18.11.14

Réflexion du jour

SUIS-JE À MA PLACE ?

Les gens ont parfois beaucoup de difficulté à déterminer exactement ce qu'est leur place. Nous entendons souvent des phrases comme: "Comment puis-je savoir si je suis à ma place ?" ou "Je ne sais pas si ce que je fais ...est bon". Les doutes occupent alors une partie de leur esprit.

Une des façons d'arriver à retrouver le fil conducteur de la vie est de vous rappeler un moment précis de votre vie où vous avez connu une grande satisfaction. Quelle a été l'expérience ? Comment l'avez-vous vécu ce moment ? Qu'est-ce qui était satisfaisant et qu'avez-vous ressenti exactement lors de cette grande satisfaction ?

Ces sentiments de satisfaction et de joie ressentis pendant ce moment sont une façon de communiquer que «la vie» utilise pour vous faire savoir que vous êtes sur la bonne voie, en lien avec ce pourquoi vous avez été conçu.

Lorsque vous vivez des moments de doute ET d'ennui, peu importe la sphère de votre vie qui est le plus affectée, c'est aussi une façon de communiquer que «la vie» utilise pour vous faire savoir que vous êtes cette fois-ci «dans le champ»... vous allez dans la mauvaise direction. Reprenez-vous... Réévaluez vos besoins... car...

Lorsque vous êtes à votre place et que vous poursuivez sur la route de vos passions, les opportunités ne peuvent pas s'empêcher de se présenter à vous comme des fruits mûrs. Les gens et les outils semblent vous trouver avec facilité. Vos réussites se succèdent les unes à la suite des autres dans un mouvement continue.

1.11.14

S'arrêter... condition première de la guérison


«C'est une chose merveilleuse que de s'arrêter. En s'arrêtant, le calme devient possible, la paix devient possible et avec elle la guérison».
S'arrêter veut dire: prendre une bonne respiration et aussi, expirer de manière à cesser totalement la course qu'il y a dans l'esprit ou dans le corps. Car lorsqu'on ne court pas au sens propre, on le fait au sens figuré... et comme ce qui est en Bas est comme ce qui est en Haut, c'est partout finalement que se manifeste cette frénésie. Tant que nous continuons de courir après quelque chose ou pour échapper à quelque chose, la course continue. S'arrêter, être calme, en paix, est la condition première de la guérison. C'est à partir de là qu'on commence à se sentir apaisé et reposé.
Grâce à cet acte volontaire, nous pouvons pratiquer notre vision intérieure et même regarder plus profondément. S'attarder à voir la véritable nature de la maladie, le sens caché de la douleur qui n'est là au fond de nous que pour être reconnu. Regarder devient plus facile une fois qu'on s'est arrêter, et avec cette vue profonde s'installe le sens et la compréhension. Nous avons vu, reconnu, accueilli, accepté ce qui est; sans juger du pourquoi et du comment, sans prétendre tout savoir, sans justifier ou argumenter et dans l'absence de temps, là... maintenant.
Nous survivons aux douleurs. Nous traversons la souffrance. Nous en supportons l'intensité et la durée parce que notre conscience SAIT comment survivre. Alors, donnons-lui la chance de se manifester.

31.10.14

Savoir communiquer son amour

L'amour doit être communicatif


Tous les parents aiment leurs enfants à leur manière, et tous les couples s'aiment d'une certaine façon.
Alors malgré ce constat, pourquoi tant d’enfants se sentent-ils rejetés ? Pourquoi tant d'hommes et de femmes ne se sentent-ils pas aimés même en étant en couple ?
Parce que « ressentir » de l’amour envers quelqu'un n’est qu’une facette de ce qu'est l'amour. Savoir que nous aimons nos enfants, notre conjoint(e) n'est pas suffisant, nous avons besoin aussi de communiquer cet amour-là pour que le message soit bien reçu...
Communiquer avec des mots, des gestes, des attitudes.
Beaucoup d’enfants ne feront qu’entendre la colère ou les critiques de leurs parents durant toute leur enfance, et par conséquent percevrons le mauvais message. Il est difficile pour quiconque n'est pas dans la tête de l'autre, de comprendre qu'une punition ou une attitude renfermée puisse avoir une intention bonne. Ce qu'il reste pour un enfant, c'est ce ressenti inconfortable qu'il vit à l'interne et qu'il ne sais pas gérer.
En couple, il n'y a pas tellement de différence mis à part l'âge qui ne reflète pas toujours le degré de maturité.
Pour communiquer l'amour, vous devez montrer que vous prenez le temps pour l'autre, pour l'écouter et le comprendre dans ce qu'il vit.
Prendre le temps d'apprécier sa personnalité par exemple, d'observer avec lui ce qu'il est en train de vivre, et de ressentir le plaisir de le recevoir dans son essence.
- Tu es le bienvenu dans ma vie, dira votre non-verbal.
Montrez-lui qu'il a une place dans votre vie.
Dites-lui avec des mots bienveillants, aimants, encourageants. Soyez intéressé par ses réalisations, par sa façon de voir la vie. Élargissez votre expérience !
Attardez-vous à ce que ce qu'il fait de bien et arrêtez de focaliser sur les défauts, sur ce qui n'a pas fait, ou sur ce qu'il n'est pas.
Forcez-vous au début à lui montrer que vous l'appréciez... qu'il soit votre enfant, votre amoureux(se), peu importe... jusqu'à ce que cette façon d'exprimer l'amour devienne pour vous plus naturelle.
Il existe bien des mots pour le dire dont voici quelques phrases :
- "J’aime ce que tu as dit."
- "Je suis heureux que tu sois là."
- "Ce que tu apportes dans ma vie me touche et me nourrit".
- "Tu es beau à mes yeux."
- "Je t'aime profondément même si je ne te comprends pas".
Mais ne confondez pas le compliment et la flatterie (c’est-à-dire un compliment non sincère). Car la flatterie trompe, et profondément nous le savons. Assurez-vous de vous exprimer honnêtement dans un élan qui émane de votre cœur, sans aucune arrière pensée, et libre de toute attente.
Dites-vous bien qu'on récolte ce que l'on sème...
Avec amour
Lady Isabelle xx

