2.7.22

Dépendance quand tu nous tiens

 


La dépendance affective... comment passer à côté quand des milliards de personnes se confondent dedans. Tous les jours, on entend des témoignages en ce sens. D’abord, disons que peu de gens ont connu une enfance heureuse. Toi et moi, on a tous eu des parents carencés, qui avaient non seulement leur lacune, mais qui suivaient, exactement de la même manière que toi, le modèle conditionné de l’amour en 3D.
Encore en 2022, on ne comprend pas nos besoins. On ne sait pas les écouter ou leur donner du crédit. Peut-être que toi tu es à l’écoute de ce que dit ton corps mais j’en doute. Tu as peut-être compris que tes émotions sont un indicateur de travail, mais si tes comportements disent le contraire de ce que tu penses, de ce que tu veux, hé bien c’est signe que le tout n’est ni enligné, ni juste pour toi, ni intelligent.
La venue d’internet nous a déconnecté du réel. On sait qu’aujourd’hui les relations amoureuses sont jetables. On ne sait plus comment les définir, encore moins les vivre, et bientôt, on ne saura même plus ce que c’est.
De plus, avec la venue des communautés LGBTQRST, on ne saura même plus qui on est. Alors on invente des problèmes qui n’existent pas. On en fait des descriptions scientifiques qui deviennent des croyances et des maladies dans lesquelles les gens embarquent et se définissent. Moi je suis comme ceci ou comme cela. Yééééé... Qu’on aime donc ça avoir une étiquette !
Cette chère étiquette n’améliorera pas les carences affectives dont tu es peut-être victime puisqu’on s’écarte du sujet principal. Encore une fois, quelqu’un met un plasteur sur un bobo qu’on n’a pas le courage de regarder en face. En parallèle, ces manques que l’on qualifie souvent de « vide intérieur » deviennent pour plusieurs des maladies, physiques ou mentales, que l’on traite comment ? avec des pilules bien sûr. De la sorte, on endort le corps, on déconnecte le système neuronal et par conséquent, son précieux message évolutif disparaît.
La dépendance affective engendre toutes sortes d’autres dépendances ; la dépendance à l’alcool, au sexe, à la cigarette, au sucre, à la nourriture ou à la drogue. Pourtant le geste demeure le même. C’est une forme d’autodestruction inconsciente, un trou sans fond d’une tristesse sans borne. Puis quand on y pense, on comprend que l’origine reste la même.
Dans le 0-6 ans, nous avons une période où la construction de plusieurs scénarios de vie se crée. Ces scénarios se basent sur des essais comportementaux issues des différentes soifs existentielles de l’enfant, notamment les besoins de reconnaissance, de structure ou de stimulation, et le parrainage négatif ou positif ou l’absence de parrainage des parents. Cet enfant continue de vivre en toi, et si tu n’as pas pris le temps de lui donner de l'attention, de la comprendre et de faire les mises à jour de tes programmes comportementaux, ils vont non seulement perdurer dans le temps, mais devenir ce que tu connais d’eux aujourd’hui ; envahissants. Ils vont te posséder l’esprit.
Aujourd’hui, avec ce que l’on connaît de l’évolution humaine, il n’y a plus de raison de demeurer dans ces programmations appartenant à la matrice. L’être humain est assez évolué en conscience pour développer son intelligence affective et s’éloigner, s’extirper des souffrances que génèrent ces comportements carencés.
Cependant pour y arriver, il faut un minimum de volonté. Cette volonté qui pousse l’être humain à vouloir changer. Pas au moyen d’un transfert de dépendance, non. En allant directement dans la souffrance afin de la comprendre, d’apprendre à l’aimer, et l’éradiquer. C’est le chemin le moins fréquenté, mais c'est le seul qui vaille.
Lady Isabelle xx

