20.12.22

La forme parfaite

On doit connaître ses forces et ses limites et ne jamais s'épuiser. Quiconque dépasse sa nature en paiera les conséquences. - Lao Tseu

J'irais plus en amont en disant que nous avons une forme originelle, le corps éthérique, qui représente l'épanouissement du plan qui est le nôtre, et qui restera intact par-delà cette incarnation si on arrive à transcender la 3D. Notre but sur terre est d'atteindre notre plein potentiel ici et maintenant, de s'abandonner à ce que l'on est fondamentalement sans s'imposer des filtres.
Les plantes le font, les animaux aussi, pourquoi pas nous.
Je me souviens d'une expérience faite par le passé ou j'ai vu, compris et senti la place qu'occupait mon mental ego à l'intérieur de mon champ de forme. C'était minuscule cette place, très limité comparativement à ce qui semblait être ma vraie forme. Durant un instant, j'ai eu le vertige...
J'ai eu peur de l'immensité de mon être tout en doutant qu'un jour j'arrive à occuper toute cette place qui était mienne.
Mais plus j'avance en me choisissant ; en choisissant ce qui vibre à moi et en délaissant, sans avoir de culpabilité, ce qui ne me correspond pas, je me sens de plus en plus moi-même. J'accepte les limites de ma forme, ce qui me permet de mieux la définir et de mieux l'occuper. Car il est vrai que lorsqu'on va contre nature, lorsqu'on se laisse définir par la société, par d'autres yeux que les nôtres, la vie devient comme une montagne russe.
Un corps incarné à l'extérieur de sa forme est lourd à porter.
Il attire à lui des évènements négatifs pour permettre à sa conscience de s'aligner, de retrouver son centre, mais peu de gens écoutent vraiment.
Lady Isabelle xx



22.11.22

WALTER

 WALTER

J'ai rencontré Walter, il y a 12 ans, alors que j'habitais Rosemère.
Un homme de quatre fois vingt ans et quelques années. Il vivait comme un itinérant, trainant ici et là dans le stationnement des centres commerciaux, sinon à la bibliothèque. À chaque fois qu'il me voyait, il déposait un bonbon mal emballé à côté de moi. C'était sa façon à lui de m'aborder.

De fil en aiguille, Walter prenait la place que je lui accordais. Son histoire me touchait beaucoup. Il vivait seul dans une maison de riche à quelques rues de la bibliothèque. Une superbe maison en façade, qui ressemblait à un taudis lorsqu'on s'y approchait tellement les lieux étaient insalubres et dangereux. Mais Walter était orgueilleux, et il ne voulait personne chez lui, pas d'aide. Ça l'insultait.

C'était la chasse gardé concernant son mode de vie, car il savait bien ce qui risquait de lui arriver si la société le prenait en charge. Il finirait dans un CHSLD, c'est sûr, dans des normes qui n'étaient pas les siennes, et il ne voulait pas ça. Sa liberté passait avant tout.
J'ai respecté ses choix comme je respecte les gens en général. Je comprenais bien qu'il était plus heureux dans ses affaires, malgré son état.

En fait, il buvait.
Walter buvait beaucoup. Trop de whisky à tous les jours. Il commençait sa journée de bonne humeur et la terminait généralement dans l'agressivité. Je l'avais d'ailleurs appris à mes dépends à deux reprises, sans jamais le prendre personnel.
Alors j'étais là pour lui dans les moments où sa conscience était en force, et je le laissais vivre sa souffrance tout seul quand il ne voulait plus être disponible. Son histoire, je la connaissais par cœur. C'est la même histoire que bien des gens, la même souffrance, la même couleur. 

C'était un homme fortuné qui s'était fait plumé par son associé de l'époque. Avait-il encore de l'argent ? Je ne saurais le dire tellement il s'était abandonné lui-même. Il ne s'était pas pardonné sa naiveté je crois, lui qui se considérait comme étant un homme intelligent. 
Il disait qu'il "jouait" encore à la bourse, et les jours où on se voyait amicalement, il téléphonait à quelqu'un pour l'engueuler "son broker" qu'il disait, en me prenant comme témoin. Il attendait toujours une grosse somme d'argent qui n'arrivait jamais.

