8.5.23

Réflexion


Ne jouons pas à l'autruche...
Ce message est pour ceux qui vivent dans la lucidité de la réalité extérieure, ceux qui savent plein de choses sans les mettre en pratique, watch out. Soyez plus rusés. 

La mise en pratique des facultés extrasensorielles telles que la claire voyance, le claire senti, la claire audience, télépathie, reiki ou travail des énergies, des chakras, des polarités, du point zéro, de la méditation, de la manifestation des demandes, de la connexion au SOI, de l'alimentation vivante, des pratiques physiques comme le yoga, le tai chi et j'en passe... permet d'intégrer la connaissance, de les faire sienne. Nous sommes appelés à les développer afin de faciliter la transition des mondes. Soyez simplement vigilent à ne pas suivre un enseignement autre que celui qui vient ouvrir votre coeur. 

Il est fou de penser que malgré les démons que nous portons en nous, on va nous laisser en paix. Ça ne fonctionne pas comme ça.
Même si on se cache derrière un tronc d'arbre, ces forces sont bien plus avancées qu'on ne le pense. On vous a vu, n'ayez crainte. L'inconscient par exemple, emmagasine l'information avant le petit conscient. Il réagit donc avant le conscient aussi. Alors même si on fait mine de ne pas les voir ou d'y faire face... ils sont en nous ! et ce sont quand même eux qui auront le dernier mot. Nous projetons hors de nous-même ce à quoi notre inconscient vibre. 

Un ménage de fond doit se faire.
Et c'est là que le principe de VOLONTÉ prend tout son sens. Nous nous engageons chacun personnellement à notre propre métamorphose, personne ne viendra vous chercher, sortez de l'attente, et s'il faut gratter un tunnel et traverser des égouts comme l'a fait Andy Dufresne dans le film "A l'ombre de Shawshank", hey bien, faisons-le. Nous retiendrons ici que la foi dans un tel voyage doit rester inébranlable. On atteint notre but en focalisant dessus, peu importe ce qui arrive. 

Il faut se lever, prendre position dans sa pensée d'abord, s'opposer aux programmes asservissants de l'astral, aux prisons qui maintiennent le mental dans l'involution, aux conditionnements sociétaires qui nous surstimulent, arrêter d'avoir peur de l'illusion ou de polariser au niveau du corps émotionnel, et se laisser guider au service de notre voix intérieure, de ce que nous sommes fondamentalement.

Un beau programme de vie nouvelle qui demande de l'effort, je sais. Mais c'est comme d'apprendre à faire de la bicyclette, après un moment, ça se fait tout seul. 

Lady isabelle xx

7.5.23

Notre regard

 

