D'un côté, il y a ce besoin d’exister et de l'autre, il y a les peurs. C’est un paradoxe auquel nous avons à faire face toute notre vie puisque la raison d’être des peurs est de nous protéger.
L'intention est bonne ...
L'intention est bonne ...
Le problème, c’est que nos peurs sont saines quand elles nous protegent d'un réel danger, et elles le sont moins lorsqu'elles nous privent de notre liberté d'être.
Nous sommes appelés à nous questionner sur le fondement de la peur. Sommes-nous en face d'un réel danger, comme par exemple un lion qui arrive de nulle part en rugissant, ou le feu qui est prit dans la maison ? Ou sommes-nous victimes de nos propres perceptions erronées ?
Nous sommes appelés à nous questionner sur le fondement de la peur. Sommes-nous en face d'un réel danger, comme par exemple un lion qui arrive de nulle part en rugissant, ou le feu qui est prit dans la maison ? Ou sommes-nous victimes de nos propres perceptions erronées ?
En fait, la plupart du temps, les peurs n’appartiennent pas au présent. Elles émergent souvent du passé, d'un traumatisme issu du 0-6ans, vécu sans accompagnement adéquat, qui refait surface.
Passer à l’action, c’est se donner le droit d'exister.
Oser prendre sa place, c’est vivre dans l'inconnu pour un certain temps, et inévitablement ça réveille des peurs.
Si on souhaite avancer dans sa vie en se sentant vivant, et bien il faut faire avec, les inclure dans le processus pour les aider à évoluer et retrouver la liberté.
Oser prendre sa place, c’est vivre dans l'inconnu pour un certain temps, et inévitablement ça réveille des peurs.
Si on souhaite avancer dans sa vie en se sentant vivant, et bien il faut faire avec, les inclure dans le processus pour les aider à évoluer et retrouver la liberté.
Un beau lundi à tous !
Lady Isabelle xx