7.8.21

Les Timelines


Il faut minimalement avoir étudier quelques notions pour comprendre comment fonctionne le cerveau humain.

Nos pensées créent la réalité dans laquelle nous sommes à chaque fraction de seconde. Il existe d’ailleurs une panoplie de livres qui en fait déjà état. Ces pensées émettent une fréquence vibratoire qui s’amplifie grâce au corps émotionnel et peuvent alors choisir une direction de matérialisation. Ainsi, si vous réfléchissez à un élément nouveau, et que vous attribuez la vérité à cet élément, il devient une croyance et se met à vibrer de façon autonome. Les croyances créent une lentille cognitive à travers laquelle on interprète les événements de notre monde et cette lentille sert de filtre sélectif à partir duquel nous tamisons l'environnement pour trouver des preuves qui correspondent à ce que l’on croit être vrai.
Les timelines quant à elles, sont des lignes de temps qui se construisent à partir des croyances. Cela peut nous faire penser à une partition de musique sur laquelle on inscrira des notes. La vision du temps selon Einstein a donné naissance au concept d’univers bloc, dans lequel l’univers tout entier se déploie dans un continuum d’espace-temps. Tous les événements présents, passés et futurs existent en simultané. Ce concept d’univers bloc représente tout simplement le temps, comme une coordonnée nécessaire pour déterminer l’emplacement d’un objet dans cet Espace-temps, un "flag" et les lignes de temps comme telles, sont les structures numériques sur lesquels s’accrochent les croyances qui forgent la réalité.
Or, une croyance est une idée issue du plan mental qui prend une forme dans le plan astral, et suit sa descente selon les Lois de la manifestation. Elle a été captée et entretenue par la pensée d’un grand groupe de gens qui l’alimente à partir du bas. En fait, plus il y a de gens qui se mobilise par la pensée sur un élément quelconque, plus le dit élément devient une réalité. L’idée de base devient dès lors assez forte pour vibrer d’elle-même et attirer d’autres vibrations semblables grâce à la Loi d’attraction. Tous ces éléments s’accrochent bien solidement sur la partition de la ligne de temps.
En mars 2020, non seulement a-t-on voulu créer un changement au niveau planétaire, mais les responsables de ce plan d’envergure n’auraient pas pu le réaliser sur la ligne de temps des années précédentes. La raison en est bien simple, ça n’allait pas assez vite.
Il a donc fallu créer un choc immense pour arriver à abandonner la ligne de temps que j’ai nommé 2000/19 sur le tableau et en créer une nouvelle. Le choc, c’était l’annonce d’un virus mortel aux abords de Wuhan, une ville de Chine centrale. Le reste, vous le connaissez.
Si on observe bien le tableau, le choc, entretenu dans une manipulation peaufinée au quart de tour est devenu rapidement une croyance mondiale. Cette croyance adoptée par une majorité, accompagnée de la fréquence vibratoire la plus basse qui soit, la peur, nous a tous fait chuter dans une ligne de temps artificielle.
Puisque rien n’était vrai, puisque tout était entretenue de façon artificielle et continue de l’être encore aujourd'hui, nous demeurons dans cette ligne de temps inventée de toute pièce. Si vous remarquez bien le dessin, la ligne de temps du haut continue pourtant d’exister, mais les efforts déployés pour nous maintenir en pensée dans la ligne de temps du bas sont si grand que nous avons de la difficulté à nous en détacher.
Depuis Mars 2020, après ma réaction au choc des Nations, j’ai continué d’observer la réalité sans tenter d’y mettre de couleur. Pour être honnête, si je faisais abstraction des médias, que ce soit les médias mainstream ou les médias alternatifs, ce que je voyais n’avait absolument pas changé. Tout continuait d’exister exactement comme avant. Quand j’observais ma vie à partir d’un point de vue plus personnel, et si j’en fait encore l’analyse 18 mois plus tard, j’ai continué sur la même lancée à l’exception d'avoir perdu mon temps et mon énergie à nourrir un truc qui ne me plaisait pas. J'ai aussi observer des changements climatiques, des faits, eux aussi artificiellement provoqués par une technologie de pointe, qui me montre finalement que la timeline artificielle commence à vibrer d’elle-même.
Oui, j’ai vécu l’obligation de porter des masques comme tous le monde, mais même là, je ne me sentais pas concernée. Comme plusieurs qui ont la même impression que moi, depuis cette date, j’ai le sentiment d’être à cheval sur deux temps, de ne pas me reconnaître. Je suis sur le temps du haut qui continue bel et bien à exister quand je ne polarise pas les émotions et les défis de tout un chacun, qui essaient de m’infiltrer, ET sur le temps du bas que j'observe de loin, qui selon moi est complètement artificiel, et par extension ; complètement FAUX.
D’ailleurs, on réalise que dans le plan 20/30 des globalistes qui souhaitent mettre en place un gouvernement mondial totalitaire, il y a parmi les objectifs, celui d’effacer l’histoire, pour redéfinir les normes sociales. En vérité, l’histoire s’effacera d’elle-même si les gens demeurent dans la timeline du bas puisqu'il n'y a aucune histoire en deça de 2020. Enfin, il faut comprendre que pour que cette timeline continue d’exister, cela demande une forte concentration de pensées mobilisées vers le même objectif au niveau collectif. Ce qui signifie qu’ils n’ont pas fini de se faire remplir la tête de toutes les façons possibles alors que ces individus sans scrupules qui veulent gouverner le monde, inventent à la fois les problèmes et les solutions.
Par contre, et retenez bien ceci pour ceux que ça intéresse, la timeline du haut existe encore, même si presque personne n’est encore tout-à-fait dedans. En se détachant des artifices, nous y retournerons instantanément puisque c’est notre timeline de base. Encore une fois, avons-nous besoin de sauver le monde ? Pas du tout. Ces compréhensions se font de manière individuelle et quelques personnes seulement y arriveront.
Lady Isabelle xx
Extrait de "Passage à vide" 2021

