être, et volatile, en ce sens que les choses ne resteront pas fixe ou ne donneront pas l’impression de l’être.
N’oublions pas que dans la matrice, c’est le regard que l’on pose sur les choses qui les polarise.
N’oublions pas non plus qu’au niveau de la source, la polarité n’existe pas. Le bien et le mal n’existe pas. C’est aussi dire que le lion qui mange la gazelle ne répond à rien d’autres qu’à la géométrie sacrée pour laquelle il a été créé.
Toutes les réalités sont des possibles non-manifestés. Tout jugement fait donc pencher la balance dans la dualité, et crée par la même occasion une forme. La forme doit être maintenue un certain temps, nourrit, arrosée si on souhaite qu’elle se matérialise, d’où le principe du rythme. Et c’est quand même facile de comprendre le processus en observant le monde végétal. En retenant la mécanique du mouvement des cycles, on se souviendra donc que :
Tout part d’une intention, d’une idée ; la graine
Cette intention a besoin d’une structure de réalisation (mathématique, géométrie sacrée) ; la terre
Puis ensuite, l’intention doit être nourri – Le soleil, l’eau, les soins
Constamment, et continuellement – La loi du rythme
Lady Isabelle xx
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10.5.23

Laisse la vie être

 

Ce que les autres font, ce que les autres sont, ça ne t’appartient pas.
Cela t’appartient quand tu commences à t’identifier à eux de par ton propre jugement.
Dès lors, ces choses que tu hais, qui te rebute ou te dérange, deviennent toi car tu les laisse entrer dans ton champ d’énergie, dans ta partie créatrice.
Les autres sont ce qu’ils sont et c’est parfait ainsi. Il n'y a rien à redire.
Toi, tu les observes, tu les reconnais et tu les vois.
Tu apprends. Tu comprends.
Tu as conscience des voiles, et tu prends conscience des tiens.
Tu poursuis ta route sans arrêter.
Le non-jugement permet d’orienter ta vision dans le respect de l’autre et de son chemin de vie.
Tu n’as rien à faire alors n’intervient pas.
Ne rien faire, c’est redonner à l'autre, sa dignité, sa responsabilité, son droit d'être et son intelligence.
Car tu sais, toutes les réalités se valent ici-bas, elles s’inspirent de l’illusion et de la projection des uns et des autres. Elles sont utiles pour eux.
Le jour ou tu prendras conscience que malgré les intentions mises par l’homme pour changer la nature même du réel, celui-ci demeure immuable. Il ne change pas.
La vie est et la vie continue.
Un oiseau reste un oiseau, un lapin est un lapin et toi tu es TOI.
Lady Isabelle xx

8.5.23

Réflexion


Ne jouons pas à l'autruche...
Ce message est pour ceux qui vivent dans la lucidité de la réalité extérieure, ceux qui savent plein de choses sans les mettre en pratique, watch out. Soyez plus rusés. 

La mise en pratique des facultés extrasensorielles telles que la claire voyance, le claire senti, la claire audience, télépathie, reiki ou travail des énergies, des chakras, des polarités, du point zéro, de la méditation, de la manifestation des demandes, de la connexion au SOI, de l'alimentation vivante, des pratiques physiques comme le yoga, le tai chi et j'en passe... permet d'intégrer la connaissance, de les faire sienne. Nous sommes appelés à les développer afin de faciliter la transition des mondes. Soyez simplement vigilent à ne pas suivre un enseignement autre que celui qui vient ouvrir votre coeur. 

Il est fou de penser que malgré les démons que nous portons en nous, on va nous laisser en paix. Ça ne fonctionne pas comme ça.
Même si on se cache derrière un tronc d'arbre, ces forces sont bien plus avancées qu'on ne le pense. On vous a vu, n'ayez crainte. L'inconscient par exemple, emmagasine l'information avant le petit conscient. Il réagit donc avant le conscient aussi. Alors même si on fait mine de ne pas les voir ou d'y faire face... ils sont en nous ! et ce sont quand même eux qui auront le dernier mot. Nous projetons hors de nous-même ce à quoi notre inconscient vibre. 

