12.12.24
Jeux d'ombres
19.11.24
Âmes mémorielles et programmations
Non seulement les programmations sont-elles acquises à partir du jour un de notre existence, mais dans le mémoriel de l’âme, certaines programmations ont la couenne dure.
Le monde astral de
l’âme est parsemé de dualité, cela fait partie de sa structure. Toutefois, la
plupart des égrégores puissants sont alimentés par l’homme lui-même grâce à des
procédés de détournement d’attention. Depuis la fin des croisades, soit au
début du 18ème siècle, on a détourné la pensée humaine dans son
fondement. Avant cette époque, il n’y avait nul besoin de le faire puisque
l’inconscience régnait en maître nonobstant les classes sociales. Mais à un
moment donné, la conscience a fait un bond. La renaissance et les mouvements
humanistes de l’époque ont favorisés cette élévation massive. On voulait être
instruit, que la connaissance soit l’affaire de tous et bien évidemment, des
stratégies ont dû être mises en place pour pallier à cette expansion non
souhaitable. Le mensonge cosmique a toujours existé. On peut affirmer que ce
terme fait référence à la limitation dans la psyché de l’homme qui n’est pas
conscient de cette limitation. Depuis 2020, on en parle largement sur les
réseaux sociaux en mentionnant des expressions telles ; les endormis versus les
éveillés. Mais l’éveillé demeure endormi sur bien des aspects de son être, même
s’il voit davantage la manifestation de la noirceur du monde qui l’entoure. Il
ne sait pas encore que cette noirceur l’habite, et de ce fait, continue de la
projeter à l’extérieur.
Ce mensonge, c’est
justement la vie basée sur la projection extérieure, sur un espace-temps
pratiquement figé par des énergies basses, lentes, involutives. C’est le
poisson qui regarde la vie au travers son bocal, sans avoir la présence
d’esprit de comprendre qu’il en est séparé. Son mental est obnubilé par une
perception incomplète du réel de la forme, qui comme on le sait, est manipulé
selon des agendas bien précis.
Le monde de l’astral
représente une étape que nous sommes appelés à dépasser. Par un premier éveil
bien entendu, ce qui laisse une chance à la connaissance d’entrer de plus en
plus dans le voile de l’ego. Aujourd’hui, plus de gens prennent le chemin de la
conscience, de la vision intérieure, et sont à même d’agrandir leur perception
autrefois limitée. En ces temps de révélations, notre vision chevauche à la
fois la matrice et le plan du bas astral. Le poisson prend conscience qu’il est
séparé du monde, tout en prenant en considération l’existence de son bocal. Ce
qui ne lui donne pas encore les moyens d’en sortir. Bien que nous soyons au
parfum des stratégies mises en plan dans les mondes invisibles pour tenter de
maintenir en place une matrice artificielle, nous n’avons pas la maîtrise des
barrières que nous érigeons dans notre propre psyché, ni de ce qui filtre la lumière.
Nous l’empêchons d’entrer pour diverses raisons, notamment par les
programmations astrales dont nous n’avons pas la main mise et les croyances que
nous continuons d’entretenir en sachant toutefois qu’elles ne sont plus
nécessaires. On pourrait penser que c’est de la paresse et on n’aurait pas
tort. Bien que le savoir nous percute, notre volonté d’agir n’est pas encore
assez solide. Du reste, bon nombre de personnes ne savent pas quoi faire, et
s’ils le savent, trouvent que les solutions sont trop simplistes pour être
efficaces.
Illustrations : La lumière de l’esprit descend et s’infiltre par les brèches dans le voile de l’ego. La perception de l’individu s’agrandit. En position d’observateur, il voit le scénario, apprend à discerner les formes et à s’en détacher.
C’est d’ailleurs une des raisons
pour laquelle nous continuons de vivre des années noires. Plusieurs ont encore
besoin de voir, de vivre des influences extérieures pour finalement se ramener
à eux-mêmes. Cette impression d’écœurantite que l’on vit actuellement doit
pousser les personnes volontaires à se détacher du monde matériel, des
croyances et de la vie d’avant. On se rend compte que ce n’est pas vraiment la
forme qui est problématique, ni la dualité comme telle qui émerge du monde de
l’astral, c’est la perception de l’individu. Il croupi encore dans
l’inconscience face à lui-même, non instruit de ce qu’il est ou des
responsabilités qui lui incombe d’avoir dans son retour à l’esprit. Tout cela
demeure bien incomplet.