3.8.21

Observer

 


La vie ne se déroule pas simplement d'elle-même. Elle a besoin qu'on l'observe.

C'est vrai. Elle a besoin de notre participation énergétique, de notre conscience à priori, car elle s'influence et se crée à partir de ce que nous vibrons inconsciemment.
Nous ne faisons qu’un avec l’Univers, tant dans notre monde intérieur qu’à l’extérieur, dans ce que l'on projette. Tout ce que l'on voit n'est qu'une parcelle de nous-mêmes, de notre esprit qui est passé par les mémoires astrales, puis par le filtre de nos croyances et de nos coeurs réunis. Si ça ne vous plaît pas, c'est qu'il y a du ménage à faire dans vos structures visibles et invisibles.
Soyez-en conscients, soyez vous-même, et entourez-vous de ce que vous voulez être dans votre vie actuelle. Entourez-vous de beauté, de bienveillance, de joie, de chaleur humaine.
C'est important de se positionner maintenant, et ce, malgré les malgrés
Dites-vous qu'une seule pensée influence la forme dans l'éther, alors soyez vigilant dans ce qui alimente votre vie !
Lady Isabelle xo

26.7.21

Passage sous vide

 D’aussi loin que je me souvienne, j’observe le monde de façon détachée. Comme bien d'autres, je n’ai jamais eu l’impression d’y appartenir vraiment. Cette propension à regarder la réalité à partir d’un point de vue d’observateur m’a poussé à vouloir comprendre au-delà du narratif habituel ; comprendre notamment comment s’organise le modèle structural de ce que l’on projette hors de soi.


Il va sans dire que le cheminement tel qu’il nous apparaît aujourd'hui, commence lorsque nous prenons conscience qu’il n’y a pas de séparation entre l’extérieur et l’intérieur.
Nous expérimentons la vie sous l’illusion que nous sommes séparés les uns des autres, et la séparation comme telle, se trouve à être un aspect déterminant pour expérimenter la tridimensionnalité.
En quelque sorte, nous l'avons choisi à partir du plan de notre âme, mais c’était sans savoir que notre âme elle-même s'est crue un jour, séparée de la source. Par conséquent, nous expérimentons la vie et la mort du monde mémoriel de l’âme qui accumule les expériences de karmas, et qui nous soumet, d’une incarnation à une autre, à une structure matricielle duelle où nous apprenons à évoluer par la souffrance à travers le bien et le mal.

À ma naissance, le bébé que j’étais, comme celui que nous avons tous été un jour, baignait dans son authenticité profonde, dans l’être divin qui répond à son plan originel.
Vivant dans l'innocence de l'instant présent, l’esprit du bébé qui transite ainsi d’un monde à l’autre, est à l'endroit, sans séparation aucune avec le monde extérieur. Il est encore uni, à la fois à la source originelle de la matrice divine, et à sa mère, représentante incarnée du féminin sacré.