Un ménage de fond doit se faire.
Et c'est là que le principe de VOLONTÉ prend tout son sens. Nous nous engageons chacun personnellement à notre propre métamorphose, personne ne viendra vous chercher, sortez de l'attente, et s'il faut gratter un tunnel et traverser des égouts comme l'a fait Andy Dufresne dans le film "A l'ombre de Shawshank", hey bien, faisons-le. Nous retiendrons ici que la foi dans un tel voyage doit rester inébranlable. On atteint notre but en focalisant dessus, peu importe ce qui arrive. 

Il faut se lever, prendre position dans sa pensée d'abord, s'opposer aux programmes asservissants de l'astral, aux prisons qui maintiennent le mental dans l'involution, aux conditionnements sociétaires qui nous surstimulent, arrêter d'avoir peur de l'illusion ou de polariser au niveau du corps émotionnel, et se laisser guider au service de notre voix intérieure, de ce que nous sommes fondamentalement.

Un beau programme de vie nouvelle qui demande de l'effort, je sais. Mais c'est comme d'apprendre à faire de la bicyclette, après un moment, ça se fait tout seul. 

Lady isabelle xx

7.5.23

Notre regard

 

Quand je regarde ma vie, j'ai parfois l'impression d'en avoir vécu 4 plutôt qu'une. Je vois l'ampleur des projets que j'ai mené à terme, et pour lesquels j'ai persévéré, et je me rend compte qu'il y en a effectivement beaucoup.
Comme plusieurs d'entre vous j'imagine que, dans certains domaines, j'aurai accompli beaucoup de choses alors que dans d'autres, je suis encore à pas de bébé.
Par exemple, n'ayant pas eue la chance d'avoir une famille à moi, tout ce temps dédié m'est revenu. Je suis passé à côté de bien des activités familiales traditionnelles, bien des évènements qui participent à la création de souvenirs. J'aurais pu développer des compétences différentes puisque je ne sais même pas comment tenir un bébé dans mes bras. Par contre, j'ai vu naître des tas d'animaux, chiens, chats, chevaux, oiseaux, lapins dont j'ai pris soin. J'ai été mère par intérim d'une multitude d'adolescentes abandonnées par leurs parents. J'ai été gardienne, enseignante, soignante, accompagnante. En fin de compte, j'ai eu mille enfants !
Idem pour la vie de couple que je n'ai pas choisi, puisque j'ai pratiquement passé ma vie en célibataire. Encore une fois, si j'avais mis mon attention sur cet aspect de ma vie, je serais surement devenu une pro de la vie à deux !
Est ce que j'ai des regrets ? Non, bien entendu !
J'ai vécu ma vie comme je la voulais.
Je ne suis pas non plus une personne de "gang".
J'ai besoin de délicatesse, de vérité, de profondeur, de calme, de silence. Il n'y a aucun bruit chez moi mis à part le souffle de ma propre respiration. J'aime m'entendre réfléchir.
Lorsque je suis en groupe, j'ai l'impression d'être dans un stand d'autos tamponneuses. Vous voyez l'image ? Je me sens comme un outsider, à la recherche d'une fréquence qu'il semble impossible de syntoniser.
J'aime les rencontres "one on one", profonde et vraie, où chacun se raconte, écoute, sachant que l'autre est là pour soi, et où il y a une proximité intuitive d'âmes qui se touchent l'une l'autre.
Je suis toujours intègre et vraie. Mes amitiés sont sincères.
Je suis une bonne amie pour quiconque souhaite vraiment me connaître, mais je ne sais pas comment jouer aux devinettes.
Ces amitiés sont ma famille, ce sont mes âmes sœurs, et chacun sait qu'au terme des missions que nous nous sommes donnés les unes envers les autres, arrive un temps où nos chemins se séparent.
Les séparations sont toujours dures à surmonter, c'est un deuil à faire incluant les mêmes étapes. Quelqu'un qui nous a aimé profondément, et qu'on a aimé en retour, une personne à qui on doit souhaiter bonne vie malgré l'envie de la serrer contre soi, de la porter des années encore en son cœur, la fin d'un contrat d'âme, c'est une autre façon d'aimer.
On se réjouie pour l'autre, lui redonnant sa liberté, célébrant ce que nous avons capté d'elle et gardé en notre champ morphique... et on entretien par conséquent des pensées florissantes à son sujet. En même temps, tout en étant dans la gratitude, on peut dire au revoir aux souvenirs qui ne sont rien d'autres que des engrammes, des dossiers qui nous retiennent au passé.
Ce sont des choses que l'on ne nous apprend pas, dont on ne connaît jamais l'issue à l'avance.
Ne dit-on pas que chacun vient sur terre pour se dépasser lui-même ?
D'ailleurs en ces termes évolutifs, plusieurs confrontent dans ces évènements leur blessure de rejet, d'abandon, d'injustice... pour apprendre à lâcher-prise ou à pardonner alors qu'il n'y a rien à lâcher ou pardonner.
Nous sommes appelé à réapprendre ce qu'est le détachement ; cet état d'amour de celui qui contemple la vie, et se sait créateur. Il ne peut y avoir ni blessure ni jugement puisque son regard est témoin d'une œuvre majestueuse qui provient de l'alignement de son propre esprit.
Laissons entrer la lumière en nos cœurs. Rien ne nous appartient.
Lady Isabelle xx

