29.5.17

Le courage

Qu'est ce que le courage?

C'est ce qui te permet de gagner ta propre course.
C'est aussi ce qui te donne assez de maitrise de toi-même pour persévérer là ou les autres abandonnent.
Le courage avec lequel tu vis détermine ton propre niveau de satisfaction. Il te permet surtout, d'accomplir les petits et les grands succès de ta vie !



3.5.17

Devenir grand

Il y a des semaines, des mois, et dans certains cas des années, où les idées foisonnent comme les fruits d'une bonne récolte. Les objectifs sont les peut-être mêmes, mais la rectitude elle, se veut plus présente.

Comme un arbre qui se solidifie au départ en faisant ses racines, toute la vie nous sommes à la recherche de lumière. Lui, pointe sa cime tout droit vers le ciel, et nous, c'est souvent notre carapace qui épaissit.

Oui cet arbre grandit dans la conscience qu'il a de lui-même et dans la joie que lui procure le fait d'être vivant, aligné tout simplement dans sa mission de vie.

Je suis là aujourd'hui, dans ce genre d'énergie pure remplie de promesses, et je rend grâce à la fois de ma position et de ma vie.

23.4.17

DE QUOI PARLE LE LIVRE ?

On m'a demandé à plusieurs reprises si le livre CE QUE LES CHEVAUX M'ONT APPRIS pour développer une qualité d'être.. parlait de l'éthologie. Et bien NON. C'est un livre de croissance personnelle, qui se sert de quelques expériences passées avec les chevaux pour illustrer des concepts comme LE DON DE SOI, L'AMOUR INCONDITIONNEL, L'INTER-RELATION ENTRE LE VIVANT, dans des niveaux de consciences plus élevées.

En fait, lorsque l'on croit pouvoir apprendre quoi que ce soit à un cheval qui, énergétiquement parlant est beaucoup plus près que nous de sa vraie nature, et bien on est à côté de la track... comme on le dit en bon Québécois. On a beaucoup plus besoin d'eux pour apprendre sur nous-mêmes qu'ils ont besoin de nous.

L'humain n'a de reste d'ouvrir sa conscience à la perfection de l'Univers et de cesser de penser qu'il peut tout contrôler, tout transformer selon son mode de traitement de la réalité. La seule chose qui soit en notre pouvoir... est ce qui part de nous, c'est-à-dire nos états internes, nos pensées, notre amour qui transcende par delà l'ego. À lire...


27.2.17

Editorial de Mars / Réseau des accompagnants en fin de vie


En fin de semaine dernière dans le journal de Montréal, Denise Bombardier faisait état de la loi 52 sur l’aide à mourir. Elle affirmait qu’au Québec, il s’agit là du consensus le plus large débattu à propos de droits humains comme si la mort était ce qui nous réunit le plus.

Le projet de loi sur l’euthanasie au Québec, projet de loi 52 que l’on nomme aussi – Aide médicale à mourir - vise essentiellement à faire de l’euthanasie une « question de santé » et donc une affaire provinciale. De ce fait, cette loi contourne ainsi l’interdiction de l’euthanasie et du suicide assisté par un médecin, contenue dans le Code criminel du Canada. 

On comprendra qu’il s’agit ici d’une forme d’expression détournée, d’un langage qui se veut trompeur et qui dirige l’attention du public dans un bassin si vague d’informations incomplètes qu’il s’y perd. Pourtant, on nous doit à tout le moins une explication plus substantive et honnête de ce qui est en jeu, ou peut-être est-ce que l’on doit s’y engager soi-même.

Lorsque les médecins en soins palliatifs menacent de démissionner à cause du projet de loi 52, cela porte fortement à croire que l’« aide médicale à mourir » suscite qu’on prenne le temps, beaucoup plus de temps, pour l’approfondir davantage.
Comment voit-on cela aujourd’hui, à peine quelques mois après l’adoption de la loi 52 ? Déjà pour certains, on voit la mort comme une affaire classé et c’est tellement dommage. Encore une fois, nous donnons à nos élus trop de pouvoir en ce qui a trait aux décisions qu'il nous appartient de prendre face à notre rapport à la vie, à celles de nos proches, ou à toute la dimension relationnelle. On oublie alors de pousser plus loin notre réflexion, et en l’absence de ce regard plus profond envers l’autre, en l’absence de présence, d’accueil ou de compassion, nous devenons proactifs d’un discours qui n’est pas le nôtre et derrière lequel on se cache malgré que n’en comprenne ni la portée, ni le sens.