19.10.14

RECEVOIR















Recevoir...
Comment un simple mot peut-il provoquer tant de controverse.
A-t-on oublié de nous montrer ce qu'est la vraie signification du verbe recevoir ?
Recevoir mes amis(es), est pourtant une si belle façon de se donner à l’autre; alors pourquoi éprouvons-nous tant de culpabilité?

Lorsque nous recevons, nous accueillons l’autre dans notre espace à nous. Et pour bien le faire, nous aurons d’abord et avant tout, pris le temps de préparer la place. Nous aurons créé de l’espace pour lui permettre de bien respirer. Nous aurons changé certains objets d’endroit afin que cette personne puisse se déplacer et se sentir chez elle. Nous aurons nettoyé l'endroit…notre espace intérieur, par respect pour notre invité, lui offrant ainsi la chance de rester lui-même et de nous montrer peu à peu ses vraies couleurs. Puis nous aurons ouvert notre coeur, sans savoir, et sans attendre.

Quand nous désirons plus que tout faire cette place… nous sommes souvent devant l’éventualité qu’il nous faut peut être donner pour en arriver là! Se débarrasser du vieux pour faire place au nouveau. Donner pour recevoir alors que nous ne savons pas si ce que nous recevrons correspondra à nos attentes. En aurons-nous plus ? En aurons-nous moins ?

Donner devient souvent ce devoir qu’il nous incombe de faire pour ouvrir la voie à la nouveauté, à la vie. Mais nous sommes tellement attaché aux choses que nous avons l'impression de perdre plutôt que de s'enrichir. Ce que nous croyons posséder nous retient dans un espace temps où la vie ne circule déjà plus. Nous créons la perte lorsque nous croyons perdre et nous créons le manque lorsque nous croyons ne pas en avoir suffisamment.

Voyager plus léger...
L'action de recevoir nous propose donc une intention charitable et en même temps, une cession, un total lâcher-prise. L'inverse quant à lui, se traduit par un état d'être bien égoïste, non-réceptif, qui nous isole par en dedans.

Cet ami qui viendra nous visiter, se sentira à sa place si nous avons pris le soin de tout vider… de se vider soi-même pour l’accueillir entièrement, comme nous aimons être accueillit à notre tour. Puis, profitons des beautés qu’il a à nous offrir en restant ouvert et réceptif à ce qu’il est. Nous n’avons pas à tout aimer, ni à tout accepter de l'autre, mais prenons le temps de le reconnaître comme nous aimons être reconnu nous aussi pour ce que nous sommes.

«Reçoit comme tu désires être reçu lorsque c’est toi qui se donne».


Isabelle Pitre Coach de vie professionnelle 

5.9.14

L'amour, un retour à soi


Grand public, Corporatif, Association, Organisme OSBL

Il faut aimer les choses pour les avoir à soi...
                                                                                        
Aimer les choses si l’on veut qu’elles restent près de soi.                                                                     
S’aimer soi-même d’abord très fort pour se donner la permission de s’ouvrir à la vie.

L'amour, un retour à soi

Cette conférence vient faire un peu de lumière sur les difficultés rencontrées dans les relations amoureuses. Que ce soit pour les couples qui sont déjà en relation, ou pour les célibataires en recherche de l’âme sœur, chacun y trouvera ses propres réponses.

«Nous avons beaucoup d’attentes les uns envers les autres, et ces attentes nous éloignent de nos désirs profonds puisque pour la plupart, elles ne sont pas exprimées. À la limite, quelques-uns d’entre nous connaissent ce qu’ils attendent vraiment de l’amour, mais peu d’entre nous savons que l’amour est là déjà.»