17.12.21

La guerre du bien et du mal

 LA GUERRE DU BIEN ET DU MAL


Dans le processus de dégradation qui mène à la mort en général, il y a différents cycles que l'on reconnait bien si on a pris le temps de les observer. Dans la nature, rien qu'en observant les saisons, on est à même de réaliser ce que ces cycles comportent. La mort cellulaire en est un autre bon exemple puisqu'on peut peut la diviser en cycles : l'apoptose, l'autophagie et la nécrose. Bref, il en va de même avec tout ce qui existe sur terre.
La décomposition des corps, qu'ils soient denses, mentaux, organisationnels, systémiques ou énergétiques comportent approximativement les mêmes propriétés. Si bien qu'à l'apparition par exemple des bactéries sarcophages, on peut penser que non seulement il n'y a plus de retour en arrière, mais bien une transformation qui s'immisce vers une nouvelle forme de vie.
Il en va de même pour ce que nous sommes en train de vivre. Que l'on dise qu'il s'agit ici de guerre du bien et du mal, et voilà qu'on se trompe car malheureusement personne ne va gagner. Le bien et le mal ne sont qu'une seule et même chose qui répond aux structures et aux lois du monde de la forme. Ils sont parties prenantes des processus normaux d'une restructuration de la conscience, un changement de contenance tout-à-fait naturel qui fait suite à la putréfaction des corps.
Ce n'est jamais agréable j'avoue de faire face à la mort quelle qu'elle soit. Cela demande un détachement profond à la forme.
La mort d'une illusion, de systèmes. d'habitudes, de croyances, de gouvernances fait partie de la vie. C'est l'étape finale du cycle descendant, et ces principes-là sont les fondements même des Lois cosmiques dans lesquels nous pouvons voir l'infinité et l'éternité de ce que nous sommes.
La terminaison du cycle actuel nous montre bien le fond du baril. La merde est là, le corrompu, la putréfaction. Bien des situations en font foi. Il ne faut pas rester figé sur cette idée de perte d'un monde qu'on ne veut plus. Nous sommes plutôt appelés à lâcher-prise sachant que forcément un cycle ascensionnel se trouve à être la suite logique des choses.
L'esprit n'a pas de limites à l'expérience qu'il peut nous faire vivre.
Souvenons-nous que l'esprit n'est nul autre que nous-même à un niveau réalisé.
Être en contact avec SOI nous rassure en tant qu'ego, que la transition se fera sereinement... car personne n'a dit que l'ego devait se soustraire de l'équation. Au contraire, il fait partie des structures même de la verticalité et c'est grâce à son éveil, ses éveils devrais-je dire, qu'il s'harmonise et a soif de grandir.
Lady Isabelle xx

29.11.21

Maman la source


Pendant une longue période de ma vie, ma mère a été la personne que j'ai le plus aimé au monde. Je crois que je l’aimais plus qu’elle ne s’aimait elle-même.

