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2.2.20

La nature profonde

Notre nature profonde est semblable à celle des animaux, puisque dans la conscience unifiée nous sommes tous le même être. Pourtant, ce qui nous différencie d’eux en ce qui a trait à cette mission de vie est le rapport que nous avons avec la vie même lors de notre arrivée sur terre.

Nous sommes parmi les êtres vivants qui nécessite de s’exclure d’un groupe ou d’une famille afin de s’individualiser. La définition de la personnalité d’un individu étant primordiale dans l’exploration de ce que sera sa mission de vie, et c’est très tard en général qu’elle nous sera dévoilée. 

Avant de se connecter à plus grand que soi, il nous faudra passer par maints essais et erreurs inhérentes à la vie. Il y aura des creux et des bosses. Il y aura aussi de ces virages à grandes vitesses qu’il nous faudra prendre et qui nous déstabilise. Il y aura des accidents, des chocs, et de la maladie.  

Et au bout du compte de cette sempiternelle recherche de plénitude, nous commencerons à épurer, à retourner à l’essentiel, à ce qui nous importe vraiment, à ce que nous avons toujours été mais qui nous a échappé.

Lady Isabelle
Ce que les chevaux m'ont appris

10.12.19

Extrait de la Thérapie humaniste

Il existe un plan parfait pour chacun de nous.  Le modèle parfait dont parle Platon. Il existe de ce modèle une image idéale, imprimée dans le plan de notre âme. Tout comme la pierre que nous polissons sans cesse, nous pouvons raffiner ce par quoi nous expérimentons la vie. Nous expérimentons l’amour comme un enfant, puis à l’adolescence l’amour revêt un nouveau nom. 

Les amours d’adolescences sont tellement intenses qu’à chaque fois on a l’impression de mourir un peu. On crois que jamais plus on aimera autant mais on vieillit et on aime encore. À 25 ans, nous aimons à nouveau, mais différemment. Nous avons appris un peu comment aimer, et les images que l’on connaît de l’amour sont dorénavant des images de fusions ou de déchirures, de hauts et de bas, comme si l’amour était une vague qui cahote sous l’influence du vent. 

Nous aimons à 30 ans. Mieux établis cette fois, nous aimons tout en construisant autre chose ailleurs. Ni le cœur, ni les pensées ne se suivent, toutefois nous aimons un peu plus de nous-mêmes. Puis à 40 ans, les remises en questions surviennent, les leçons que nous avons apprises de l’amour; l’amour de soi qui prime  de plus en plus sur l’amour de l’autre et ainsi va la vie vers la cinquantaine. 

La cinquantaine où l’amour prend encore un nouveau sens. L’amour de soi et l’amour des petits-enfants qui nous ramènent aux amours passés qu’il est temps maintenant de dépasser. Et chaque fois, à chaque âge c’est de l’amour qu’il s’agit. À 60, 70 et 80 ans, on aime encore. À chaque halte, nous nous sommes dit : Enfin je comprends ce que c’est l’amour, j’ai compris la leçon. Pourtant à chaque nouvelle arrivée nous comprenons encore mais d’une façon plus subtile, plus fine. 

L’amour grandit en raffinement dans notre conscience étape par étape parce que notre conscience s’ouvre doucement et permet cette ascension. C’est lors d’une pause, d’un moment de réflexion que nous pouvons prendre conscience de notre évolution, de ce qu’il y a derrière et du chemin que nous avons parcouru. Lorsque nous vivons l’amour, nous l’expérimentons sans l’analyser.

L’amour est un apprentissage et dans tout apprentissage, il y a des étapes. Si nous essayons de lire un livre russe sans avoir d’abord appris à en décortiquer l’alphabet, nous resterons bloqué dès la page couverture. Ainsi, nous pouvons croire savoir tout des choses et n’avoir effleuré que ce qui paraît en surface. Nous rejetons de cette manière un bon nombre d’enseignements. 

Lady Isabelle xo

7.12.19

Aujourd'hui

Aujourd'hui… est un commencement, rempli d'espoir et de promesse.
Aujourd'hui… est une si belle aventure qu'il nous est donné de vivre.

Mes amis(es), à chaque jour, nous avons cette possibilité de créer la vie à notre image, en étant conscients, heureux et fiers de nos choix, de nos pensées, de nos paroles, de nos gestes. 
Soyons plus responsables de nous-mêmes.

À chaque jour, nous pouvons ajouter de la valeur à ce qui est déjà là, et ainsi, bonifier, embellir, exalter, aimer, et laisser s'exprimer notre cœur de façon volontaire, comme il le souhaite vraiment, sans freins ni censures.
Vivons selon les élans de notre cœur.

Aujourd'hui oui… partons à la découverte des créations majestueuses issues du mariage de notre esprit et notre cœur. Ayons une intention audacieuse et forte, soyons une vibration bienveillante et joyeuse.