On sait que l’intelligence vient de
l’esprit, que l’esprit descendra dans la conscience de l’homme au fur et à
mesure qu’il aura nettoyer cette fine couche de fumée qui appartient au monde
des polarités sur lesquelles s’appuie son quotidien. Si on sait lire les
manifestations extérieures comme on lit un livre, on pourra traduire les
chemtrails et tout ce qui vient du ciel comme étant des éléments de notre
conscience. Une conscience encore dans le brouillard, qui cherche une porte de
sortie, encore cachée de sa propre lumière. Une conscience qui s’attache à la propagande,
source de diffraction de sa lumière personnelle. Plus la lumière entrera dans
la conscience de l’homme éveillée, plus son mental ego s’effondrera. C’est ce
que l’on voit dans la prochaine illustration. La vie que nous partageons
ensemble en Amérique du Nord comme à travers le monde, est une fabuleuse
métaphore de ce qui se passe dans le mental de l’homme. Je ne sais pas si mes illustrations
vous ont appris quelque chose au-delà des mots que j’utilise, mais c’était mon
intention. Le nouveau mental de l’être humain se nomme le supramental. Et c’est
grâce à ce positionnement de la conscience que le voile du mensonge cosmique
qui limite notre perception face à la vie, se dissipera.
22.10.24
Clin d'oeil
Souvent en marchant, il me vient des idées loufoques. Si bien que je me demande pourquoi ma pensée prend le large, et puis je trouve.
Au fond de l'horizon, tout près des bois, cet aigle que je connais, plane sans jamais bouger des ailes. Je contemple son vol alors qu'il tourne en rond encore et encore durant quelques secondes, puis fuit subitement. Il a vu quelque chose.
Je me met alors à balayer des yeux le décor, tentant d'imaginer ce qu'il a pu voir. Et l'idée me vient de cet aliens du film THE PREDATOR. Mesurant une quinzaine de pieds et habillé tout de noir, il tourne la tête dans ma direction. Je sais dès lors que s'il décide d'enclancher sa course, il sera dans ma bulle en moins de deux, et mes chances de survie sont égales à zéro.
Alors je réfléchis aux scénarios possibles, et du coup, je m'arrête sur celui qui fait le plus de sens ; une attitude de "non" que je vous explique à l'instant. Oui ça a l'air stupide quand on y pense, mais j'ai déjà vécu quelque chose de similaire à maintes reprise avec les chevaux. Car, croyez-moi, ils ne sont pas tous dociles. Certains utilisent l'intimidation pour se placer en dominant, et quand ça marche, quand l'homme a peur, l'escalade des moyens pour maintenir la dominance impressionne.
Mais la force de l'intention est prodigieuse si on ne laisse aucun doute s'immiscer. Devant un cheval qui me charge au grand galop, avec la bouche ouverte et prêt à mordre, je fais un pas en avant.
Dans ma tête, une seule idée persiste.
Je lui dis mentalement et à travers ma posture, que s'il me frôle d'une quelconque manière, je fais un steak avec lui.
Je l'attend sans broncher.
Il s'arrête de façon spectaculaire à environ une longueur de cheval, se retourne et fait semblant de passer à autre chose. Dans sa tête, il se demande s'il doit me "truster" ou fuir, et je vais vers lui sans plus attendre. La tension se relâche.
C'est ridicule je sais, mais devant cet aliens, je ferais la même chose, et ça me réconforte de le savoir. Pourquoi ne pas devenir chummy-chummy avec lui ! Je repense à tout cela en me disant que tout est illusion, et que cette position de "non" est une énergie fabuleuse que l'on peut habiller chaque fois que l'émotion tente de prendre le dessus sur l'intelligence.
Lady Isabelle
Principe de volonté
Krishnamurti disait que dans tout désir, tout acte, même dans le plus insignifiant qui soit, il y a des répercussions ; dans le champ d’énergie qui nous entoure ainsi que dans celui que nous portons en nous. C’est comme la goutte de colorant rouge que l’on introduit dans un verre d’eau limpide et qui en colore l’entièreté.
15.10.24
L'incarnation
![🙂](https://static.xx.fbcdn.net/images/emoji.php/v9/t4c/1/16/1f642.png)
7.10.24
L'impermanence des choses
On désire et on s'attache…
29.9.24
Désillusion
Nous terminons déjà le mois de Septembre, qui, ayant bénéficié d’un ensoleillement record, déroule maintenant son tapis de feuilles. L’automne, pour ma part, c’est le retour à soi, et cette semaine, prise d’une lourdeur existentielle, je me suis souvenue de quelque chose d’important. Je tenterai de vous le partager du mieux que je le peux.
J'ignore si ces souvenirs sont « fiables » ou si c’est mon imagination qui fabule. Toutefois, je sais que le réel et l’imaginaire viennent de la même source. On ne peut pas inventer une information qui ne vit pas déjà, à l’état de latence, dans notre champ d’énergie.
Donc, il s’agit ici d’une expérience faite il y a des années au moyen d’une technique d’hypnose humaniste, technique qui permet entre autres d’expérimenter une expansion de conscience, notamment dans le champ de l’âme.
Je ne me souviens pas de l’entièreté de l’expérience, mais d’une bribe seulement, quasi impossible à oublier compte tenu de l’intensité du message.
J’étais dans le monde de la mort, et quand je dis « JE », je parle de ma conscience, de mon être.
