11.7.23

Mission d'âme

 

Comment différentier notre mission d'âme de la fausse mission astralisée de l’âme ?
Dans ce labyrinthe de Dédale qui nous sert de prison, nous avançons de façon limitée et contrôlée. Nous sommes cette souris de laboratoire qui toujours a l’impression d’avancer, qui se donne à fond dans sa quête jusqu’à ce qu’elle s’aperçoive qu’elle repasse continuellement dans les mêmes chemins, vie après vie. Dès lors, elle comprend qu’elle existe dans un décor, et que tout y est artificiellement conçu pour la berner.
La fausse mission d’âme est cette quête sans fin, ou l’être a cédé sa pensée, ses sentiments et ses désirs à des programmations qui n’ont d’autres prérogatives que de se nourrir de sa force vitale. Dans cette piteuse copie du monde, les idées se véhiculent à partir du bas ou du haut astral et donne l’impression de venir de nous. En fait, notre conscience est soit possédée, soit récupérée lorsqu’elle s’éloigne trop, soit déviée dans des pièges quand elle se rebelle.
Il faut beaucoup de discernement, de finesse d’esprit et de lucidité pour décortiquer ces stratagèmes, beaucoup de volonté et de force pour s’en extirper, car on est seul à le faire. Toute une communauté d’humain ne souhaitant pas faire l’effort de trouver la sortie, de peur de manquer de nourriture ou d’être privé de protection, nous attend au détour si on fait bande à part. Vouloir éveiller les autres sera toujours une mauvaise idée.
La vraie mission d’âme est bien au-delà de la vision astralisée du New Age, qui soit dit en passant est infiltrée par les mêmes qui nous tiennent en otage. Il n’y a pas grand-chose dans la matrice, pour ne pas dire : rien, qui ne soit infiltré par eux. Que ce soit l’histoire, les guerres, la nourriture ou la famine, les habitudes de vie ou la religion, en passant par l’éducation, la santé, la famille ou les relations. Absolument tout fait partie de conditionnements qui nous sont imposés depuis le jour 1 de notre existence. Il n’y a rien de réel dans cette maquette.
Le réel c’est la nature sacrée du vivant ; les règnes minéral, végétal et animal, et les humains, qui comme des imbéciles, participent à détruire l’un et l’autre.
L’âme est notre forme. Sans âme, il n’y a pas de corps. Un corps altéré, inconscient ou malade est synonyme de séparation, de blocage, de coupure. Pour être en connexion à l’âme, nous sommes appelés à user d’intelligence, de conscience, de finesse, d’unir la gauche et la droite en adéquation avec le cœur car l’âme répond à la beauté, à la vérité, à la pureté. Celui qui s’aligne avec son âme alimente d’emblée l’aspect sacré de toute vie dans chacun de ses gestes, de ses pensées, de ses désirs. Oui, nous sommes là pour aimer, pour protéger, pour faire prospérer la création, pas pour la détruire.
La vraie destinée de l’âme c’est d’être ce qu’elle est dans sa vraie nature, sans censure, coupure, distraction, division, invasion, pollution, sans besoin d’être gouvernée par quiconque.
Il est temps de mettre fin à ces expériences malsaines.
Lady Isabelle xx

La nature, source d'inspiration

J'ai toujours adoré ces petites cloches pour leur odeur particulièrement douce. Le muguet est une des premières fleurs du printemps. Une...