Pour tout être vivant, la mort est une réalité inéluctable ; la vie s'achèvera tôt ou tard par un arrêt définitif de l’expérience humaine. Cet aspect de l'existence, ce passage si on veut, est un des défis les plus difficiles que la vie nous propose, car nul n’en revient vivant.
La mort peut effectivement sembler totalement désespérante et absurde à quiconque refuse d'y faire face ou de l'assumer complètement. Mais pour ceux et celles qui parviennent à accepter vraiment cette réalité, c'est au contraire toute la valeur de la vie qui s’ouvre ; dans toute sa contenance enfin, toute sa beauté, son infinité.

D'ailleurs, les personnes qui se sont donnés volontairement la chance ou l’opportunité d’accompagner la fin de vie, en sont revenues pour la plupart, avec des expériences riches de sens. Sans contredit, elles ont pratiquement toutes le même discours ; à savoir que c’est en côtoyant la mort que la vie prend tout son sens. On en vient alors à sentir de façon presque tangible, toute la valeur de la vie dans ses mains, dans sa voix, dans son expression, son émotion.

Alors, si nous pouvons développer dans ce petit bout de vie une relation intègre et vraie, avec soi-même comme avec les autres, même dans la douleur, c’est qu’on réapprendra vraiment à faire de la place au présent, aux valeurs humaines d’accueil et de partage. Ce sont nos relations interpersonnelles, et du coup notre vie toute entière, qui s’en trouvera changée.

Isabelle Pitre, Présidente du Réseau des accompagnants en fin de vie

Sources :
Les Québécois et la mort, Denise Bombardier
Le projet de loi sur l’euthanasie au Québec, projet de loi 52, Vie-Canada

21.2.17

Ce que les chevaux m'ont appris...

Les gens passent...
Vois-les, reconnais-les, bénis-les
Car c'est la vie qui te parle à travers eux...
Comprends son amour !




http://cequeleschevaux.blogspot.com

9.2.17

L'autre jour

Il y a quelques jours, je suis allé dans une de mes boutiques préférées. C'est une brocante, êtes-vous surpris ? 

Le proprio de la boutique achète des successions et des entrepôts personnels laissés vacants. Son employée, une dame de 80 ans... qui reste seule dans ce fourbi toute la journée. En fait, elle travaille 7 jours semaine - de midi à 18h.

Malgré ses vieilles mains un peu tordues, elle tri les nouveaux arrivages, place la marchandise, vend et enveloppe les paquets, se souviens de la majorité des prix et du moment où les choses sont arrivée, d'où elles viennent et qui les a acheté. C'est un exemple à suivre.

J'adore cette dame ; ce qu'elle dégage.
Parfois je me surprend à y aller uniquement pour elle, parce que je m'ennuie. Je vous dis ça et en vérité, j'y vais toujours juste pour elle. J'en prends conscience en l'écrivant.

Elle me parle de son fils qui a des difficultés, de son mari qui est mort chez lui et qu'elle a accompagné même si ils étaient divorcés depuis longtemps. Elle me pose aussi des questions sur moi, et je lui raconte mes trucs. 

Enfin, j'achète quelque chose même quand il n'y a vraiment rien dont je n'ai besoin, car ce sont des objets qui la représente elle, et dont je me souviendrai comme d'un moment que nous avons passé ensemble. De ce geste, je participe à cette action qui nous permet d'apprécier quelqu'un pour ensuite lui donné ce sentiment d'être utile, d'être vivant.

Quand je lui demande ; vous êtes pas fatiguée de faire ça ?
Elle me répond : Oh que Non, ça m'occupe. Je ne veux pas finir dans un endroit ou les vieux (c'est elle qui le dit) font des activités plates et jouent au bingo.

À méditer, vraiment.
Le monde est rempli de ces gens merveilleux qui ne demandent rien, mais qui au final, sont tout !



UNITÉ

  Le principe de responsabilité universelle implique un niveau de conscience qu'on peut toutefois apprendre à développer. Ce n'est p...