Le bébé n'a pas conscience de son égo. Il est pur. Et à partir de cette personnalité qu’il commencera à bâtir pour survivre dans son incarnation terrestre, naîtra différentes sous-personnalités, facettes de lui-même qu’il montrera ou non au monde.

Il passera ses premières années de vie face à son propre miroir, à découvrir et à mettre en place les stratégies qui lui permettront de mieux vivre son expérience selon des barèmes artificiels, et trompeurs. Puis il passera la balance de sa vie à se battre contre lui-même, contre ces mêmes expressions stratégiques qu'il a lui-même installées, inspiré qu'il était des modèles de valeurs inversées.

Dès le départ, Il a été formaté. L’éducation reçu lui renvoie une image de lui-même altérée, une image qui détonne d’avec sa vraie nature. Il le sens dans son corps. Dans son esprit, la confusion prend place, car s’il réfléchit trop à partir de sa nature divine, il n’arrive plus à voir la réalité qu’on lui impose. La scission s’installe alors d’elle-même, puisque l'image qu’on lui propose se trouve à être inversée, et tous les systèmes parental, familial, éducatif n’auront de cesse de l'identifier à ce qu’il n’est pas le restant de sa vie.

Extrait de PASSAGE SOUS VIDE
Lady Isabelle D'Amours

2.7.21

Êtes-vous mature ?

 


La maturité psychologique d'une personne est un état particulier à atteindre. Un état qu'on associe à la connaissance de soi, de ses structures et cartes mentales qui régissent la vision du monde d'un individu et lui permet de s'auto-réaliser. Cela inclut bien sûr sa capacité d'établir des contacts intelligents avec les autres, de percevoir la vie de manière objective, de lire la réalité à partir d'un point de vue d'observateur, et d'en faire la distinction d'avec le réel. En outre, la maturité psychologique d’une personne repose sur son détachement face à sa personnalité ou à ses croyances, ainsi que sur la responsabilité pleine de sa vie et des conséquences de ses choix et actions.
Évidemment, cela ne dépend pas de l'âge, mais du degré d'autonomie obtenu par sa propre volonté d'avancer sans le regard ou l'approbation des autres. Se choisir... est un premier engagement à soi, vers la maturité. Cela signifie qu'on laisse de côté ses programmations et qu'on cesse de les alimenter soit par habitude, soit par attachement.
Toutes les activités d'un individu psychologiquement mature sont destinées à la réalisation du Soi, dans le respect de valeurs intrinsèques et du savoir de son esprit. Il se détache de sa persona pour laisser la place à ce qu'il est fondamentalement, et dès lors, chemine dans une intention évolutive qui INCLUT ses semblables et le principe même de la vie. Toute action, choix de vie est posé dans une conscience humaine, car on ne peut faire fi des autres lorsqu'on aspire à L'UNITÉ.
Ces niveaux de croissance atteints, la personne développe et maîtrise ses facultés parapsychiques suivant les Lois de la prospérité, et avance, riche de ses expériences, dans l'interaction constante de toutes ses dimensions.
C'est la sérénité même au coeur de soi.
Lady Isabelle xx

28.6.21

La réalité est faite à partir de croyances

 


