Il est bon de prendre
davantage conscience de ce que signifie la santé.
De nos jours, les
approches holistiques ont grandement appuyé et prouvé le lien qui existe entre
le corps humain et son esprit. De nouvelles professions naissent pour remplacer
les anciennes, et cela dans le but de s’adapter aux problématiques que nous
vivons dans la réalité actuelle. Le toucher quantique, l’Humaniste, les schémas
heuristiques, la biologie totale, l’homéopathie, pour ne nommer que ces
pratiques alternatives, sont tous des façons de communiquer avec les différents
plans qui constituent notre être.
Les magasins
«nouvelle-ère» poussent comme des champignons. Aliments naturels, organiques,
biologiques, équitables affluent pour le bien de tous dans nos assiettes. On
tente de plus en plus de se rapprocher des principes qui régissent la nature,
la simplicité par exemple, l’équilibre du ying et du yang, l’acceptation et
l’harmonisation de ce que nous sommes. En vérité, plus on unit la nature à soi,
plus on s’ajuste à sa nature véritable.
L’eau, l’air, le soleil,
le mouvement, la joie d’être ensemble représentent des éléments qui nous
ressourcent et nous rendent heureux. Ironiquement, lorsque nous vivons un
pépin, au lieu d’aller dans le sens du mouvement, nous choisissons toutes
sortes d’activités qui nous permettent d’oublier ce qui ne va pas, et nous
créons l’effet inverse. Oui, plus on remet à plus tard, plus cela revient en force. Nous l’avons tous expérimenté à un moment ou à un autre de
la vie.
Or, une des façons
d’oublier, de décrocher de ce qui nous trouble momentanément est devenu
aujourd’hui monnaie courante. L’alcool, parce que socialement acceptée, s’est
hissé au même rang que certains aliments santé, si bien qu’on y découvre
presque des vertus afin d’en faire mousser les ventes. L’alcool représente une
grande part de l’économie mondiale.
Intégré dans nos vies
comme une saine habitude, l’alcool perd vite de sa réelle valeur d’expérience
gustative et cela, au détriment de la dépendance qu’elle engendre rapidement.
Parce que c’est légal et même favorable d’en avoir et d’en boire, nous en
renions la dépendance, nous minimisons l’impact de ce que la consommation
abusive crée en nous, et un petit verre devient un second puis un troisième.
L’effet engourdi ce qui nous fait souci, et voilà que l’habitude devient
franchement malsaine.
Derrière toutes les
dépendances qui tendent à paralyser la communication entre notre corps et notre
esprit, souvenons-nous qu’à la base il y a eu un message important. Souvenons-nous que nous avons préféré
le taire et ne pas l’écouter. Comme un enfant qui se sait en faute, nous avons
fuit la réalité en croyant pouvoir courir plus vite qu’elle. Mais attention,
cette réalité-là nous rattrape toujours parce que fondamentalement, c’est le
grand sentiment de l’amour qui motive sa présence.
Nous avons tous en nous
la connaissance Universelle. La culpabilité de l’erreur n’a plus sa raison
d’être aujourd’hui lorsque nous évoluons en conscience. Si nous pratiquons
l’amour comme une puissance naturelle, l’amour de soi avant toute chose, puis
l’amour du prochain, nous n’aurons plus à oublier la morosité de vivre dans
l’absence de santé et de vitalité. C’est de notre ressort de prendre notre
santé en main.
Isabelle Pitre, Coach de
vie
L'alcool est le produit
psychoactif le plus largement consommé dans notre société. Il est associé à
l'idée de fête, de détente, de convivialité. En réalité, l'éthanol, principe
actif que contiennent toutes les boissons alcoolisées est un anesthésiant dont les
effets se font sentir à peine quelques secondes après son absorption.
Nous ne sommes pas égaux face à l'alcool. Certaines personnes peuvent en
consommer de manière récréative, mais d'autres ont une sensibilité particulière
à l'alcool ou à ses effets et peuvent développer assez rapidement une
consommation appelée « à risque » qui peut se transformer en
dépendance.
Si on arrête ce processus assez tôt, il est possible de continuer à
consommer des quantités modérées d'alcool. Une fois que la dépendance s'est
installée, une abstinence complète devient nécessaire pour éviter les pertes de
contrôle et réacquérir une qualité de vie bonne.(Source APTA)