J'ai voyagé Walter en voiture d'un endroit à l'autre, pour lui permettre de faire ses commissions, d'aller à la banque, de poster ses trucs ou d'aller les chercher. Je lui ai tenu compagnie en m'essayant sur sa véranda pourri, à regarder un jardin qui avait dû être beau un jour en faisant semblant de ne pas m'en apercevoir. 
C'est alors qu'il m'avait parlé de son fils, le seul qu'il avait, qui vivait loin en Colombie Britannique, et de sa femme, qui l'avait laissé tombé pour un autre.

Walter ne voulait pas qu'on ait pitié de lui.
Au contraire, il avait de la fierté, chose que j'ai d'ailleurs toujours valorisé. Je lui ai donné cette considération qu'il n'avait plus, du temps, de la reconnaissance. Puis je suis partie vivre ailleurs, et nous nous sommes perdus de vue. Quelques années plus tard, j'ai vu sa maison à vendre. L'annonce disait que le prix était en fonction du fait qu'il y avait eu un suicide à l'intérieur. Ça m'a attristé de l'apprendre, et en même temps je me suis dit : R.I.P. Walter. J'ai été vraiment honorée de vous avoir connu.
J'espère maintenant que vous êtes heureux.

Lady Isabelle xx



21.11.22

Histoire du domaine


Blackwood se trouve au sommet des douces collines du côté ouest/sud de la pittoresque vallée de la Clyde, à l'endroit où la rivière Nethan descend dans la vallée escarpée pour rejoindre la rivière Clyde. 

A proximité se trouve le château de Craignethan, où Marie, reine d' Écosse, est restée pendant son voyage vers le sud pour être jugée et exécutée par Elizabeth I d' Angleterre.

Situés sur la route principale au sud de Glasgow à Carlisle, Kirkmuirhill et Blackwood ont tous deux bénéficié du trafic, bien que le plus gros employeur de cette zone en grande partie rurale au XVIIIe et au début du XIXe siècle aurait été le domaine de Blackwood. 

Blackwood était (sans doute) à l'origine le cousin agricole d'autres villages locaux, où l'extraction du charbon était l'industrie dominante. Le domaine de Blackwood fournissait du travail agricole aux familles locales. Le domaine de Blackwood, siège du déversoir de Veres depuis le XIIIe siècle, après le Hope-Veres, était le domaine le plus étendu de la paroisse de Lesmahagow et selon certains le plus grand domaine du comté de Lanark.

Isabelle Burns

Gilbert Burns , frère du poète avait été l'intendant des terres à Blackwood avant de déménager à Morham Mains dans l'East Lothian. En 1810, John Begg, époux de la plus jeune sœur de Robert Burns, Isabella Burns, devint l'intendant des terres du député James Hope Vere sur son domaine de Blackwood. 

Le 24 avril 1813, après presque trois ans à Blackwood, John a rencontré sa mort quand son cheval s'est cabré et est tombé sur lui, l'écrasant à mort. Il revenait de son voyage régulier au marché de Lesmahagow sur un cheval qu'on lui avait demandé de monter parce qu'il était devenu hargneux par manque d'exercice. Isabelle est restée veuve avec neuf enfants âgés de trois à dix-huit ans. Pendant un certain temps, M. James Hope Vere lui versa une petite subvention annuelle, mais pour joindre les deux bouts, elle ouvrit une école pour dames à Kirkmuirhill qu'elle dirigea pendant quatre ans avant de déménager à Ormiston.

Désormais, le domaine de Blackwood appartient à Native Woods Preservation Ltd qui participe à sa conservation, notamment à la forêt du Lochwood.
Ce domaine était le plus étendu dans la paroisse de Lesmahagow et pour certains, représente le plus grand domaine dans le comté de Lanark.

Plus récemment, un roman du Saint Graal a été inspiré par le village de Blackwood. Basé sur une histoire vraie qui suit les descendants de la lignée sacrée de France en 1066 jusqu'au South Lanarkshire, où le trésor du Graal serait enterré.

