20.7.23

Un pas en avant et deux en arrière

 

LES PEURS SONT DES OBSTACLES ...
D'un côté, il y a ce besoin d’exister et de l'autre, il y a les peurs qui paralysent ce mouvement. C’est un paradoxe auquel nous avons à faire face toute notre vie puisque la raison d’être des peurs est de nous protéger.
L'intention est bonne, sauf que ...
Le problème, c’est que nos peurs sont saines quand elles nous protegent d'un réel danger, et elles le sont moins lorsqu'elles nous privent de notre liberté d'être.
Nous sommes donc appelés à nous questionner sur le fondement de la peur. Sommes-nous en face d'un réel danger, comme par exemple un lion qui arrive de nulle part en rugissant, ou le feu qui est prit dans la maison ? Ou sommes-nous victimes de nos propres scénarios, issues de croyances et de perceptions erronées ?
En fait, la plupart du temps, les peurs n’appartiennent pas au présent. Elles émergent souvent du passé, d'un traumatisme issu du 0-6ans, vécu sans accompagnement adéquat, qui refait surface suivant l'activation d'un déclencheur.
Passer à l’action, c’est se donner le droit d'exister.
Oser prendre sa place, c’est vivre dans l'inconnu pour un certain temps, et inévitablement ça réveille des peurs.
Si on souhaite avancer dans sa vie en se sentant vivant, et bien il faut faire avec, inclure les peurs dans le processus pour les aider à évoluer, ou encore, changer la programmation mentale et retrouver la liberté.
Lady Isabelle xx

14.7.23

Loi du rythme

 

COMMENT ON IMPLANTE UN COMPORTEMENT, UNE TENDANCE OU UNE IDÉE
Le principe du rythme est une Loi universelle qui présuppose ceci :
"Tout s'écoule au dedans et au dehors; toute chose a sa durée; tout évolue puis dégénère; le balancement du pendule se manifeste dans tout; la mesure de son oscillation à droite est semblable à la mesure de son oscillation à gauche; le rythme est constant."
Le début, la naissance :
Débuter, c’est se lancer, c’est oser. Débuter est une épreuve en soi et réveille bon nombre de peurs. Commencer, c’est être différent de l’instant d’avant, et cela peut perturber vos habitudes et activer vos croyances.
La durée, la croissance :
Durer, c’est maintenir un état, c'est affirmer son engagement en continu. L’énergie de la durée n’est pas de même nature que l’énergie du démarrage.
La fin, la mort :
Finir est parfois douloureux car cette étape peut vous rappeler des mémoires de fins, de séparations ou de pertes. Elle résonne avec l’idée de la mort. Savoir finir, c'est une phase importante de la loi du rythme.
La répétition du cycle :
Voila une autre difficulté ! Après avoir traversé les 3 étapes "début, durée, fin", le rythme demande de recommencer, de revivre le parcours et de se remettre du chaos.
En appliquant ces quatre étapes, vous créez un sillon qui se creuse et qui donne une forme à ce que vous faites. Si cela prend forme, cela commence à exister dans la psyché ou dans la matérialité. La réalité de ce qui existe est issue de l'enchaînement de ces quatre étapes.
D'autre part, dans l'univers, tout est rythmique. Tout ce que vous faites est donc inclus dans un rythme, une fréquence vibratoire. Vous pourriez essayer de décoder sur quel rythme vous êtes actuellement, dans quel cycle vous êtes engagé. Cela permet de comprendre les mouvements de la vie ou les cycles et les étapes de votre vie.
Observez les cycles en cherchant ce qui se répète, comme les cycles que nous vivons présentement. Brisez les cycles que vous ne voulez pas ou qui vous sont imposés. N'embarquez pas dans les schémas répétitifs qui sont néfastes. Créez en d'autres.
Reconnaissez vos patterns, vos dépendances, opposez-vous à eux avec force.
Vous vivez des cycles courts et long, des rythmes rapides ou lents, et vous vivez différents rythmes simultanément. La prise de conscience de ces rythmes est un outil fabuleux qui vous permet de les maîtriser.
Observez les rythmes dans votre vie, identifiez-les, comprenez-les, aimez-les. Et petit à petit, vous aurez en main la baguette du chef d'orchestre de la symphonie de votre vie. Car le rythme donne forme, et par la pratique du rythme, vous pourrez modeler la forme de votre vie selon votre volonté.
La loi du rythme est un principe que j'utilise souvent avant de prendre des décisions importantes. Pour moi, mettre cette loi universelle en pratique m'a évité bien des tourments et bien des pertes de temps.
Voici comment ça marche.
Sachez déterminer si votre action dans cette sphère de vie est au début du cycle (La naissance d'un projet par exemple), en période de croissance (Ça vous anime encore et il y a encore des leçons à apprendre, du chemin à faire), ou dans la fin.
Généralement lorsque vous vous posez la question intérieurement, la réponse vient rapidement. Mais je vous avouerai que beaucoup de gens ont de la difficulté à lâcher prise.
Dépendamment de la réponse, vous n'avez pas la même forme d'énergie à investir dans votre projet.
a. Une naissance qui ne démarre pas bien est comme un feu qui n'allume pas. Soit vous changer un ou plusieurs éléments pour lui permettre de prendre vie et d'être bien solide, soit vous le laisser aller parce que non-viable.
La naissance présuppose de prendre soin de son projet et de s'investir dedans comme le ferais un bon parent avec son enfant.
b. La croissance implique le remaniement, les tests, et les expériences, puis l'accueil et l'acceptation du cycle qui tourne maintenant de lui-même. Le projet a atteint une certaine autonomie. On a tout de même besoin de donner de l'eau au moulin pour l'alimenter.
c. La fin d'un cycle quand à elle, présuppose deux choses ;
1. Soit on renouvelle le cycle et on recommence, et alors, on matérialise davantage l'énergie en une entité qui va demeurer et s'auto alimenter.
2. Soit on laisse mourir, et alors l'énergie libéré pourra servir à d'autres, et l'espace créer attirera de nouveaux projets, de nouvelles idées.
Vous reconnaissez ce qui se passe avec la pseudo pandémie ?
Brisons ce cycle, cessons de le répéter et laissons-le mourir complètement.
Reprenons notre énergie !
Ça demande de l'effort oui. Mais c'est de votre vie qu'il s'agit.
Lady Isabelle xx

