Non seulement les programmations sont-elles acquises à partir du jour un de notre existence, mais dans le mémoriel de l’âme, certaines programmations ont la couenne dure.
Le monde astral de
l’âme est parsemé de dualité, cela fait partie de sa structure. Toutefois, la
plupart des égrégores puissants sont alimentés par l’homme lui-même grâce à des
procédés de détournement d’attention. Depuis la fin des croisades, soit au
début du 18ème siècle, on a détourné la pensée humaine dans son
fondement. Avant cette époque, il n’y avait nul besoin de le faire puisque
l’inconscience régnait en maître nonobstant les classes sociales. Mais à un
moment donné, la conscience a fait un bond. La renaissance et les mouvements
humanistes de l’époque ont favorisés cette élévation massive. On voulait être
instruit, que la connaissance soit l’affaire de tous et bien évidemment, des
stratégies ont dû être mises en place pour pallier à cette expansion non
souhaitable. Le mensonge cosmique a toujours existé. On peut affirmer que ce
terme fait référence à la limitation dans la psyché de l’homme qui n’est pas
conscient de cette limitation. Depuis 2020, on en parle largement sur les
réseaux sociaux en mentionnant des expressions telles ; les endormis versus les
éveillés. Mais l’éveillé demeure endormi sur bien des aspects de son être, même
s’il voit davantage la manifestation de la noirceur du monde qui l’entoure. Il
ne sait pas encore que cette noirceur l’habite, et de ce fait, continue de la
projeter à l’extérieur.
Ce mensonge, c’est
justement la vie basée sur la projection extérieure, sur un espace-temps
pratiquement figé par des énergies basses, lentes, involutives. C’est le
poisson qui regarde la vie au travers son bocal, sans avoir la présence
d’esprit de comprendre qu’il en est séparé. Son mental est obnubilé par une
perception incomplète du réel de la forme, qui comme on le sait, est manipulé
selon des agendas bien précis.
Le monde de l’astral
représente une étape que nous sommes appelés à dépasser. Par un premier éveil
bien entendu, ce qui laisse une chance à la connaissance d’entrer de plus en
plus dans le voile de l’ego. Aujourd’hui, plus de gens prennent le chemin de la
conscience, de la vision intérieure, et sont à même d’agrandir leur perception
autrefois limitée. En ces temps de révélations, notre vision chevauche à la
fois la matrice et le plan du bas astral. Le poisson prend conscience qu’il est
séparé du monde, tout en prenant en considération l’existence de son bocal. Ce
qui ne lui donne pas encore les moyens d’en sortir. Bien que nous soyons au
parfum des stratégies mises en plan dans les mondes invisibles pour tenter de
maintenir en place une matrice artificielle, nous n’avons pas la maîtrise des
barrières que nous érigeons dans notre propre psyché, ni de ce qui filtre la lumière.
Nous l’empêchons d’entrer pour diverses raisons, notamment par les
programmations astrales dont nous n’avons pas la main mise et les croyances que
nous continuons d’entretenir en sachant toutefois qu’elles ne sont plus
nécessaires. On pourrait penser que c’est de la paresse et on n’aurait pas
tort. Bien que le savoir nous percute, notre volonté d’agir n’est pas encore
assez solide. Du reste, bon nombre de personnes ne savent pas quoi faire, et
s’ils le savent, trouvent que les solutions sont trop simplistes pour être
efficaces.
Illustrations : La lumière de l’esprit descend et s’infiltre par les brèches dans le voile de l’ego. La perception de l’individu s’agrandit. En position d’observateur, il voit le scénario, apprend à discerner les formes et à s’en détacher.
C’est d’ailleurs une des raisons
pour laquelle nous continuons de vivre des années noires. Plusieurs ont encore
besoin de voir, de vivre des influences extérieures pour finalement se ramener
à eux-mêmes. Cette impression d’écœurantite que l’on vit actuellement doit
pousser les personnes volontaires à se détacher du monde matériel, des
croyances et de la vie d’avant. On se rend compte que ce n’est pas vraiment la
forme qui est problématique, ni la dualité comme telle qui émerge du monde de
l’astral, c’est la perception de l’individu. Il croupi encore dans
l’inconscience face à lui-même, non instruit de ce qu’il est ou des
responsabilités qui lui incombe d’avoir dans son retour à l’esprit. Tout cela
demeure bien incomplet.
On sait que l’intelligence vient de
l’esprit, que l’esprit descendra dans la conscience de l’homme au fur et à
mesure qu’il aura nettoyer cette fine couche de fumée qui appartient au monde
des polarités sur lesquelles s’appuie son quotidien. Si on sait lire les
manifestations extérieures comme on lit un livre, on pourra traduire les
chemtrails et tout ce qui vient du ciel comme étant des éléments de notre
conscience. Une conscience encore dans le brouillard, qui cherche une porte de
sortie, encore cachée de sa propre lumière. Une conscience qui s’attache à la propagande,
source de diffraction de sa lumière personnelle. Plus la lumière entrera dans
la conscience de l’homme éveillée, plus son mental ego s’effondrera. C’est ce
que l’on voit dans la prochaine illustration. La vie que nous partageons
ensemble en Amérique du Nord comme à travers le monde, est une fabuleuse
métaphore de ce qui se passe dans le mental de l’homme. Je ne sais pas si mes illustrations
vous ont appris quelque chose au-delà des mots que j’utilise, mais c’était mon
intention. Le nouveau mental de l’être humain se nomme le supramental. Et c’est
grâce à ce positionnement de la conscience que le voile du mensonge cosmique
qui limite notre perception face à la vie, se dissipera.