15.8.11

Habiller sa vie...









Lorsqu'il n'y a plus de vie dans sa vie, c'est que nous sommes séparés de nous-mêmes. C'est qu'il est devenu trop douloureux d'habiter pleinement son corps qu'on en habite que des petits bouts. Pourtant, en laissant vide certaines parties de nous, c'est une aversion contre nous-même que nous développons; comme si nous ne pouvions nous aimer totalement... et nous demandons aux autres de le faire à notre place. C'est désolant car l'ignorance de ces parties provoque plutôt l'effet contraire; on a beau se placer les mains pour ne pas voir, elles deviennent malheureusement plus apparentes...

Comment peut-on rayonner quand la moitié de nous-même baigne dans les ténèbres... quand les conditionnements mentaux dont notre esprit est esclave nous gardent enchaînés à des mondes surfaciels. Des mondes que nous seuls créons.



Lorsqu'il n'y a plus de vie dans sa vie, c'est que nous avons en quelque sorte déserté notre place... sans savoir que par ce geste, nous privons aussi les autres de notre plus belle lumière. Nous prions pour que se termine une vague alors qu'elle suit simplement son cour. Et nous prions encore pour l'autre d'après...



Lorsqu'il n'y a plus de vie dans sa vie, c'est que nous nous abandonnons comme ça sur un banc de parc à regarder l'illusion de notre vie. Ce mirage éphémère qui se traduit souvent par ce que nous avons accumulés toutes ces années... et on s'étonne que tout nous bloque la vue!



Qui que nous soyons, homme ou femme, nous avons tous la même responsabilité.

Nous sommes responsable de vivre, de rayonner, de rire, d'aimer, de jouer, d'entendre, de lire, de changer, d'embellir, de partager, de développer, d'expérimenter, d'évoluer...



Quoi d'autre?



Isabelle Pitre

Coach de Vie, Thérapeute Humaniste

514 945-2156

UNITÉ

  Le principe de responsabilité universelle implique un niveau de conscience qu'on peut toutefois apprendre à développer. Ce n'est p...