 Les idées suivantes seront abordées lors de cette conférence 

·         Que sont les sentiments que nous entretenons réellement envers les êtres, les choses?

·         L’amour comme un principe de motivation

·         L’amour existe partout, c’est nous qui avons appris à nous en séparer

·         Se sentir autonome face à l’amour

        «L’amour ne transite pas d’un endroit à un autre...        
Ni d’une personne à l’autre avec une impression de début et de fin, non.
L’amour est illimité, omniprésent, c’est tout de suite et tout le temps !!»
 
Vous aimeriez recevoir Isabelle dans votre groupe?
Les conférences interactives ont une durée de 90 minutes.
Contactez-nous pour de plus amples informations ou pour réservation.
514 945-2156

 

3.9.14

Vivre les fêtes de Noël cette année sans se chicaner !!


NOEL SANS LES CHICANES ... 
EST-CE POSSIBLE ?

Pour plusieurs d'entre nous, les préparatifs du temps des fêtes et les retrouvailles en famille sont déjà source de stress et d'angoisse.  On nous attends en grande pompe le 24 et le 31 pour les réunions de Noël ou du jour de l’An sachant toutefois que ces moments supposément féériques tourneront probablement au vinaigre. Comme pour les années passées, les vacances débutent vraiment le jour où nous retournons à la maison. Alors dites-moi, comment savoir si on ne devrait pas passer son tour pour les célébrations en famille?

Quand les réunions familiales du temps des Fêtes sont synonymes de stress et de lourdeur, ne devrait-on pas tout simplement cesser d’y participer ? On dit que cette période de célébration représente un temps propice pour les remises en question. Donc, quand les anciens paramètres ne tiennent plus la route, il faut songer à en créer de nouveaux. Comment nous voulons vivre Noël ?
Pourquoi se créer une obligation juste parce que ce sont des dates arrêtées dans le temps, des rituels aujourd'hui voués à la consommation qui ont perdus leur véritable sens. Dans cette optique, posez-vous la question suivante et demandez-vous comment « moi » je veux vivre cette période de Noël ? Qu'est-ce qui fait du sens pour moi ?

Pour s’aider dans notre décision, rapportons-nous aux expériences passées, et plus particulièrement lorsqu’il est question de conflits non réglés, de non-dits. Faire un bilan de ce que l'on a vécu, ressenti, exprimé, puis résumer notre expérience en un mot. Il est important également d’écouter ses impressions, son intuition, son guide intérieur pour évaluer objectivement la situation. Et si notre évaluation nous indique que le meilleur choix reste d'y aller même si on n’en a pas envie, on y va ! Ce n'est que partie remise. On n’est pas prêt à apporter un changement; pas maintenant en tout cas et c'est o.k.

Apprenons à mieux nous définir, à clarifier nos besoins, à ne pas se créer d’obligations qui ne nous ressemblent pas. Apprenons à faire de meilleurs choix, à vivre plus intensément chaque moment de la vie selon ce qui nous anime. Décidons de vivre Noël autrement juste en exprimant qui ont est profondément.

Un bon conseil : La règle d'or pour un Noël sans chicane est d’éviter de consommer trop d’alcool. :)

1.8.14

Les polarités conflictuelles


Réintégrer la vie en soi     

Au cours d’un processus de changement, rare sont les fois où une personne n’en arrive pas à devoir faire face à ses parties d’ombres. Dans la majeure partie des cas, il s’agit de conflits internes qui s’expriment de la même façon que les conflits avec lesquels nous avons à négocier dans la vie courante. Ce sont des rôles qui se jouent en nous au niveau de l’inconscient, rôle que nous pourrions catégoriser pour mieux les comprendre, par les archétypes mis de l’avant dans l’analyse transactionnelle.
Il est question du parent critique par exemple, de l’enfant intérieur, de la partie médiatrice, de la partie créatrice ou de quelles qu’autres polarités (féminine ou masculine), qui ne sont pas nous mais qui sont tout de même des éléments qui composent notre persona. D’ailleurs, ces éléments régissent notre vie bien inconsciemment, et c’est à nous d’en prendre conscience par l’entremise des conflits externes que nous avons tendance à rejeter. Il faut comprendre que ce que nous réalisons chez les autres qui nous incommode, ne sont en fait que des projections de notre espace interne.  
Or, ces polarités conflictuelles ont pour la plupart une bonne raison d’être. Même si le plus souvent nous désirons nous en débarrasser, comprenons qu’il s’agit là d’un non-sens puisque nous rejetons le bébé dans l’eau du bain. Nous rejetons le négatif, et en même temps, nos propres solutions.
 
Extrait : La qualité d'être 1ère partie

Âmes mémorielles et programmations

  Non seulement les programmations sont-elles acquises à partir du jour un de notre existence, mais dans le mémoriel de l’âme, certaines pro...