Quand je regarde ma vie, j'ai parfois l'impression d'en avoir vécu 4 plutôt qu'une. Je vois l'ampleur des projets que j'ai mené à terme, et pour lesquels j'ai persévéré, et je me rend compte qu'il y en a effectivement beaucoup.
Comme plusieurs d'entre vous j'imagine que, dans certains domaines, j'aurai accompli beaucoup de choses alors que dans d'autres, je suis encore à pas de bébé.
Par exemple, n'ayant pas eue la chance d'avoir une famille à moi, tout ce temps dédié m'est revenu. Je suis passé à côté de bien des activités familiales traditionnelles, bien des évènements qui participent à la création de souvenirs. J'aurais pu développer des compétences différentes puisque je ne sais même pas comment tenir un bébé dans mes bras. Par contre, j'ai vu naître des tas d'animaux, chiens, chats, chevaux, oiseaux, lapins dont j'ai pris soin. J'ai été mère par intérim d'une multitude d'adolescentes abandonnées par leurs parents. J'ai été gardienne, enseignante, soignante, accompagnante. En fin de compte, j'ai eu mille enfants !
Idem pour la vie de couple que je n'ai pas choisi, puisque j'ai pratiquement passé ma vie en célibataire. Encore une fois, si j'avais mis mon attention sur cet aspect de ma vie, je serais surement devenu une pro de la vie à deux !
Est ce que j'ai des regrets ? Non, bien entendu !
J'ai vécu ma vie comme je la voulais.
Je ne suis pas non plus une personne de "gang".
J'ai besoin de délicatesse, de vérité, de profondeur, de calme, de silence. Il n'y a aucun bruit chez moi mis à part le souffle de ma propre respiration. J'aime m'entendre réfléchir.
Lorsque je suis en groupe, j'ai l'impression d'être dans un stand d'autos tamponneuses. Vous voyez l'image ? Je me sens comme un outsider, à la recherche d'une fréquence qu'il semble impossible de syntoniser.
J'aime les rencontres "one on one", profonde et vraie, où chacun se raconte, écoute, sachant que l'autre est là pour soi, et où il y a une proximité intuitive d'âmes qui se touchent l'une l'autre.
Je suis toujours intègre et vraie. Mes amitiés sont sincères.
Je suis une bonne amie pour quiconque souhaite vraiment me connaître, mais je ne sais pas comment jouer aux devinettes.
Ces amitiés sont ma famille, ce sont mes âmes sœurs, et chacun sait qu'au terme des missions que nous nous sommes donnés les unes envers les autres, arrive un temps où nos chemins se séparent.
Les séparations sont toujours dures à surmonter, c'est un deuil à faire incluant les mêmes étapes. Quelqu'un qui nous a aimé profondément, et qu'on a aimé en retour, une personne à qui on doit souhaiter bonne vie malgré l'envie de la serrer contre soi, de la porter des années encore en son cœur, la fin d'un contrat d'âme, c'est une autre façon d'aimer.
On se réjouie pour l'autre, lui redonnant sa liberté, célébrant ce que nous avons capté d'elle et gardé en notre champ morphique... et on entretien par conséquent des pensées florissantes à son sujet. En même temps, tout en étant dans la gratitude, on peut dire au revoir aux souvenirs qui ne sont rien d'autres que des engrammes, des dossiers qui nous retiennent au passé.
Ce sont des choses que l'on ne nous apprend pas, dont on ne connaît jamais l'issue à l'avance.
Ne dit-on pas que chacun vient sur terre pour se dépasser lui-même ?
D'ailleurs en ces termes évolutifs, plusieurs confrontent dans ces évènements leur blessure de rejet, d'abandon, d'injustice... pour apprendre à lâcher-prise ou à pardonner alors qu'il n'y a rien à lâcher ou pardonner.
Nous sommes appelé à réapprendre ce qu'est le détachement ; cet état d'amour de celui qui contemple la vie, et se sait créateur. Il ne peut y avoir ni blessure ni jugement puisque son regard est témoin d'une œuvre majestueuse qui provient de l'alignement de son propre esprit.
Laissons entrer la lumière en nos cœurs. Rien ne nous appartient.
Lady Isabelle xx

4.5.23

La noblesse


Malgré l’intonation que peut prendre ce mot aux oreilles de certains, il n’empêche que la noblesse présuppose l’élévation. Mais l’élévation de quoi me direz-vous ?

À travers l’histoire, nous avons associé la noblesse à une classe de la société dite privilégiée. Non seulement avaient-ils la fortune et les titres entre les mains, mais les nobles possédaient supposément une qualité transmise par le sang que les autres n’avaient pas.
Aujourd’hui, nous pouvons réaliser facilement qu’il n’en est rien, et que par-delà les siècles, c’est la fourberie qui continue de définir ces gens qui se croient favorisés. En vérité, ils ont fait le contraire de ce que la noblesse oblige, en répandant la noirceur, la séparation et la mort partout autour d’eux.
Pourquoi les a-t-on cru ?
Parce que l’être humain est ainsi rabaissé à l’état du pauvre pêcheur par l'Église. Il ne maitrise pas ses bas instincts et se laisse facilement manipulés par la culpabilité, pour ensuite demander pardon à une institution soi-disant près de Dieu, mais qui sert les nobles.
De la sorte, on a largement abusé de la crédulité des peuples, et ça continue encore aujourd’hui avec d’autres moyens tout aussi perfides et hypocrites.
La seule chose que nous devons retenir de la vraie noblesse, c’est celle du cœur, soit d’élever nos sentiments au-delà du point de bascule qui divise et d'accueillir ce que nous sommes dans une excellence morale : la justice, la persévérance, la miséricorde, la tempérance, la charité, la bienveillance, l’honnêteté, la prudence et le courage. Et comme le citait La Rochefoucauld ; J’ai les sentiments vertueux, les inclinations belles, et une si forte envie d’être tout à fait honnête, que mes amis ne sauraient me faire un plus grand plaisir que de m’avertir sincèrement de mes défauts.
Bonne journée 😉
Lady Isabelle xx