L'origine des titres


Le titre de Lady tient son origine dans l’ancien droit écossais et est un titre de « corporeal hereditament » (une propriété héréditaire en lien direct avec la possession de terres). Le titre ne peut être acheté ou vendu sans le terrain, contrairement au titre Lord britannique qui suit le titulaire, même si ce dernier vend ses biens ou déménage. Toutefois, le titre Lady de Blackwood peut être héréditaire et vendu avec la terre.

Le titre de Lord ou Lady de Blackwood est l’un des titres les plus remarquables et  connus en Écosse. Il existe depuis l’époque médiévale, et dans les années 1500-1600, le domaine de Blackwood était une baronnerie féodale. Les Blackwood ont marqué l’histoire écossaise et font partie de la culture populaire écossaise, et le domaine de Blackwood est leur terre natale depuis des centaines d’années. 

Le domaine de Blackwood était fier d’être autrefois connu comme le plus grand domaine dans le Lanarkshire et fut la résidence de l’éminente famille Weir/Vere, et cela de l’époque médiévale jusqu’aux années 1930. 

Lord Thomas Macaulay, grand historien spécialisé de l’ère victorienne, appelle cette famille « la lignée la plus longue et la plus illustre de la noblesse que l’Angleterre ait connue ». Les Veres étaient d’origine française et de lignée mérovingienne. 


J'avoue

J'avoue que la vie est tellement plus facile quand on ne se la complique pas.

Pour cela on s'abandonne à elle, à sa guidance, à la simplicité, sans se poser trop de questions.

On sait déjà ce qu'il y a à savoir.
On observe en conscience sans nécessairement faire de choix ou s'identifier.
...et dès lors, on passe ses journées à remercier pour cette capacité que nous avons de créer notre monde.



1.11.22

Polarités

 

- 1 + 1 = Point zéro
Deux polarités indivises qui co-existent ensemble en une force pure non matérialisée. Le 11 dans le tarot.
Chaque fois que nous polarisons dans le positif ou dans le négatif, nous créons, materialisons une réalité dans la dualité 3D.
Chaque fois que nous ramenons volontairement une polarité au point zéro, nous rendons à la source comme à nous même, notre potentiel de création. Nous sommes dès lors le mouvement en lui-même, et l'intelligence prend vie à travers les manifestations de l'esprit divin en nous.
Par exemple : un chasseur devant sa proie voit devant la bête le scénario qu'il a lui-même créer avec les débris qui noircissent sa conscience. Il polarise et offre un jugement (Bien ou mal) dans une réalité qui se veut matricielle. Mais s'il regarde bien... au-delà de la dualité, il verra l'amour... le fondement universel de toutes vies. Il verra son amour à lui vivre et rayonner au travers la bête, au travers toute la création car IL EST cette création, IL EST ce monde !
Il posera son fusil puisqu'il ne peut se tuer lui-même.
Toute action future dans la Terre Nouvelle sera appelée à vivre selon les principes même de l'esprit de la source ; la volonté, l'intelligence, et l'amour.
Bienveillance
Lady Isabelle xx

30.10.22

Page 91


Être inconscient, c’est le contraire d’être conscient. C’est l’envers du décor de ce que nous croyons savoir de nous-mêmes ou de la vie. Pourtant, tout est là. Tout ce qu’on a besoin de savoir sur nous-mêmes pour démanteler un blocage d’énergie par exemple, se trouve dans cette banque d’information nommé l'inconscient. Il n’y a qu’à demander.

On reconnaît une personne en éveil de conscience lorsqu’elle utilise de façon volontaire l’ensemble de ces modes de fonctionnements automatiques, en sachant bien sûr, en éliminer les facettes grossières, débilitantes ou limitantes, et en utilisant au mieux et en sublimant les apprentissages de vie, vecteurs d’une existence plus intelligente. En mots plus simples, lorsqu'elle apprend à programmer elle-même ses mécanismes inconscients.
Être Conscient veut donc dire, d’avoir cette connaissance de quoi nous sommes faits par rapport aux différents plans de l’être, notamment du mental, mais aussi du corps physique. Et plus précisément, de conscientiser qu’une partie de ce moi conscient, doit apprendre à communiquer avec les plans inférieurs selon leur langage respectif. Une communication fine, appelée ; multiniveaux.
Extrait : Dans le chas de l'aiguille. Lady Isabelle De Blackwood

26.10.22

Ne rien prendre personnel

 N'oublie jamais que la méchanceté gratuite n'est qu'une façon comme une autre de déverser sur l'autre ses propres souffrances.