4.5.23

La noblesse


Malgré l’intonation que peut prendre ce mot aux oreilles de certains, il n’empêche que la noblesse présuppose l’élévation. Mais l’élévation de quoi me direz-vous ?

À travers l’histoire, nous avons associé la noblesse à une classe de la société dite privilégiée. Non seulement avaient-ils la fortune et les titres entre les mains, mais les nobles possédaient supposément une qualité transmise par le sang que les autres n’avaient pas.
Aujourd’hui, nous pouvons réaliser facilement qu’il n’en est rien, et que par-delà les siècles, c’est la fourberie qui continue de définir ces gens qui se croient favorisés. En vérité, ils ont fait le contraire de ce que la noblesse oblige, en répandant la noirceur, la séparation et la mort partout autour d’eux.
Pourquoi les a-t-on cru ?
Parce que l’être humain est ainsi rabaissé à l’état du pauvre pêcheur par l'Église. Il ne maitrise pas ses bas instincts et se laisse facilement manipulés par la culpabilité, pour ensuite demander pardon à une institution soi-disant près de Dieu, mais qui sert les nobles.
De la sorte, on a largement abusé de la crédulité des peuples, et ça continue encore aujourd’hui avec d’autres moyens tout aussi perfides et hypocrites.
La seule chose que nous devons retenir de la vraie noblesse, c’est celle du cœur, soit d’élever nos sentiments au-delà du point de bascule qui divise et d'accueillir ce que nous sommes dans une excellence morale : la justice, la persévérance, la miséricorde, la tempérance, la charité, la bienveillance, l’honnêteté, la prudence et le courage. Et comme le citait La Rochefoucauld ; J’ai les sentiments vertueux, les inclinations belles, et une si forte envie d’être tout à fait honnête, que mes amis ne sauraient me faire un plus grand plaisir que de m’avertir sincèrement de mes défauts.
Bonne journée 😉
Lady Isabelle xx

3.5.23

Les éveils

 


Je me permet de mettre ce mot au pluriel car nous ne cessons jamais de nous éveiller.
On s'éveille lorsqu'on prend conscience d'une partie de soi.
On s'éveille, quand on harmonise nos polarités, quand on reconnait ses patterns et qu'on réussit à en sortir, ou quand quelque chose d'inconscient, de refoulé, remonte à la conscience.
L'éveil c'est comme les pelures d'un oignon.
On enlève une couche à la fois.
Au début, on a l'impression d'avoir "enfin" trouver réponse à tout.
On s'émerveille alors de la grandeur de notre conscience, alors que ce n'est que le point de départ du retour chez soi.
Puis au fil du temps, d'une couche après l'autre en moins, lorsqu'on se retrouve de plus en plus près du centre, c'est alors qu'on commence vraiment à voir à quel point on ne sait rien...
L'entonnoir s'ouvre tellement grand sur l'infini qu'on choisit de lâcher prise, et de s'abandonner à sa guidance intérieure.
Dès lors, le temps de s'amuser comme un enfant résonne, et on part à la découverte, explorer l'éternité.
L'éveil à sa nature véritable qu'est-ce que c'est ?
La nature de son âme ? de son esprit ? de sa conscience ? de sa spiritualité ? de l'amour ?
Pour le savoir, rien de mieux que de s'éveiller encore et encore !
Lady Isabelle xx

UNITÉ

  Le principe de responsabilité universelle implique un niveau de conscience qu'on peut toutefois apprendre à développer. Ce n'est p...