3.5.23

Les éveils

 


Je me permet de mettre ce mot au pluriel car nous ne cessons jamais de nous éveiller.
On s'éveille lorsqu'on prend conscience d'une partie de soi.
On s'éveille, quand on harmonise nos polarités, quand on reconnait ses patterns et qu'on réussit à en sortir, ou quand quelque chose d'inconscient, de refoulé, remonte à la conscience.
L'éveil c'est comme les pelures d'un oignon.
On enlève une couche à la fois.
Au début, on a l'impression d'avoir "enfin" trouver réponse à tout.
On s'émerveille alors de la grandeur de notre conscience, alors que ce n'est que le point de départ du retour chez soi.
Puis au fil du temps, d'une couche après l'autre en moins, lorsqu'on se retrouve de plus en plus près du centre, c'est alors qu'on commence vraiment à voir à quel point on ne sait rien...
L'entonnoir s'ouvre tellement grand sur l'infini qu'on choisit de lâcher prise, et de s'abandonner à sa guidance intérieure.
Dès lors, le temps de s'amuser comme un enfant résonne, et on part à la découverte, explorer l'éternité.
L'éveil à sa nature véritable qu'est-ce que c'est ?
La nature de son âme ? de son esprit ? de sa conscience ? de sa spiritualité ? de l'amour ?
Pour le savoir, rien de mieux que de s'éveiller encore et encore !
Lady Isabelle xx

29.4.23

Le soleil se lève

 

La fausse matrice qui s'illusionne de pouvoir faire ce qu'elle veut en fabriquant le consentement suit le courant comme n’importe quoi d’autres, et terminera sa course en emportant avec elle les âmes qui se nourrissent de ses fantasmes.
Il n'y aura pas de sauvetage comme plusieurs le croient, non, car la vie suit son cours. Une fin de cycle reste une fin de cycle et personne n’a le pouvoir de l’arrêter, de la même manière qu'on ne peut retenir le soleil qui se lève.
Nous assistons à la mort d'une civilisation qui a perdu ses repères depuis longtemps.
Une civilisation qui s’est laissé voiler la vue, parasiter les pensées, inverser son mode de vie au profit du pouvoir et de l’argent.
Aujourd'hui on s'acharne à transformer le mensonge en vérité, à inventer une science qui ne se base sur rien, à nous faire oublier les genres, les contacts, les bonnes manières, à nous faire vivre sur des fondements artificiels.
Demain, victime de confusion et de souffrance d’être autant inversés, les individus accepteront volontiers qu’on transforme leur intégrité et verront dans cette action un salut, une délivrance.
Il est vrai que les villes intelligentes ressembleront à Blade Runner dans l’agenda mondialiste, et que la destruction de l’homme par l’IA nous fera penser à Mad Max.
Et alors…
Laissons ces fous continuer de croire qu’ils peuvent changer le courant d’une rivière, et accordons-nous ce temps toi et moi, pour se reconnecter avec ce que nous sommes fondamentalement.
Il est vrai aussi que pour préserver le vivant et accueillir le renouveau d’un cycle de lumière, nous serons appelés à nous délester de l'ancien, de ce qui ne vibre pas à toi, l’artificiel, l’illusion. On ne peut souhaiter vivre en dehors de la matrice et en même temps, continuer d’en profiter.
À un moment donné, il faudra faire un choix.
Alors ou vas-tu poser ton regard ?
Sur le phénomène de destruction et de mort qui se déroule actuellement ?
Est-ce que cela te fascine à ce point de voir les entités nécrophages manger ce qui reste d’un monde cadavérique ?
Ou sur le réel, sur le permanent, sur ce qui est et a toujours été par-delà les chimères, ce sur quoi tu poses tes pieds tous les jours sans en être tout à fait conscient ; la terre, TA terre, qui se marie à l'eau et à l'air que tu respire en ton feu intérieur.
Bonne journée 🙂
Lady Isabelle xx

