19.10.22

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Structurer sa conscience, c’est quelque chose qu’on arrive à faire après s’être engagé sur son chemin d’évolution et d’avoir repris en main la responsabilité complète et totale de sa propre existence ; soit 100% de la réalité qu’on projette.
Le fait d’impliquer la suprématie des forces aliens dans le processus d’élévation de la conscience humaine, réduit d’emblée sa souveraineté. On est souverain ou on ne l’est pas.
La conscience humaine porte en elle la capacité de dépasser ses programmations, et de transmuter les manifestations qu’elle ne contrôlait pas avant.
Avec la connaissance de soi et la maîtrise que cette connaissance implique, on apprend à intégrer nos polarités, plus spécialement à les harmoniser. Si on ne les intègre pas, ces énergies refoulées seront exclues de la personnalité primaire sans toutefois cesser d’exister. Elles parasiteront les pensées et les comportements et créeront malgré notre volonté, les conflits mondiaux que nous vivons à l’heure actuelle. Rien ne se perd.
En fait, ce que crée l’esprit pour faire évoluer la conscience doit être perçu sans y mettre de jugement et sans lui donner de direction précise par l’entremise de notre corps émotionnel. Les éléments qui se présentent à la conscience et qui, une fois accueillis dans notre champ, sans résistance, enrichissent l’expérience humaine. On peut soit les utiliser, soit les regarder passer. Les émotions quant à elles doivent être gérées pour et par l’intelligence du cœur puisque la plupart du temps, elles sont polarisées, et nous débalancent.
L'éveil qui permet d'atteindre le surmental est l’étape suivant l’intégration du mental et de l’ego. C’est d’abord la prise de conscience de l’illusion de la pensée subjective dont je parlais plus tôt, et des conséquences que cette pensée peut avoir sur l’expérience humaine qui finalement, n’en est pas une.
Cela représente le dépassement de cette pensée subjective jusqu’à un mode de compréhension et d’entendement dénudé d’attachements et de croyances ; de plus en plus réel.
C’est donc une ouverture nouvelle sur une forme d’intelligence qui nous invite à une conscience plus vaste et plus parfaite que l’on appelle le soi supérieur.
Cette étape permet à l’être humain de voir plus loin, et de façon plus claire dans son esprit. Bien que plusieurs personnes soient dans cette intelligence depuis le début de la fausse pandémie, reste qu’ils n’ont pas encore accepter la responsabilité de leur pensées et de leurs actions. Ils ne se voient pas eux-mêmes dans les parties d’ombres et ne se reconnaissent pas. Évidemment, cette attitude ne fait qu'amplifier la noirceur.
La conscience voyage.
Elle chute dans des courants chauds ou froids, blanc ou noir, et se recentre aléatoirement, car elle n’est pas suffisamment puissante pour se maintenir en fréquence et donner aux êtres humains une vision totale de ce qu’ils sont dans la multidimensionnalité.
La lumière de l’intelligence pure n’est pas encore arrivée jusqu’à eux et la raison en est bien simple ; cela les ferait disjoncter.
Pourtant, la lumière doit descendre dans la matière, et ce sera au rythme de chacun. C’est l’aboutissant du chemin d’évolution et de la fin de ce cycle d’enfermement.
Dans le chas de l'aiguille - Lady Isabelle

5.10.22

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Si je vous parle du supramental aujourd’hui, c’est que la conscience d’un plus grand nombre de gens s’est reliée à cette étape de l’intelligence. Ce n’est pas une majorité bien au contraire, mais cette minorité tend à vouloir dépasser le plan astral pour rejoindre un plan plus élevé de conscience.
Nous avons dépassé le plan ou l’âme est prisonnière de ses programmations et qu’elle s’est attribuée une mission.
Nous avons dépassé la croyance qu’on doit évoluer par la souffrance, et celle ou la culpabilité nous tient en otage.
Nous avons compris que cette partie de l’âme qui a chuté dans l’astral n’est qu’une structure mémorielle parasitée, qu’elle contient la plus belle version de nous-même ainsi que la plus laide puisqu’elle est faite de nos dualités.
Et que tout ce qui se situe au niveau du plan astral, que ce soit dans le haut ou dans le bas, Karmas, contrats d’âme, âmes sœurs, entités célestes ou démoniaques, ne sont que des pièges d’enfermement pour l’esprit en involution.
Le monde astral est le monde de la forme, des fractales, des entités issues de notre champ de conscience, qui ne sont que de l’énergie personnelle diffractée. Sa structure duelle est une condition essentielle pour manifester la vie au niveau matériel. Cependant, qu’on soit du côté des anges ou des démons, l’astral ne représente que la symbolique appartenant aux cartes mentales privées des individus ; leur programmation de base.
Ces mêmes cartes sont les assises nécessaires à l’émergence de la personnalité humaine.
Oui, car sans ego, nous ne serions pas ici dans un corps physique et vous ne seriez pas en train de me lire. L’ego étant l'extraordinaire filtre psychologique d’où nait notre personnalité.
Dans le chas de l'aiguille - Essai Lady Isabelle