Les croyances doivent être comprises comme des généralisations tenant lieu de référence dans les cartes mentales de la réalité subjective des individus. Il ne s'agit pas ici de croyances religieuses ou idéologiques. Ça, nous le savions déjà.
Toute personne possède des croyances, qui se construisent au cours de son histoire personnelle. Elles se fondent sur certaines expériences qui, généralisées, jouent ensuite un rôle de référence. Une croyance est vraie (pour la personne qui croit). C’est quelque chose qui se répète dans le temps et que l’on peut valider par des exemples nombreux, des preuves pour appuyer sa véracité.
Découvrir les croyances d'une personne permet dans une large mesure de prévoir ses comportements. Quand on a compris et identifié les valeurs auxquelles la personne obéit, il est alors possible de découvrir la croyance qui structure la carte de la réalité. Les croyances s'auto-entretiennent en interprétant les expériences comme des justifications, ou des preuves de leur bien-fondé : elles en viennent à se substituer à la réalité.
Des réalités nous sont proposées depuis 2 ans par des procédés malencontreux. Ces scénarios deviendront avec le temps, et en adéquation avec la loi du rythme, des réalités de plus en plus ancrés dans l'intellect des personnes. C'est ainsi qu'on construit des tendances sociétaires. Il nous sera de plus en plus difficile d'en sortir si nous les achetons maintenant et que nous les entretenons dans une polarité négative ou positive. (Parlez en en mal ou parlez-en en bien... ça a peu d'importance en autant que vous en parlez).
Mais on est invités à comprendre que notre participation à l'ensemble des croyances apocalyptiques proposées, les crée de plus en plus dans la matière.
Ce qui est bien avec les croyances, c'est qu'on peut arrêter d'y croire instantanément. Il ne suffit que d'un doute suffisamment important pour que les cartes mentales qui les supportent s'effondrent. Le best donc... c'est de ne croire en rien.
Au lieu de croire, nous sommes appelés à développer notre conscience, à être présent à soi, puis à se connecter au savoir intrinsèque de notre esprit qui nous guide merveilleusement bien au travers tout ce cafouillis de réalités.
Les timelines sont des fréquences déjà tracées d'avance que nous pouvons chevaucher simplement en abolissant notre système de croyances.
Alors, qu'on épure les résidus des réalités qu'on ne souhaites plus et qu'on abandonne les croyances.
Et de grâce, arrêtez d'en parler ! Ça pollue.
Lady Isabelle xx

27.6.21

Se détacher de la matière

 


Nous sommes toujours là à créer quelque forme que ce soit sans nécessairement en avoir conscience. La présence à soi, à la fois dans l'esprit et dans son incarnation, et ce à chaque instant, demande le détachement complet de la matière sur laquelle nous posons notre regard.
De la minute où notre attention s'extériorise, nous ne sommes plus là où nous devons être. L'espace de création que nous venons tout juste d'abandonner représente l'endroit exact où nos deux polarités co-existent ensemble sans se neutraliser. Hors de l'astral.
C'est notre trône.
L'espace où se crée par un mariage heureux, une troisième énergie de pure lumière qui nous unit au tout et nous permet dès lors, d'exalter dans le diamant de la conscience.
En quelque part, nous voulons régner et habiter l'ensemble de notre royaume. Mais nous nous attachons vraisemblablement au monde physique, à nos rôles, oubliant souvent ce qu'est la réelle nature de la matérialité.
Le/La souverain(e) demeure présent(e) dans ce qu'il/elle est.
Il/elle connaît sa création puisqu'elle vient de lui, d'elle.
Il/elle n'a pas besoin de s'expérimenter.
Tout vient de son esprit.
Lady Isabelle xx
Photo ; Deviant Art

25.6.21

Tout est esprit



Au commencement, tout était moi, la lumière de moi-même, éclairante et libre, non liée à une quelconque forme physique.

Au début, oui. Tout ce que je connaissais était moi-même et le grand mystère au-delà de moi. Je ne m'étais pas exploré davantage. J'étais tout ce que je connaissais.
J'ai alors créé des aspects de moi-même avec lesquels je pouvais communiquer, partager, expérimenter encore et à l'infini, le grand mystère de la vie - l'ESPRIT.
Effectivement, rien n'est issu d'autre part.
Rien n'est séparé.
Tout cela est moi, dans l'esprit, dans toutes les facettes intelligentes du diamant de ma conscience ; qui luit, à la fois dans l'ombre ou dans la lumière éternelle sitôt qu'on en capte le rayon.
La verticalité, c'est de vivre à partir de l'esprit, une expérience humaine d'unité qui se veut n'être qu'une expérience parmi tant d'autres. Dans la densité matérielle, les consciences ne communiquent pas ensemble. Cependant, elles laissent des traces de leur passages, que l'on peut voir surgir à travers le temps, d'une vie à l'autre, d'une fréquence à une autre, comme des synchronicités.
Ce sont nos propres traces d'évolution, que l'on a semé soi-même, d'une brillance à une autre. Comme l'esprit est toujours le même, et que toi mon frère, ma soeur, tu es moi.
Il est prospérité, infinité, éternité.
Ainsi, il se multiplie à l'infini et se voit lui-même dans tout ce qu'il crée.
Lady Isabelle xx

Clin d'oeil

Souvent en marchant, il me vient des idées loufoques. Si bien que je me demande pourquoi ma pensée prend le large, et puis je trouve.  Ce ma...