11.7.23

Mission d'âme

 

Comment différentier notre mission d'âme de la fausse mission astralisée de l’âme ?
Dans ce labyrinthe de Dédale qui nous sert de prison, nous avançons de façon limitée et contrôlée. Nous sommes cette souris de laboratoire qui toujours a l’impression d’avancer, qui se donne à fond dans sa quête jusqu’à ce qu’elle s’aperçoive qu’elle repasse continuellement dans les mêmes chemins, vie après vie. Dès lors, elle comprend qu’elle existe dans un décor, et que tout y est artificiellement conçu pour la berner.
La fausse mission d’âme est cette quête sans fin, ou l’être a cédé sa pensée, ses sentiments et ses désirs à des programmations qui n’ont d’autres prérogatives que de se nourrir de sa force vitale. Dans cette piteuse copie du monde, les idées se véhiculent à partir du bas ou du haut astral et donne l’impression de venir de nous. En fait, notre conscience est soit possédée, soit récupérée lorsqu’elle s’éloigne trop, soit déviée dans des pièges quand elle se rebelle.
Il faut beaucoup de discernement, de finesse d’esprit et de lucidité pour décortiquer ces stratagèmes, beaucoup de volonté et de force pour s’en extirper, car on est seul à le faire. Toute une communauté d’humain ne souhaitant pas faire l’effort de trouver la sortie, de peur de manquer de nourriture ou d’être privé de protection, nous attend au détour si on fait bande à part. Vouloir éveiller les autres sera toujours une mauvaise idée.
La vraie mission d’âme est bien au-delà de la vision astralisée du New Age, qui soit dit en passant est infiltrée par les mêmes qui nous tiennent en otage. Il n’y a pas grand-chose dans la matrice, pour ne pas dire : rien, qui ne soit infiltré par eux. Que ce soit l’histoire, les guerres, la nourriture ou la famine, les habitudes de vie ou la religion, en passant par l’éducation, la santé, la famille ou les relations. Absolument tout fait partie de conditionnements qui nous sont imposés depuis le jour 1 de notre existence. Il n’y a rien de réel dans cette maquette.
Le réel c’est la nature sacrée du vivant ; les règnes minéral, végétal et animal, et les humains, qui comme des imbéciles, participent à détruire l’un et l’autre.
L’âme est notre forme. Sans âme, il n’y a pas de corps. Un corps altéré, inconscient ou malade est synonyme de séparation, de blocage, de coupure. Pour être en connexion à l’âme, nous sommes appelés à user d’intelligence, de conscience, de finesse, d’unir la gauche et la droite en adéquation avec le cœur car l’âme répond à la beauté, à la vérité, à la pureté. Celui qui s’aligne avec son âme alimente d’emblée l’aspect sacré de toute vie dans chacun de ses gestes, de ses pensées, de ses désirs. Oui, nous sommes là pour aimer, pour protéger, pour faire prospérer la création, pas pour la détruire.
La vraie destinée de l’âme c’est d’être ce qu’elle est dans sa vraie nature, sans censure, coupure, distraction, division, invasion, pollution, sans besoin d’être gouvernée par quiconque.
Il est temps de mettre fin à ces expériences malsaines.
Lady Isabelle xx