30.8.22

Il n'y a pas de choix à faire

 Tout est là déjà, en soi-même.

La liberté de créer nous appartiendra toujours, et notre réalité ressemblera en tout point à ce que nous imaginons, maintenant, au présent, dans nos consciences.
Instantanément.
L'être humain a des facultés mentales fantastiques, Elles lui permettent de voir, de chercher, d'analyser, de discerner, de faire des synthèses, d'en tirer des conclusions, puis de réaliser que derrière tout scénario finalement, derrière toute existence, il y a une perception d'individu qui détonne, influence, tri, généralise, sépare, essore, et se prouve en continue combien elle a raison.
Le savoir de l'esprit descend en ceux qui ont pris soin de nettoyer leur espace intérieur, après avoir fait le vide de toutes influences et croyances extérieures.
En position de révérence, la conscience et ses perceptions non intégrées par la connaissance des ses propres structures, s'abandonne à sa guidance intérieure ; pas de guides non, pas d'anges, pas de maîtres, mais bien Soi, seul avec tout ce que nous sommes dans l'intelligence de la source infini.
La connaissance de soi, de notre fonctionnement dans tous nos corps et dimensions d'existence, et ce, dans les structures et Lois qui les encadrent, demeure le phare qui nous éclaire en l'absence de l'esprit. Avec cet éclairage sur la vie, muni d'un certain recul, nous pouvons retrouver à tout coup notre centre, et ainsi, nous laisser vivre ce que nous avons besoin de vivre pour nous prouver à nous-mêmes que nous créons, encore et encore.
Lady Isabelle xx



22.8.22

La mue


Autant auparavant, c'était monnaie courante de voir des groupes s'organiser ou "faire le party" dans sa cour arrière, autant aujourd'hui il me semble que cela n'a plus de sens.

Vous en pensez quoi ?
Les partys et les rassemblements "juste pour le fun" ont une connotation politique, pour déterminer à priori dans quel camp on se situe, sinon ils sont tout simplement absent de plus en plus.
Les rues sont vides. Les gens consomment.
En ce qui me concerne, les menteries ont assez duré, et les menteurs aussi. Ce qui nous laisse très peu de choix pour les rassemblements ou l'on échange vraiment.
Enfin, cette transition de vie difficile est tout de même quelque chose d'individuel. Le serpent se délaisse de sa vieille peau et en même temps, il s'en reconstruit une nouvelle. Quel exploit !
La mutation a lieu lorsque nous n'avons plus de repères dans ce monde corrompu avec lequel on détonne. Plus rien ne nous fait vibrer. N'est-ce pas comme cela que nous vivons cette fin de cycle ? À cheval sur les dimensions, alors qu'on doit constamment se recentrer et retrouver le "Je suis".
On doit penser en terme vibratoire, car la forme, comme le dit cette chère Arwen de La Réault, n'a plus vraiment sa place si l'on veut se baser sur quelque chose de réel pour créer sa future vie.
C'est un questionnement incessant, de soi à soi-même, que l'on est appelés à faire, et en même temps, c'est avec une conscience plus soutenue que nous vivrons chaque minute d'un quotidien nouveau.
Que nous souhaitons tant,
Que nous chérissons tant, alors que notre cœur prend enfin les commandes.
La position de l'observateur se développe ainsi pour celui qui apprend à se détacher de ce qu'il projette, qui ne participe plus dans le maintien d'une matrice artificielle.
D'emblée, il se sens mal devant les avenues qu'on lui propose.
Il devine qu'on veut le manger, qu'on a besoin de sa vitalité, de sa force et de son énergie. Alors il dit NON, et il agit en conséquence.
Il se change intérieurement au fur et à mesure qu'il prend conscience de ce qu'il porte en lui-même, et laisse cette peau vieillir derrière lui.
Valorisant les échanges profonds, lorsqu'ils passent... et accueillant la nuit en toute gratitude, il chemine et découvre son Eden à lui, son jardin d'abondance.
Lady Isabelle xx

