26.8.16

Reflexion sur l'amour


Mes amis(es), l'amour qui existe vraiment se traduit dans le sentiment d'amour inconditionnel. Un amour détaché, ouvert, dans l'acceptance de l'autre, dans l'offrande d'un espace nécessaire pour -être-....

L'amour que nous vivons en couple n'a de l'amour que le nom dans la majorité des cas. Sans l'amour inconditionnel, il n'est qu'une façon de se reconnaître dans la polarité que nous incarnons, et de cheminer à la découverte de soi vers sa propre complétude. 
Avec l'amour inconditionnel en cadeau, il devient une plateforme pour développer des vertus telle que la tolérance, la compassion, ou le don de soi.

La communion physique vécue à l'intérieur de l'amour, celle qui élève les êtres vers une dimension plus spirituelle, apprivoise le corps comme un canal puissant de création... et de guérison. On parle alors de guérison physique, psychique, énergétique à grande échelle. L'amour ne s'arrête pas à soi.

Bon vendredi mes amis(es) xx

24.8.16

NOTRE RESPONSABILITE FACE A LA VIE


Plus on chemine plus on purifie nos canaux et plus on devient empathe tout en ayant conscience que rien n'est séparé. Tout est énergie oui. Une énergie baignant dans un même champ magnétique.

Il ne faut jamais prendre les informations que l'on reçoit d'un point de vue trop personnel ... faire le tri entre ce qui nous appartient et ce qui ne nous appartient pas... traiter ce qui nous appartient le plus objectivement possible et constater qu'o...n peux apporter une différence pour les autres en se guérissant soi-même. Voilà où se situe notre responsabilité.

L'amour inconditionnel est un amour de guérison. On na pas besoin de se protéger des autres parce qu'on est empathe, on n'a qu'a les aimer comme on voudrais l'être.
Moi et l'univers ne formons qu'un !
Bon mercredi xx

22.8.16

Augmentez vos standards

AUGMENTEZ VOS STANDARDS...
Certaines personnes vivent mieux lorsqu'elles sont seules.. comme la graine a l'origine de cet arbre dont la destinée l'amenait à vivre loin de ses semblables. Il a pourtant bénéficié de toute la lumière !

Les grands de ce monde se sont tous démarqués de la même manière. La solitude leur a permis de vivre différemment, de comprendre ce qu'est la notion de détachement, la souffrance humaine, la compassion, et d'avoir une vision plus vaste et moins fragmenté des aléas de la vie. Leur action est devenue par la suite, mieux ciblée et pleine de sens.

D'ailleurs, comment peut-on aider son prochain si nos racines sont entremêlées ensemble. Quand la forêt brûle, elle ne laisse souvent personne derrière.

On a besoin de modèles pour s'élever !
Bon lundi à tous xx


18.8.16

Il n'y a pas de fin

IL N'Y A PAS DE FIN...
La vie est constitué de cycles dans lesquels nous évoluons. En vérité mes amis (es), nous vibrons dans le magnétisme de l'Univers en tournant sans cesse sur nous-mêmes comme le fait une toupie... et rien ne bouge au delà de cette vibration.

La fin d'un cycle est donc une étape saine mue par la vie. Une étape qui se doit de passer par la mort pour se transformer. La vie prendra un nouveau visage pour nous accompagner, afin de nous amener nous aussi à mourir un autre jour. La meilleure attitude à avoir vis-à-vis de la fin ou de la mort est de remercier ceux qui partent, ce qui meurt pour cette contribution importante qu'ils ont apportés dans nos vies... quelle qu'elle soit.

Chaque personne nous a fait grandir.
Chaque fois plus qu'hier et moins que demain.

Bon jeudi à tous xx


17.8.16

CRÉER DES LIENS

CRÉER DES LIENS
N'y a t-il rien de plus beau que de pouvoir se serrer la main et s'entendre. D'accepter que les gens soient comme ils sont sans que cela vienne tergiverser avec notre propre vibration, nos motivations profondes.
C'est là que le "Vivre et laisser vivre" nait et regagne son fondement premier... lorsqu'on est sans attente aucune envers la vie.