10.7.23

Chacun son message

 

J'ai confiance en la vie, et vous ?
Après avoir vu le monde comme une source profonde de l'Univers, on peut facilement constater que tout ce qui existe dans la nature comporte une structure au niveau de la mécanique quantique.
Apprendre comment fonctionne ces mécanismes nous permet de créer à notre tour de façon plus conscience. On parvient à ce niveau de création par la connaissance de soi à priori, et par l'abandon à sa vraie nature, et dès lors, c'est la conscience qui grandit et se développe au rythme de l'Univers tout entier, jusqu'à ce qu'elle se transforme pour devenir elle-même un monde.
Vous êtes ce monde !
Vous êtes cette réalité !
Observez-la de façon détachée, et prenez note de tout ce qui vit à l'intérieur de vous-même. La réalité représente ce que la collectivité porte en elle, ce que chacun transporte en lui-même comme bagage. Il est temps d'alléger le vôtre.
Regardez la réalité jusqu'à ne plus y être, et observez comment se comporte le vivant.
Prenez conscience que votre observation est toujours teinté d'une intention, et/ou de pensées parasites.
Acceptez-les...
Puis accordez-vous le droit de regarder le monde avec plus de compassion.
Vous le verrez alors tel qu'il est vraiment, sans illusion aucune ;
baignée dans l'amour de votre âme et de la création.

J'ai confiance en moi, parce que je suis la vie !
Avec amour,
Lady Isabelle xx

3.7.23

Harmonisation

 

Harmonisation et principe de volonté

Krishnamurti disait que dans tout désir, tout acte, même dans le plus insignifiant qui soit, il y a des répercussions ; dans le champ d’énergie qui nous entoure ainsi que dans celui que nous portons en nous. C’est comme la goutte de colorant rouge que l’on introduit dans un verre d’eau limpide et qui en colore l’entièreté. Donc toute pensée qui s’immisce dans notre conscience, qu’elle soit négative ou positive, a un effet immédiat sur notre organisme cellulaire, puis sur les vibrations qui émanent de notre corps et rayonnent à l’extérieur. Par conséquent, vigilance et volonté deviennent des forces puissantes, qui nous orientent dans une direction que nous souhaitons voir venir.

Quand la volonté n’est pas, c’est le programme de base qui prend le relais, celui de l’inconscient. Celui-ci, nous le savons déjà, n’aime pas le changement.

Il en a même horreur. Il reproduira dans une exactitude précise les mêmes expériences que la veille et l’avant-veille afin de maintenir le statu quo dans tout le système. Quand la volonté est dirigée par l’ego, on n’est guère plus avancé. L’ego étant un ensemble de filtres qui répond bien aux programmations de la matrice et qui en général est pratiquement toujours en conflit.

Lady Isabelle xx

28.6.23

La réalité est faite à partir de croyances

 

LA RÉALITÉ EST FAITE À PARTIR DE CROYANCES
Les croyances doivent être comprises comme des généralisations tenant lieu de référence dans les cartes mentales de la réalité subjective des individus. Il ne s'agit pas ici de croyances religieuses ou idéologiques. Ça, nous le savions déjà.
Toute personne possède un système de croyances qui se construit au fil de son histoire personnelle. Elles se fondent sur certaines expériences qui, une fois généralisées, jouent ensuite un rôle de référence. Une croyance est vraie (pour la personne qui croit). C’est quelque chose qui se répète dans le temps et que l’on peut valider par des exemples nombreux, des preuves pour appuyer sa véracité.
Découvrir les croyances d'une personne permet dans une large mesure de prévoir ses comportements. Quand on a compris et identifié les valeurs auxquelles la personne obéit, il est alors possible de découvrir la croyance qui structure la carte mentale de sa réalité. Les croyances s'auto-entretiennent en interprétant les expériences comme des justifications, ou des preuves de leur bien-fondé : elles en viennent à se substituer à la réalité.
Des réalités nous sont proposées depuis 3 ans par des procédés malencontreux ; manipulation mentale, propagande etc. Ces scénarios deviendront avec le temps, et en adéquation avec la loi du rythme, des réalités de plus en plus ancrés dans l'intellect de la collectivité. C'est ainsi qu'on construit des tendances sociétaires en imposant des croyances dans la psyché humaine. Il nous sera de plus en plus difficile d'en sortir si nous les achetons maintenant et que nous les entretenons dans une polarité négative ou positive comme les gens l'ont fait depuis le début 2020. (Parlez en en mal ou parlez-en en bien... ça a peu d'importance en autant que vous en parlez).

