21.12.23

Réflexion de fin d'année

 


Je pensais à voix haute en marchant tout à l’heure. Je trouve que de laisser sortir mes idées en les nommant ainsi m’aide à clarifier certains points qui autrement, pourraient paraître obscurs. Ma réflexion touchait entre autres choses les limites dans lesquelles mon âme est prisonnière de la matrice 3D. Peut-être que mes mots auront une incidence sur la vôtre en ce début de solstice d’hiver. Bref, ce n'est qu’un partage en toute simplicité.

Je prends exemple sur le vieillissement, qui selon moi est une aberration. Cela va à l’encontre de toute logique. Il est clair que le vieillissement tel qu’on le connait fait partie des programmations dans lesquelles le mental est enfermé. Ainsi, nous croyons à la vie et à la mort comme étant une ligne droite, qui malheureusement, comporte une fin. Ces croyances comme plusieurs autres deviennent des vérités ici dans la matrice, mais les remettre en question est une responsabilité qu’il nous incombe d’avoir.

La vie est cyclique. Il y a naissance, croissance, déclin et mort, transformation et renouvellement permanent. Tout est mouvement. Nos cellules naissent et meurent continuellement. C’est ce qui maintien la vie de façon éternelle ; et qui dit « vie » parle de vibration, et de l’énergie qui s’en dégage. Malgré toutes les manipulations de l'homme envers la nature, la nature divine des êtres ne s'altère pas. Pour moi c’est clair. La maladie non plus n’existe pas. Pas plus que le temps qui ne sont que des éléments illusoires servant des agendas précis visant à séparer la conscience de sa source.

Selon le principe vibratoire, notre vie ne s’arrête pas de but en blanc une fois rendu au bout du chemin. Ne commence pas non plus une vie dans un monde subtil, qui, on le comprend aujourd’hui, représente l’autre versant du même programme ; blanc/noir, bien/mal etc. Le principe vibratoire ne fonctionne pas ainsi. Et ce qu’on peut en comprendre, c’est que quelque chose nous empêche de vibrer éternellement dans ce que nous sommes supposé être sur le plan divin.

Ce quelque chose peut se traduire par des interférences au niveau de la forme originelle. Notre forme originelle est porteuse de vérité, de beauté, de santé parfaite. Rien ne l’altère dans le plan de l’esprit. J’ai songé longtemps que l’enfermement de notre conscience était une conséquence relative au mental/ego, du petit conscient en quête d’identité. Aujourd’hui je me rends compte qu’il y a bien plus que cela. L’enfermement a lieu dans le plan astral, au niveau de l’âme qui a chuté, et c’est elle qui s’en trouve altérée.

Les 15 années de travail en développement personnel m’ont certes amené un éveil de conscience et des compréhensions plus pointues, mais elles m’ont toutefois maintenues dans le champ de l’âme, et par extension dans les programmations mémorielles des vies passées, du karma, de la réincarnation, de la polarité qui ne sont que des éléments servant à détourner notre regard.

Bien que je sois au courant de ces savoirs de par les lectures, notamment des structures Archontiques en place, j’ai aujourd’hui vu, senti, conscientisé que nous avons une porte à franchir pour sortir de cette prison. C’est ce que j’appelle dans mon livre « Passage à vide », le chas de l’aiguille. Cette porte est la clé qui permet de transcender la programmation illusoire dans laquelle l’âme est maintenue de même que tous les plans qu’elle interpénètre. L’observation à partir de ce point de conscience me permet de bien comprendre les limitations raffinées dans lesquelles ces structures me maintiennent moi et cette réalité que nous partageons conjointement. Car il faut le dire, ces limitations nous poussent à vouloir nous dépasser, mais ne sont en vérité que des moyens de nous faire tourner en rond. 

En disant ces mots, j’ai eu l’impression que des barrières explosaient dans mon esprit et en même temps, j'ai vu le choix que nous avons à faire, les choix que nous faisons à chaque instant ici bas.

Pour bien l’expliquer, j’utiliserai l’exemple d’un rituel égyptien qu’utilisait les anciens pour permettre aux initiés de dépasser les limites du mental programmé. Donc, ces gens devaient retenir leur souffle sur une longue période de temps. Ils plongeaient dans une ouverture remplie d’eau, se laissant descendre jusqu’à atteindre le fond, pour ensuite passer au travers un bassin rempli d’alligators, ne jamais remonter à la surface, et de l’autre côté, trouver enfin la porte de sortie.

La plupart des adeptes mourraient. Pourquoi pensez-vous ? Parce qu’ils ne se croyaient pas capables de passer au travers. À un moment ou à un autre, l’idée de manquer de souffle, d’être mangé par un alligator ou de se noyer effleurait leur esprit, et c’est exactement ce qui se passait. Certains autres plus rare y arrivaient, et ceux-ci comprenaient à quel point la vie terrestre dans l’avatar est pavée d’illusions, que l’Univers est esprit, et que l’esprit est éternel.

Notre nature véritable est puissante, vibrante, éternelle. Nous n’avons pas à mourir physiquement pour revenir dans une autre expérience dépourvue d’intelligence et mu par des vampires d'énergie. Je vous le dis aujourd’hui, je vais passer au travers cette maudite porte et sortir une bonne fois pour toute de ce cauchemar qu’est la réincarnation. J’en fais le serment.

Lady Isabelle xx

 

 


UNITÉ

  Le principe de responsabilité universelle implique un niveau de conscience qu'on peut toutefois apprendre à développer. Ce n'est p...