28.7.22

Notre Regard

 


Quand je regarde ma vie, j'ai parfois l'impression d'en avoir vécu 4 plutôt qu'une. Je vois l'ampleur des projets que j'ai mené à terme, et pour lesquels j'ai persévéré, et je me rend compte qu'il y en a effectivement beaucoup.
Comme plusieurs d'entre vous j'imagine que, dans certains domaines, j'aurai accompli beaucoup de choses alors que dans d'autres, je suis encore à pas de bébé.
Par exemple, n'ayant pas eue la chance d'avoir une famille à moi, tout ce temps dédié m'est revenu. Je suis passé à côté de bien des activités familiales traditionnelles, bien des évènements qui participent à la création de souvenirs. J'aurais pu développer des compétences différentes puisque je ne sais même pas comment tenir un bébé dans mes bras. Par contre, j'ai vu naître des tas d'animaux, chiens, chats, chevaux, oiseaux, lapins dont j'ai pris soin. J'ai été mère par intérim d'une multitude d'adolescentes abandonnées par leurs parents. J'ai été gardienne, enseignante, soignante, accompagnante. En fin de compte, j'ai eu mille enfants !
Idem pour la vie de couple que je n'ai pas choisi, puisque j'ai pratiquement passé ma vie en célibataire. Encore une fois, si j'avais mis mon attention sur cet aspect de ma vie, je serais surement devenu une pro de la vie à deux !
Est ce que j'ai des regrets ? Non, bien entendu !
J'ai vécu ma vie comme je la voulais.
Je ne suis pas non plus une personne de "gang".
J'ai besoin de délicatesse, de vérité, de profondeur, de calme, de silence. Il n'y a aucun bruit chez moi mis à part le souffle de ma propre respiration. J'aime m'entendre réfléchir.
Lorsque je suis en groupe, j'ai l'impression d'être dans un stand d'autos tamponneuses. Vous voyez l'image ? Je me sens comme un outsider, à la recherche d'une fréquence qu'il semble impossible de syntoniser.
J'aime les rencontres "one on one", profonde et vraie, où chacun se raconte, écoute, sachant que l'autre est là pour soi, et où il y a une proximité intuitive d'âmes qui se touchent l'une l'autre.
Je suis toujours intègre et vraie. Mes amitiés sont sincères.
Je suis une bonne amie pour quiconque souhaite vraiment me connaître, mais je ne sais pas comment jouer aux devinettes.
Ces amitiés sont ma famille, ce sont mes âmes sœurs, et chacun sait qu'au terme des missions que nous nous sommes donnés les unes envers les autres, arrive un temps où nos chemins se séparent.
Les séparations sont toujours dures à surmonter, c'est un deuil à faire incluant les mêmes étapes. Quelqu'un qui nous a aimé profondément, et qu'on a aimé en retour, une personne à qui on doit souhaiter bonne vie malgré l'envie de la serrer contre soi, de la porter des années encore en son cœur, la fin d'un contrat d'âme, c'est une autre façon d'aimer.
On se réjouie pour l'autre, lui redonnant sa liberté, célébrant ce que nous avons capté d'elle et gardé en notre champ morphique... et on entretien par conséquent des pensées florissantes à son sujet. En même temps, tout en étant dans la gratitude, on peut dire au revoir aux souvenirs qui ne sont rien d'autres que des engrammes, des dossiers qui nous retiennent au passé.
Ce sont des choses que l'on ne nous apprend pas, dont on ne connaît jamais l'issue à l'avance.
Ne dit-on pas que chacun vient sur terre pour se dépasser lui-même ?
D'ailleurs en ces termes évolutifs, plusieurs confrontent dans ces évènements leur blessure de rejet, d'abandon, d'injustice... pour apprendre à lâcher-prise ou à pardonner alors qu'il n'y a rien à lâcher ou pardonner.
Nous sommes appelé à réapprendre ce qu'est le détachement ; cet état d'amour de celui qui contemple la vie, et se sait créateur. Il ne peut y avoir ni blessure ni jugement puisque son regard est témoin d'une œuvre majestueuse qui provient de l'alignement de son propre esprit.
Laissons entrer la lumière en nos cœurs. Rien ne nous appartient.
Lady Isabelle xx

