Alors qu’on étudie des sujets qui nous pousse à la réflexion, qu’on en fasse la lecture ou qu’on travaille sur soi ; qu’on observe les astres, les sciences ou les anges pour en savoir davantage, la vie est toujours ce que l'on veut qu'elle soit.
Pourtant la Vie s’exprime partout selon qu’on veuille bien s’y arrêter. De toutes les façons possibles, dans tous les endroits permis, en dedans comme en dehors de soi, elle est là, prête à nous révéler ce pour quoi nous cherchons aujourd’hui le sens. Rien n'est vraiment complexe. Elle nous dit «Il n’y a rien à apprendre car tout est là déjà». Et quand nous persistons à vouloir la compartimenter, elle trouve un autre chemin pour passer son message.
L’expérience de la réalité est l’ultime chose que nous les humains avons à transcender.
Lorsqu’on regarde avec des yeux d'Unité l'arbre qui ondule et se balance avec le vent, on remarque combien ils s’apprécient mutuellement. Lui, les pieds enracinés dans la terre et la cime qui danse dans le ciel, et le vent, invisible, subtil, coquin, bien présent… Qu’y a-t-il d’autre pour eux que d’Être tout simplement ? D’exister différemment, grâce à l'interaction qu’ils ont ensemble.
La vie c’est de s’accepter soi-même pour ce qui nous anime. C’est d’apprécier la vraie nature des choses qui nous entourent sans vouloir l’altérer… et de s’émerveiller devant le sacré qui se manifeste en chacun, oui, en autant de façon magnifique lorsque nous sommes en relation.
Nous présupposons des choses sans jamais les remettre en question.
Nous prenons ce genre de raccourci pour classer l’expérience, peu importe ce qu'elle est ou comment elle impacte notre vie.
Nous prenons ce genre de raccourci pour classer l’expérience, peu importe ce qu'elle est ou comment elle impacte notre vie.
Nous plaçons les informations à des endroits bien précis à l’intérieur de notre psyché retrouvant ainsi un semblant d’équilibre structural.
Et non seulement définissons-nous l’information en nous identifiant à elle, qu’il faille en plus l’étiqueter, y ajouter une série de caractéristiques pour la confondre, la comparer, l'étirer, la modeler, et valider sa place dans le dossier qu'on lui aura assignée.
Ainsi, deux choses parfois totalement différentes se réunissent inopinément. Comme si tous les gens qui portent le même prénom avaient automatiquement les mêmes attributs. Quelques années plus tard par exemple, une croyance autrefois vraie devient subitement inflitrée. Elle ne tient plus la route dans notre monde intérieur et nous en somme choqués. Mais, en jardinier paresseux que nous sommes, nous surclassons de nouveau l’expérience à un autre endroit tout aussi mauvais que le premier.
Notre cerveau aime la sécurité qu’offre l’information bien rangée même si la plupart du temps cela s'avère être erroné. Nous aimons vivre dans l’illusion et ainsi profiter d’un moment de répit, de confort… laissant les autres penser à notre place, calculer, explorer, notamment notre inconscient qui fait ses choix sur le pilote automatique, et parmi ceux qui lui sont induites par le conditionnement. Vivre en conscience paraît si compliqué !
Pourtant la Vie s’exprime partout selon qu’on veuille bien s’y arrêter. De toutes les façons possibles, dans tous les endroits permis, en dedans comme en dehors de soi, elle est là, prête à nous révéler ce pour quoi nous cherchons aujourd’hui le sens. Rien n'est vraiment complexe. Elle nous dit «Il n’y a rien à apprendre car tout est là déjà». Et quand nous persistons à vouloir la compartimenter, elle trouve un autre chemin pour passer son message.
Elle ne veut rien savoir de nos limites.
L’expérience de la réalité est l’ultime chose que nous les humains avons à transcender.
Lorsqu’on regarde avec des yeux d'Unité l'arbre qui ondule et se balance avec le vent, on remarque combien ils s’apprécient mutuellement. Lui, les pieds enracinés dans la terre et la cime qui danse dans le ciel, et le vent, invisible, subtil, coquin, bien présent… Qu’y a-t-il d’autre pour eux que d’Être tout simplement ? D’exister différemment, grâce à l'interaction qu’ils ont ensemble.
Toi, qu'est-ce qui t'anime aujourd'hui ?
C'est le vent dans mes cheveux qui chatouille mes joues.
Le soleil qui se lève et réchauffe ma peau.
Mes yeux qui se ferment alors que je respire l'odeur des lilas.
Mes doigts qui frappent sur le clavier.
Ou c'est toi qui me lit et qui réagit à mes mots.
Ton coeur qui bat plus vite peut-être.
La vie c’est de s’accepter soi-même pour ce qui nous anime. C’est d’apprécier la vraie nature des choses qui nous entourent sans vouloir l’altérer… et de s’émerveiller devant le sacré qui se manifeste en chacun, oui, en autant de façon magnifique lorsque nous sommes en relation.
Lady Isabelle De Blackwood