Mes amis (es), soyez dans la neutralité et le non jugement vis à vis des autres; puis moduler votre énergie pour que vos rencontres deviennent des partages égaux et heureux.
Je te vois... xx

4.8.16

EYWA



J'ai rencontré EYWA au tournant d'un chemin, sans grands éclats, et sans attentes. En fait, on m'en avait parlé déjà, et présenté comme étant une essence d’arbre spéciale qui portait en lui un message très précis pour chacun. Je l'ai donc approché, à la fois curieuse et en ouverture… à l'écoute de ce qu'il était.

Ce jour-là, quand j'ai touché son tronc, la première chose qu’il m'a partagé fut son grand âge. J'ai senti son cœur battre, sa vulnérabilité au niveau de ses structures, la porosité de sa peau, un peu comme la dormance en hiver qui fait que la sève quitte les extrémités et regagne le centre. Il était comme ça… nu… avec un immense besoin de partager. Ça m’a fait penser à la vieillesse, a la mort. On ne veut pas être oublié parce qu’on a tant donné de nous-mêmes a la vie, et en même temps EYWA savait, oui il savait que c’est en donnant ainsi qu’on poursuit son chemin au travers des autres. Ce jour-là, il m'a donc transmis une douce image de qui il était aujourd'hui, sans artifice, intègre et vrai.

Vous savez ce que représente un tel bagage. 100 ans c’est déjà beaucoup me direz-vous, mais quand on parle de plusieurs centaines d’années, 200, voir 300 ans peut-être, on peut facilement imaginer qu’il a vu grandir des générations d’hommes et de femmes et qu’il a su rester droit malgré les années. Il a vécu tous les intempéries, protégé des petits êtres sous ses branches, abrité des nids d’oiseaux, vu se réjouir des jeunes d’écureuils s’enrouler dans ses branches. Il a été heureux.

J'ai vu... sa jeunesse... et le vieillard qu’il est devenu…
J'ai senti à quel point il avait aimé participer à l'histoire, à la vie...
J'ai compris qu'en me montrant des brèches de son passé, il me racontait son histoire à sa façon. Il n’y avait rien à ajouter, car son partage n’avait d’égale que la complétude de son être qui rayonnait autour de lui tel un halo plus bleu encore. Ce grand maître m'a dit, avec toute la sagesse qui l’habite, qu'il ne fallait que vibrer selon ce que nous étions fondamentalement plutôt que d'essayer de vouloir changer quoi que ce soit de ce qui se passait tout autour de nous.

- Regarde… me répéta-t-il plusieurs fois, et soit toi-même dans ton cœur. Aime ce qui est là. Ait de la gratitude pour chaque vie qui a croisé ta route jusqu’ici et pour chaque autre qui la grandira.

Isabelle Pitre

1.8.16

Une coach en vacance / Jour 4

Le jogging du matin est un temps que j'utilise pour réfléchir et trouver mes idées. Ma pensée vagabonde et en même temps, mon corps court de lui-même... si bien que je n'ai jamais l'impression d'avoir fait un effort.

Ce matin, je pensais à une expérience que j'ai vécu il y a quelque temps à l'annonce du départ d'une connaissance. C'était l'impression que ma vision de l'avenir était une autoroute sans fin, une ligne bien droite et sans aucun obstacle.

Or ce matin, au retour, j'entrevois justement cette autoroute devant moi. Je suis sur un Boulevard vide, sauf bien sûr qu'il y a des arbres, des maisons, des courbes qui m'empêche de tout voir en même temps. Et je me met à songer que pour une fourmi, les obstacles doivent être permanents du aux aspérités du sol. En fait, plus on est collé au sol (dans la matière), plus les obstacles sont présents. Si je m'élève au dessus du mont St-Hilaire par exemple, déjà ma vision est plus vaste, je vois plus loin. Et si je monte encore plus haut, en avion, voilà que le chemin sur lequel j'étais tout-à-l'heure devient droit et libre de tout obstacles !!

Morale de l'histoire, pratiquez vous à changer votre cadre de vision lorsque les évènements vous paraissent lourds ou compacts. A un niveau plus élevé, il n'existe que des solutions !
Bon lundi mes amis (es) xx



UNITÉ

  Le principe de responsabilité universelle implique un niveau de conscience qu'on peut toutefois apprendre à développer. Ce n'est p...