Ne le prends pas personnel !
Le mieux est de s'écarter temporairement de ce chemin qui ne t'appartient pas pour ne pas te trouver au mauvais endroit au mauvais moment.
La souffrance humaine existe de façon exponentielle dans notre monde, et ce, peu importe l'âge. C'est d'ailleurs son revers que tu vois, que tu vis depuis 3 ans au travers les gens qui tentent de l'exorciser en étant au service du mal. Ils ont donné leur pouvoir à des égrégores qui les manipulent. C'est triste quand on y pense et c'est plus proche que tu penses.
Un être mal-aimé deviendra frustré et méchant. Il produira des enfants qui hériteront de son bagage et qui seront frustrés et méchants à leur tour. À cette époque de grande noirceur, les cœurs sont fermés. L'agressivité est reine. L'expression de la souffrance se multiplie ainsi depuis trop longtemps à travers les siècles.
Quelles attitudes peux-tu avoir pour changer cela ?
Te détacher. Ce que vivent les autres ne t'appartient pas.
Aies de la compassion pour eux, à distance, mais ne devient pas une victime en tentant de les sauver.
Tu n'as rien à prouver en agissant comme ça.
Ce n'est pas de tes affaires.
Préoccupe toi de ce qui nourrit ton cœur, ton âme.
Demande à être centré et aligné dans ton rayon à toi !
Et si cette méchanceté vient de ta propre décontenance, fais amande honorable auprès des gens que tu as blessé.
Bon mercredi

25.10.22

Mourir à la conscience

 

Mourir à la conscience individuelle et renaître à la conscience de l'Unité ; de soi à soi. Un beau programme en perspective que peu de gens sont prêts à intégrer maintenant dans cette vie-ci.
Oui mourir et renaître dans la même incarnation, sans passer par la mort physique ; Oh le rêve !
Quand on y pense, tout cela semble si simple. C'est le propre du possible, et en même temps, je vous entends tous me dire ; oui moi...🙋‍♀️ je le veux.
Et pourtant, la simplicité de cette mission envisagée à partir du point de vue de l'esprit, s'effondre lorsqu'il entre en contact avec celui de l'ego. Qui plus est, la majorité des gens ont une définition très partielle de ce qu'est l'ego, ce qui implique aussi que le travail est partiellement fait.
C'est la mort du personnage illusoire certes, mais ce personnage est tout ce que vous connaissez de vous-mêmes. En d'autres mots, aussi bien dire que vous mourrez à ce que vous êtes, point à la ligne, à toutes ces choses que vous avez choisis volontairement ou involontairement d'intégrer pour vous définir dans le moi ; que ce soit l'astrologie, le corps physique, les qualités et défauts, les compétences et talents, les rôles, les réussites et échecs ; tout quoi.
Être bienveillant envers soi-même, c'est de respecter d'abord son rythme intérieur. Un jour on y sera, il n'y a pas de doutes, mais on ira un jour à la fois, et c'est ok comme ça.
On s'accueille dans ce que l'on vit sans toutefois devenir un fuyant.
Tant et aussi longtemps qu'on n'est pas prêt à mourir radicalement, on ira d'un pas à la fois, un jour à la fois.
Nous pouvons vivre l'aventure humaine de la façon dont on le souhaite.
Ce sera toujours ok.
L'Esprit n'a pas de cerveau !
Alors tant que l'ego est présent, et tant qu'on en est conscient, on peut lui demander de respecter nos besoins ici dans la matière.
Bonne semaine !

24.10.22

La pluie et le beau temps

Dans votre tête, dans votre cœur, dans votre corps, est-ce qu'il pleut ou il fait beau ?