16.4.23

Les spirales


 Oui certains sont conscients de ce qui se passe vraiment.

Et bienheureux sont-ils d'avoir ouvert leur conscience depuis plusieurs années. Je suis contente de savoir qu'on est nombreux.
Et pour ne pas créer plus de chaos ici-bas, sachons vibrer dans la spirale ascendante des émotions ; l'amour étant bien sur la plus élevée des fréquences et la peur, la plus basse.
C'est pourquoi, oui nous avons des droits humains et c'est à nous de les défendre. Et en même temps que l'on travaille par des actions concrètes sur le plan matériel, on doit également le faire au niveau du plan astral, en éloignant le parasitage par l'augmentation de nos fréquences vibratoires.
N'oubliez jamais qui vous êtes en réalité.
Lady Isabelle xx

14.4.23

Le défi du siècle

 

Vivre dans une matrice ou nous ne nous reconnaissons plus,
c'est le défi que nous avons à vivre en cette fin de cycle.
Malgré toutes ces inepties qu'on nous impose jour après jour, et qui nous éloigne de notre être, de notre évolution suprême, nous sommes tout de même appelés à rester bien ancrer à la terre.
On a envie de partir, oh oui... de changer de dimension.
Quelques uns se demandent encore plus qu'avant ce qu'ils font toujours ici ? Quand tout cela va finir.
Parfois, moi aussi j'ai envie de partir, sans savoir ou aller.
Alors, je me sens comme si ma vie était un entre deux.
Mais entre deux quoi ?
On connais bien comment fonctionner dans cette matrice 3D qui nous pollue la conscience, et dans l'espace intérieur, nous sommes aspirés dans une toute autre histoire ou le mode d'emploi n'est pas fourni. On doit tout redécouvrir, tout développer, et l'inspiration ne vient pas toujours, puis au fil du temps l'énergie nous pèse.
Sans nécessairement qu'il y ait une rébellion en soi-même, car bien des gens ont déjà fait leur ménage, reste que nous nous trouvons devant assez de détachement pour vouloir intentionnellement quitter ce monde, mais pas assez pour réellement faire la transition. Dès lors, comme bien d'autres, j'ai l'impression parfois de faire mon temps. Comme bien d'autres, je suis consciente de l'inversion, sans savoir comment sortir de cette prison virtuelle, superficielle, qui n'est certes pas la mienne, mais qui fait que mon corps a besoin de manger ou d'avoir un toit sur la tête.
Comme Ghandi, nous tentons de trouver le chemin de la paix intérieure sans jamais nous laisser distraire.
Rien que cela représente un défi imposant.
Comme la chenille, nous nous abandonnons à l'inconnu, à la mort en quelque sorte, sans savoir qu'un jour, nous deviendrons nous aussi des papillons. Vivement que nous rêvons tous de ce jour avec la joie au cœur. Vous en pensez quoi !
Tout cela nous invite à la bienveillance envers soi, à s'accueillir dans ce que nous vivons, à accepter de devoir continuer la course dans ce monde inadapté pour arriver à vivre AU TRAVERS au lieu de vivre ENTRE DEUX... puis de nous abandonner au processus pour éventuellement nous transformer et revivre sous une autre forme, dans une conscience élargie, dans une dimension d'amour.
Bonne journée
Lady Isabelle xx

Âmes mémorielles et programmations

  Non seulement les programmations sont-elles acquises à partir du jour un de notre existence, mais dans le mémoriel de l’âme, certaines pro...