Dans l’astral, on se retrouve entre deux mondes, à devoir faire un choix entre la réincarnation ou le recyclage. La réincarnation, vous connaissez. Le recyclage, c’est ce chemin qu’on prendra si on choisit de ne plus s’incarner. On meurt une seconde fois à soi-même, à sa conscience d’être pour devenir tout et rien simultanément. Il n’y a plus de distinction, d’individualité inhérente à la structure d’un plan de forme, plus de dualités.
Alors, je suis là, en compagnie d’un « allié », une présence inconnue mais bienveillante, qui m’accompagne. Je suis debout aux abords d’un puit de lumière, là où un rayon éblouissant descend vers une dimension inférieure. Je sais que ça représente ma future incarnation. Je vois ma vie actuelle d’un bout à l’autre et je suis émerveillée. Wow…
Alors, nait en moi un sentiment si fort qu'il me chavire, suivi d’un mélange d’enthousiasme, de plénitude et de joie intérieure. Je ressens la promesse d’un jour de fête, le début d'une épopée grandiose, le continuum de ma vie.
Je ne saurais dire ce qui motivait un tel sentiment. Était-ce en comparaison des vies passées ou si c’était vraiment ce que je voyais dans la magnificence de ce rayon, mais j’ai dit « OUI », oui sans hésiter, et j’ai sauté sans réfléchir tant l’excitation était grande.
Une fois arrivé à terme, dans l’ébauche du fœtus, ayaya que j’ai souffert.
J’ai tellement souffert de cet état, c’est indescriptible. J’ai tout de suite pensé à cette fichue souffrance, combien j'en avais négligé l’existence, autrement je n'aurais jamais plongé. Comme une condamnation à vie, on s’y confronte d’une manière plutôt brutale une fois que notre essence prend place dans la 3D.
Comment avais-je pu oublier ça ?
Du coup, je me suis fâchée contre moi-même, me répétant combien j’avais été sotte de croire pouvoir vivre l’amour à travers mes sens dans une incarnation terrestre. J’ai eu mal longtemps, puis je m’y suis habituée. J’ai docilement accepté la nature inversée de la réalité matérielle. J’ai joué le jeu du conditionnement pour pouvoir renouer avec l'existence... jusqu’à me perdre et omettre qui j’étais.
Quel choc !
Je me retrouve aujourd’hui à ressasser ce souvenir car longtemps, je me suis dit que je m’étais menti à moi-même.
Je n’avais rien compris.
Être devant un choix si important remet les choses en perspective. Si j’avais su me composer un double éthérique, j’aurais probablement pu continuer de vivre dans une conscience d’être individuelle tout en ayant la connaissance qu’on est aussi la source elle-même, et m’élever peut-être, dans des dimensions plus raffinées. Mais, quand la conscience n’est pas encore assez structurée pour développer ce double de notre vivant, on se retrouve face à ce dilemme ; soit on se réincarne en maintenant cette conscience d’être, soit on passe au recyclage, de retour à la source, où il n’y a pas lieu d’exister en étant dans le moi ou dans le soi, où on n’est plus rien et par ailleurs qu’on devient tout. Le premier choix implique quant à lui cette vie de misère, où de temps à autre, on touche à la béatitude, mais également où l'on accepte de jouer le rôle d'un avatar stupide qui avance en passant des épreuves dans un jeu vidéo.
Aujourd’hui, quand je regarde ma vie, je peux comprendre mon enthousiasme. Ça va possiblement mieux se finir que ça avait commencé. Mais c’est quand même fou cette amnésie du supplice d’être présent en 3D, à quel point on s’habitue à ce bagage. On accepte ce corps de souffrance et les mémoires qui s’y rattachent juste parce qu'on veut continuer d'être et d'expérimenter.
D'un côté, c'est un réel privilège de faire l'expérience des sens. De l'autre, le prix à payer est l'enfermement de l'esprit dans la forme, et les limites à franchir qui vont avec.
Alors, on passe sa vie à s’ajuster, à défaire, à chercher la sortie, à nettoyer encore et encore pour s’approcher d’une expérience plus significative, plus alignée, plus intelligente, ancrée profondément dans notre esprit. Mais, c’est peine perdu. On ne s'en libère pas.
En quittant ce monde, je serai probablement encore face à ce maudit choix ; continuer d’exister en conscience, ou me faire recycler dans le grand tout. Cette fois-ci, ma réflexion sera plus longue. Je prendrai le temps, et il se peut que je dise non.
Je pourrai devenir « amour pur » vu que j’ai échoué à le laisser me pénétrer entièrement quand j’étais ici.
Car c'est bien de cela qu'on parle n'est-ce pas ; d'amour.
Jeux d'ombres
Si la forme existe, C'est uniquement par jeux d'ombres et de lumières. De la lumière diffractée en fait - de l'esprit à l'âm...
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Célibataire depuis longtemps, je n'ai jamais vraiment aimé être en couple. Ça ne me ressemble pas de partager le quotidien et les jour...
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