🥰
Un petit oiseau est venu se posé sur le bord de ma fenêtre il y a quelques secondes.
J'étais sur mon ordi, absorbée, en train de travailler.
Du coup, il m'a permis de me détacher les yeux du monde virtuel pour reprendre connaissance avec la vraie vie.
Et je réalise que ce sont ces interactions avec le réel qui nous donne la chance de transmuter de notre tête à notre corps en laissant au passage, dans notre cœur, une mémoire qui grandit et qui ne s'efface pas.
Merci petit oiseau d'une beauté fabuleuse.
Tu as déposé ton parfum, tu as allumé mon cœur, tu as embelli ma journée.😘
Dans ma vie. il fait beau quand je me sens vivante !

22.10.22

Espérer

 

L'espérance est un mot magnifique lorsqu'on le marie à l'action.
Ne soyez pas de ceux qui espère une vie meilleure, avoir une santé meilleure, ou un(e) partenaire amoureux tout en se gardant les bras croisés. L'attente ne génère que de l'attente, alors que l'action fait bouger les choses.
Peu importe de quoi elle est faite, l'action vous fera toujours avancer, apprendre, vous améliorer..
De l'énergie qui bouge, c'est de l'énergie qui vit.
On ne sait pas ce qu'elle va générer en terme de résultat, mais on sait qu'elle va générer quelque chose. Ça c'est certain !
Et mieux vaut quelque chose que rien du tout. 😉

21.10.22

Le futur, on peut le voir à partir du présent

 


Et moi ce que je vois, ce ne sont que des bonnes nouvelles.

À priori, les systèmes anti-vie se dégradent dans un processus tout-à-fait naturel. Le cycle de destruction s’achève. Les consciences s’élèvent et délaissent de plus en plus les chaînes matricielles, et ceux qui n’arrivent pas à profiter de ce mouvement pour s’élever, disparaîtront tout simplement dans la récupération.
Tout ce qui ne vibre pas aux nouveaux courants de vie, ne survivra pas. De nouvelles structures vibratoires prennent place. C’est la fin du communisme, des agendas mondialistes qui ne pourront tenir bien longtemps encore sur des bases inversées qu’ils essaient de maintenir artificiellement.
La vie, la nature, le cosmos, c’est la base de notre monde.
Les éléments quant à eux seront toujours au-dessus des agendas de destruction et de contrôle. L'air est pure au-delà du voile des chemtrails.
La nature est intelligence, Elle transforme et recycle. Ce qui appartient à la terre renaîtra sous une forme plus claire, plus pure, et le feu effacera les traces non-organiques du monde précédent.
Rien de ce qu’ils ont à l’agenda ne tiendra la route plus d’un moment encore car le temps s’accélère.
Je vois une nouvelle race d’être naître, resurgir de l'ancien, plus blanche dans sa lumière, plus subtile dans sa composition.
Une confrérie, et non pas une communauté.
Des êtres égaux et complets en eux-mêmes, qui peuvent être seuls ou ensemble. Il n’y a pas de différence de couleur, de complexité de genres et le temps n’existe plus. Cette nouvelle race est consciente de ce qu’elle est, de ses facultés et fonctions, de son pouvoir, de son intelligence et de son interaction avec les flux d’énergie qu'elle maitrise bien. Elle est détachée des cendres du passé qui n’existe d’ailleurs plus dans aucune autre fréquence.

19.10.22

Page 79

 