Mais on est invités à comprendre que notre participation à l'ensemble des croyances apocalyptiques proposées, les crée de plus en plus, en leur donnant force de loi.
Ce qui est bien avec les croyances, c'est qu'on peut arrêter d'y croire instantanément. Il ne suffit que d'un doute suffisamment important pour que les cartes mentales qui les supportent s'effondrent. Le best donc... c'est de ne croire en rien.
Au lieu de croire, nous sommes appelés à développer notre conscience, à être présent à soi, puis à se connecter au savoir intrinsèque de notre esprit qui nous guide merveilleusement bien au travers tout ce cafouillis de réalités.
Les timelines sont des fréquences déjà tracées d'avance que nous pouvons chevaucher simplement en abolissant notre système de croyances.
Alors, qu'on épure les résidus de réalité qu'on ne souhaite plus et qu'on abandonne les croyances.
Et de grâce, arrêtez d'en parler ! Ça pollue.
Lady Isabelle xx

27.6.23

Se détacher de la matière

 

Nous sommes toujours en train de créer une forme sans nécessairement en avoir conscience. Par la diffraction à priori, de sa propre lumière, on fait apparaître des ombres. La présence à soi, dans l'esprit et par extension dans son incarnation, demande le détachement complet de la matière sur laquelle nous posons notre regard. Celle-ci n'étant que la projection de ce qui se passe sur un autre plan.
De la minute où notre attention s'extériorise, nous ne sommes plus là où nous devons être. Nous avons quitté notre poste, notre intelligence. L'espace de création que nous venons tout juste d'abandonner représente l'endroit exact où nos deux polarités co-existent ensemble sans se neutraliser. Dès lors, on vient de chuter hors de la conscience.

Ce n'est pas facile en ces temps d'avoir un regard heureux sur la terre. On est constamment sollicité par des énergies basses. On a l'impression de se noyer dans l'absurdité des nouvelles, ou que la corruption des dirigeants a atteint son paroxysme, et on se demande tellement ou est rendu la lumière.
En fait, on doit comprendre que nous sommes encore attachés à notre passé. C'est selon moi ce qui nous empêche de voir autre chose. Nous aimerions vivre comme avant, alors que toute cette noirceur nous était encore cachée. C'est le modèle qui est resté dans nos consciences, Vous me direz peut-être qu'avant on avait la paix, pourtant vous savez comme moi que c'est une illusion. Notre conscience d'aujourd'hui est une bénédiction et en même temps, oh combien c'est lourd.

Nos souvenirs de temps meilleurs sont gravés dans nos mémoires. Hier n'existe plus mais on reste accroché à cela. La matrice s'effondre et en même temps, notre psyché s'effondre. Nous perdons notre identité, tout ce qui érigeait notre ego.
Je sais que certains ont peur d'avoir à participer au narratif s'ils laisse aller ces mémoires, mais il n'en est rien. C'est la structure de la pysché humaine qui se défait. Le chaos induit est synonyme de réorganisation, d'intelligence nouvelle. Le seul ici qui va mourir, c'est l'avatar, puisqu'une brèche de lumière éclaire d'autres possibilités.

La position qu'on doit avoir par rapport au présent est celle de l'observateur. Lisez le scénario et changez de perspective. Tentez de voir et de comprendre à partir d'un plan plus élevé.
La fin ne nous appartient pas, ne nous défini pas. Nous ne sommes pas notre personnage.
C'est quelque chose que nous devons regarder sans polariser et j'avoue que c'est difficile.

En quelque part, nous voulons régner et habiter l'ensemble de notre royaume. Mais nous nous attachons trop fortement au monde physique actuel, à nos rôles, à notre personnage, oubliant souvent ce qu'est la réelle nature de la matérialité et de l'espace-temps.
L'être souverain demeure présent dans son esprit.
Il reconnaît sa création puisqu'elle vient de lui.
Il n'a pas besoin de s'expérimenter physiquement autrement qu'au présent, dans ce que choisi sa conscience.
Lady Isabelle xx

Âmes mémorielles et programmations

  Non seulement les programmations sont-elles acquises à partir du jour un de notre existence, mais dans le mémoriel de l’âme, certaines pro...