22.7.22

L'élite c'est nous

 


Ceux qui ont choisis de ne pas monter à bord du train de la médiocrité ;
Ceux qui pensent par eux-mêmes, élèvent leur conscience et ont conservés leur précieux discernement ;
Oui, les gardiens de l’autonomie, de la connaissance, de la pérennité, ceux qui n’ont pas besoin qu’on leur dicte quoi faire et ne dépendent pas de quiconque pour prendre des décisions ;
Nous sommes ceux qui font face à l’ampleur des mensonges qui nous sont proférés jour après jour pour manipuler les consciences, servir des intérêts privés, et nous détourner de notre pouvoir intrinsèque ; nous rendre complices.
L’élite, ce sont ces éveillés qui ont compris la portée de leurs gestes sur le monde du vivant.
• Qui préservent la vie, la nature, les animaux, avec amour, qui agissent dans une mentalité prospère ;
• Ils reconnaissent en eux-mêmes et dans chaque être, le caractère sacré de ce qu’ils sont ;
• Ils sont engagés dans des actions créatives, conscients et responsables aussi de ce qu’ils créent ;
Avec courage dans l’adversité, ces gens maintiennent le niveau vibratoire de la planète élevé. Ils se moquent des discours présomptueux et réducteurs qui ne les atteint pas. Ils s’unissent ensemble dans un même esprit, pour alimenter le nouveau monde dans la joie,.. tout en regardant l’ancien s’effondrer, dans l'intelligence, la gratitude et le respect.
Vous reconnaissez-vous ? L’élite c’est nous !
Bon début de semaine les amis(es)
Lady Isabelle xx

10.7.22

Le saviez-vous

 


Je suis une éternelle romantique. J’aurais du naître à une autre époque. Celle ou on fréquente un homme sur le long terme, pour apprendre à se connaître et développer de réels sentiments, avant de s’engager dans un chemin à deux.
Une époque où la littérature, la poésie, la musique, l’art et les bonnes manières étaient témoins de talents réels, de génies réels et de vertus. Une époque où le respect de la vie, de la beauté, du sacré revêtait une autre forme.
Des époux qui se vouvoient, et pour qui le discours restait élaboré malgré les situations, moi ça me renverse. Pour preuve, à 95 ans, mes parents ne se sont jamais chicanés ni en public ni en privé… jamais manqués de respect envers l'autre une seule seconde. On ne connaît rien de cela aujourd’hui.
Honneur et vertus, on se demande encore ce que ces mots veulent dire tellement on nous a infiltré dans nos modes de vie quotidiens. La manipulation a fait son chemin sous l’appellation du progrès, et pourtant, qu’est-ce qu’on a gagné vraiment ?
Rien du tout puisque tout s'effondre.
Les relations amoureuses se basent presqu'uniquement sur l’exploitation de l’un et de l’autre pour ses propres besoins. À quoi peut-il ou elle m'être utile dans ma vie ? C'est l'agenda qui nous sert d'exemple. On se met en couple pour étaler ses biens matériels sur les réseaux sociaux. Les gens ne savent même plus ce qu’est aimer.
Toutefois, la vie m’aura partiellement entendu sur ce point, ayant eu des conjoints 10-15 ans plus âgés que moi, et fervents des mêmes modèles. Honoré de Balzac aurait pu sourire d'entendre ainsi réciter ses lettres. Aujourd’hui, moi qui suis célibataire depuis longtemps, on dira que ce temps est révolu, mais il vit toujours en moi. C'est l'étincelle de noblesse qui enflamme les cœurs.
Bon Dimanche
Lady Isabelle xx

Jeux d'ombres

Si la forme existe, C'est uniquement par jeux d'ombres et de lumières. De la lumière diffractée en fait - de l'esprit à l'âm...