Structurer sa conscience, c’est quelque chose qu’on arrive à faire après s’être engagé sur son chemin d’évolution et d’avoir repris en main la responsabilité complète et totale de sa propre existence ; soit 100% de la réalité qu’on projette.
Le fait d’impliquer la suprématie des forces aliens dans le processus d’élévation de la conscience humaine, réduit d’emblée sa souveraineté. On est souverain ou on ne l’est pas.
La conscience humaine porte en elle la capacité de dépasser ses programmations, et de transmuter les manifestations qu’elle ne contrôlait pas avant.
Avec la connaissance de soi et la maîtrise que cette connaissance implique, on apprend à intégrer nos polarités, plus spécialement à les harmoniser. Si on ne les intègre pas, ces énergies refoulées seront exclues de la personnalité primaire sans toutefois cesser d’exister. Elles parasiteront les pensées et les comportements et créeront malgré notre volonté, les conflits mondiaux que nous vivons à l’heure actuelle. Rien ne se perd.
En fait, ce que crée l’esprit pour faire évoluer la conscience doit être perçu sans y mettre de jugement et sans lui donner de direction précise par l’entremise de notre corps émotionnel. Les éléments qui se présentent à la conscience et qui, une fois accueillis dans notre champ, sans résistance, enrichissent l’expérience humaine. On peut soit les utiliser, soit les regarder passer. Les émotions quant à elles doivent être gérées pour et par l’intelligence du cœur puisque la plupart du temps, elles sont polarisées, et nous débalancent.
L'éveil qui permet d'atteindre le surmental est l’étape suivant l’intégration du mental et de l’ego. C’est d’abord la prise de conscience de l’illusion de la pensée subjective dont je parlais plus tôt, et des conséquences que cette pensée peut avoir sur l’expérience humaine qui finalement, n’en est pas une.
Cela représente le dépassement de cette pensée subjective jusqu’à un mode de compréhension et d’entendement dénudé d’attachements et de croyances ; de plus en plus réel.
C’est donc une ouverture nouvelle sur une forme d’intelligence qui nous invite à une conscience plus vaste et plus parfaite que l’on appelle le soi supérieur.
Cette étape permet à l’être humain de voir plus loin, et de façon plus claire dans son esprit. Bien que plusieurs personnes soient dans cette intelligence depuis le début de la fausse pandémie, reste qu’ils n’ont pas encore accepter la responsabilité de leur pensées et de leurs actions. Ils ne se voient pas eux-mêmes dans les parties d’ombres et ne se reconnaissent pas. Évidemment, cette attitude ne fait qu'amplifier la noirceur.
La conscience voyage.
Elle chute dans des courants chauds ou froids, blanc ou noir, et se recentre aléatoirement, car elle n’est pas suffisamment puissante pour se maintenir en fréquence et donner aux êtres humains une vision totale de ce qu’ils sont dans la multidimensionnalité.
La lumière de l’intelligence pure n’est pas encore arrivée jusqu’à eux et la raison en est bien simple ; cela les ferait disjoncter.
Pourtant, la lumière doit descendre dans la matière, et ce sera au rythme de chacun. C’est l’aboutissant du chemin d’évolution et de la fin de ce cycle d’enfermement.
Dans le chas de l'aiguille - Lady Isabelle

5.10.22

Page 77

 

Si je vous parle du supramental aujourd’hui, c’est que la conscience d’un plus grand nombre de gens s’est reliée à cette étape de l’intelligence. Ce n’est pas une majorité bien au contraire, mais cette minorité tend à vouloir dépasser le plan astral pour rejoindre un plan plus élevé de conscience.
Nous avons dépassé le plan ou l’âme est prisonnière de ses programmations et qu’elle s’est attribuée une mission.
Nous avons dépassé la croyance qu’on doit évoluer par la souffrance, et celle ou la culpabilité nous tient en otage.
Nous avons compris que cette partie de l’âme qui a chuté dans l’astral n’est qu’une structure mémorielle parasitée, qu’elle contient la plus belle version de nous-même ainsi que la plus laide puisqu’elle est faite de nos dualités.
Et que tout ce qui se situe au niveau du plan astral, que ce soit dans le haut ou dans le bas, Karmas, contrats d’âme, âmes sœurs, entités célestes ou démoniaques, ne sont que des pièges d’enfermement pour l’esprit en involution.
Le monde astral est le monde de la forme, des fractales, des entités issues de notre champ de conscience, qui ne sont que de l’énergie personnelle diffractée. Sa structure duelle est une condition essentielle pour manifester la vie au niveau matériel. Cependant, qu’on soit du côté des anges ou des démons, l’astral ne représente que la symbolique appartenant aux cartes mentales privées des individus ; leur programmation de base.
Ces mêmes cartes sont les assises nécessaires à l’émergence de la personnalité humaine.
Oui, car sans ego, nous ne serions pas ici dans un corps physique et vous ne seriez pas en train de me lire. L’ego étant l'extraordinaire filtre psychologique d’où nait notre personnalité.
Dans le chas de l'aiguille - Essai Lady Isabelle

Quand on projette sur ses enfants

Je vous raconterai cette histoire d’une dame qui est venue me rencontrer un jour. Son garçon était un enfant difficile, un caractère rétif, ...