Bisous xx

2.12.19

L'histoire de la vie

L’histoire de la vie fait partie de notre ADN. On n’a pas à la chercher bien loin, elle est au fond de nous. Elle est ainsi transmise, de générations en générations, et doit constamment se réactualiser selon les contextes, les croyances ou les environnements présents. Nous l’expérimentons sans cesse au travers nos 5 sens sans toutefois mettre assez d’emphase sur le message qu’elle transporte ; la vie.
L’histoire de la vie se lit comme un livre, et le lecteur c’est vous et c’est moi. En vérité, nous sommes à la fois le lecteur et l’acteur car la traduction de la réalité projetée par notre esprit n’appartient qu’à celui qui imagine. Nous ne lisons jamais de la même manière puisque pour chacun, le traitement de l’information se fait différemment.
Bon lundi à tous
Lady Isabelle xo

1.12.19

Un peu plus haut

Un peu plus haut, un peu plus loin…

Certaines personnes vivent mieux lorsqu'elles sont seules. Je suis une de ces personnes. En fait, je suis quelqu’un qui a besoin de beaucoup d’espace autour de moi ; beaucoup d’air à respirer. L’espace pour moi, c’est la liberté de bouger. Je deviens libre d’occuper toute la place disponible, et en même temps, je trouve qu’il n’y en a jamais assez. C’est pareillement la création qui émerge du néant, ou la vision vaste et profonde du monde que je veux juste à moi. C’est la force à la fois physique et psychique de devenir tout ce que l’on a envie d’être au moment où on le choisit.

Comme la graine à l'origine de cet arbre particulier dont la destinée l'amenait à vivre loin de ses semblables, je suis là au milieu du champs, au beau milieu d’un étendu vide. Demandez-moi si j’aime ça ! Cet arbre, il est seul tout comme moi. Oui. Est-il malheureux ? Non. A dire vrai, il a bénéficié de toute la lumière nécessaire, de l’est à l’ouest, du nord au sud ! Il a été bénit de partout.

Les grands de ce monde se sont tous démarqués un peu de la même manière, en se sortant ainsi du lot. Sans vouloir me comparer à quiconque, et encore moins aux grands de ce monde, la solitude m’a quand même permis de vivre différemment, de sortir du moule ou plutôt, de n’y être jamais entré.
Elle m’a permis également de comprendre ce qu'est la notion de détachement pour ne m’être moi-même jamais vraiment attachée à qui que ce soit. Les gens passent sans jamais rester.

Elle m’a fait voir grand… notamment la souffrance humaine, et cela, dans toutes ses dimensions. Elle m’a incité à développer de la compréhension et de la compassion pour ceux qui se chamaillent le même petit bout de pain alors qu’ils ne voient pas qu’autour d’eux, il y en a plein d’autres.

La solitude ouverte me donne une vision à 360 degré. Elle me permet de voir loin, et d'avoir une vue sur la vie si haute et si immense que mes limites en sont toujours repoussées. Moins je fragmente les aléas de la vie, mieux je me sens. Car avoir le nez collé sur une seule chose dans ce monde matériel nous isole encore plus que de s’en détacher vraiment.

D'ailleurs, comment peut-on aider son prochain si toutes nos racines sont entremêlées ensemble. Quand la forêt brûle, elle ne laisse personne derrière.

On a besoin de modèles pour s'élever !
Extrait de Mots de l'âme
Lady Isabelle xo

30.11.19

La solitude


Les changements de saisons amènent avec eux leurs lots de tension dans nos vies. Plus le temps est froid, plus les gens rentrent à l'intérieur. Les activités se terminent plus tôt à cause de la noirceur, et la sédentarité prend facilement le relais. Avec elle souvent, s'installe un surplus de poids, un surplus de travail, un surplus de stress.
Dans le fond, c'est bien légitime de réagir peu importe la manière. On a tous envie d'être bien chez soi. C'est d'ailleurs ce que font nos amis les animaux lorsqu'ils accumulent des provisions en fonction de l'hiver. Ils prévoient les durs temps.
Comme on entre dans nos maisons, on entre aussi à l'intérieur de soi. On dispose de beaucoup plus de temps pour soi, pour réfléchir, voir les choses en face, s'observer et faire un bon bilan, et pour remettre en question nos décisions passées ; sont-elles toujours d'actualité ?
Ceux qui n'aiment pas leur propre compagnie n'ont pas vraiment envie de réfléchir ou de se remettre en question. Ils recherchent l'action, les distractions, les stimulations externes. Face à eux-mêmes, ils se sentent vides, abandonnés. Ils ont besoin que ça bouge pour se sentir vivants.
Ce sentiment d'être seul et abandonné perdure même quand ils sont avec les autres. Ça va jusqu'à parler pour faire du bruit ou pour attirer l'attention sur eux, mais les paroles s'envolent car on ne les écoute pas. On ne se sent pas uni, pas en lien, pas connecté avec eux et les réseaux sociaux nourrissent bien cette illusion.
La solitude est pourtant une manière fantastique d'apprendre à vivre avec soi-même, à se connaître vraiment, à définir ses besoins et comprendre comment y répondre en étant autonome. C'est un espace nécessaire qu'on est appelé à découvrir, un cadeau que l'on s'offre ; c'est la porte d'entrée vers un monde rempli de richesse.
Alors pour certains, la solitude est synonyme de tristesse ou de désespoir, et pour d'autres elle représente un réel salut.
Mais j'imagine que le meilleur se retrouve dans la nuance, en équilibre entre les deux, car on est bien avec les autres quand on est bien avec soi.
Lady Isabelle xo


Âmes mémorielles et programmations

  Non seulement les programmations sont-elles acquises à partir du jour un de notre existence, mais dans le mémoriel de l’âme, certaines pro...