À cette époque, je la protégeais en répondant à ses attentes de mère. Je lui obéissais comme une petite fille modèle pour lui enlever la lourdeur des tâches quotidienne qu’elle n’avait pas toujours choisit de faire. J’étais beaucoup à l’écoute et au-devant de ses besoins ; tout cela je pense, pour lui plaire.
Probablement que la plupart d’entre vous avez vécu quelque chose de significatif avec votre maman puisqu'il s'agit ici d'un lien assez particulier ; le lien maternel. La mienne, je l’ai aimé à m’oublier, essayant tant bien que mal, et avec la compréhension d’un enfant, de recevoir un minimum de retour dans toute cette manifestation. Mais ça n’est jamais arrivé.
Heureusement que cet état de chose a changé avec la maturité car je suis devenue cette personne pour moi-même. Ça aura pris du temps vous me direz, un long cheminement, beaucoup d’amour propre, autant de compréhension, et avec l’accueil et l’acceptation, j’y suis parvenue.
Vous savez, je me suis rendu compte avec les années, qu'enfant je n'avais jamais aimé ma mère pour ce qu'elle était vraiment, mais pour ce que je voulais qu'elle soit pour moi, dans ma pensée et dans mon cœur. Ma mère jonglait avec ses propres démons et n’en parlait à personne. C’était son choix de vie, ce qu’elle avait appris à faire. Elle jetait ainsi toutes les choses déplaisantes dans le tiroir d’en arrière et faisait toujours comme si de rien n’était.
Je ressentais ses tourments, et rattachées à eux, je voyais les réponses. Oui déjà, dans ma petite tête d’enfant, des solutions je ne voyais que ça. Je voulais tellement aider… mais aider parfois c’est aussi se taire et accepter qu’il en soit ainsi. Je souhaitais avoir une maman guérit alors qu’elle apprenait les leçons de la vie, qu’elle évoluait au travers son mal-être, si toutefois il y en avait un, à son rythme à elle. Je me suis alors détachée.
Notre façon d'aimer se calcule souvent ainsi, en fonction de notre vision du monde, de nos propres besoins. Cela va de soi lorsqu'on est un enfant, mais à l'âge adulte, notre rapport à l'autre doit se transformer en quelque chose de plus humain et de plus altruiste.
Nous devenons autonomes alors que l'amour véritable se conçoit dans l'accueil, dans le lâcher prise et dans l'acceptation.
Aimer, c'est offrir à l'autre un espace à occuper, lui faire de la place, le reconnaitre dans ce qu'il est, sans le juger, sans avoir d’attentes. Mais pour espérer prendre soin de ceux que l’on aime, il faut d’abord et avant tout avoir appris à s’aimer soi. Je l’ai appris à mes dépens.
- C’est en effet par le détachement que j’ai appris à m’aimer maman au fil des années. J’ai commencé par me détacher d’un lien négatif que j’alimentais à sens unique de façon bien inconsciente.
Il s’agissait probablement d’un attachement puissant qui se composait soit de nos blessures communes, soit de mon désir de réussir à tous prix dans l’image que je me faisais de toi et moi au détour de la réalité. Et dans le fond, rien de tout cela n’avait à voir avec la mission véritable de l’amour.
Je me suis dit que pour t’aimer vraiment, j’avais moi aussi besoin de trouver ma place, et de te laisser la tienne, toi qui la criait depuis si longtemps. Voilà ce que j’ai fait au moment même où tu m’as dit : - si tu as besoin de t’en aller ailleurs pour retrouver qui tu es et te permettre d’être, alors vas-y.
Cela en a-t-il valu toute la peine ou tous le chagrin qui en a découlé par la suite, je ne saurais l’affirmer.
Par contre, j'ai découvert grâce au détachement que notre matrice est bien plus grande encore que le lien physique d’une mère ou d’un père. C’est la structure sacrée de notre Moi véritable, et de tout ce qui y vit.
Avant même de naître, nous étions. Avant d’incarner ce corps physique, nous sommes et nous serons toujours cette essence, même dans l’après. Nous respirons dans l’expérience humaine comme le fait un poisson dans l’eau alors que toutes les dimensions deviennent possibles pour nous dans un seul et même temps.
Nous puisons sans cesse à même l’arbre de vie puisque nous sommes à la fois la graine, l’arbre et les fruits.
J’ai reconnu ma mère plus tard, cette matrice innommable et sans fin, et lui ai dit :
- Tout est là en toi maman ; mes apprentissages, les leçons de la vie, les fois où je suis tombé, et celles où je me suis relevé. Tout y est ; l’appel de mon cœur, et la réponse d’une matrice aimante qui m’enveloppe complètement et me submerge.
Au-delà de l'abondance et des manques, tu as su comment me soigner et me guérir. Je te dois tout.
Tu connais mes plus profonds désirs comme mes plus grands tourments et tu es là, à attendre patiemment que je me manifeste à toi dans l’abstraction de mon être, afin d’ouvrir ta main et me la tendre à nouveau. Tu es là, et sans cesse tu m’accueille dans ce que je partage au quotidien.
Sans me juger, tu me laisse être. Tu me donnes cette place qui est la mienne. Tu me donnes toute la place que je veux bien prendre.
Sans intervenir, tu me laisse libre dans mes choix, libre d’avancer comme bon me semble et je t’en suis reconnaissante.
Tu me donne tous les espoirs, toute la passion nécessaire pour me permettre de créer moi aussi la réalité naissante de mon monde imaginaire. J’essaie d’être comme toi, à ton image, pour être à même moi aussi d’atteindre toute la perfection de l’amour que tu transportes en toi. Maman la vraie… qui es-tu donc finalement ?
Je te vois en chacun de nous, en moi comme en la parole que j’utilise maintenant pour acheminer ton existence à l’intérieur de chaque possibilité.
C’est l’évidence que je te connais depuis toujours. Toutefois, pour maîtriser ton énergie et laisser ton amour entrer en moi, il a fallu d'abord me reconnaître dans ma souffrance et apprendre à l’aimer.
Cela sans renier l'existence des parties sensibles qui m’habitaient et qui restaient en suspens dans l’air, dans l’attente simple de pouvoir elles aussi exister. Toutes ces choses que tu as créés finalement portent en elles leurs propres perfections.
Ah, que j’aurais aimé comprendre le sens de ton amour dès le départ, mais je conçois que j’avais à passer par ce chemin pour arriver à parler ton langage. Celui-là même que tu utilises aujourd’hui pour me dire à quel point tu m’aime.
Je m’en souviendrai toujours…
Cette fois précise où je t’ai senti m’envahir, j’ai compris que tu allais demeurer en moi éternellement à condition que je garde la porte ouverte. Tu es le contenant de mon univers, ma matrice à moi. Tu es le pont subtil entre ma vie et ma mort qui en fin de compte ne sont qu’une seule et même chose ; toi.
Maman, ma toile de fond, assise sur tes ailes je m’ouvre à la beauté que tu m’inspires.
Lady Isabelle - Mots de l'âme Éditions ADA 2014

24.11.21

Nous sommes tous égaux

 NOUS SOMMES TOUS ÉGAUX


Voici une vérité qu'on ne peut remettre en question. Celui qui ne l'a pas encore accepté demeure bien enfermé dans son jugement.
Celui-là a besoin d'amour.
Bien qu'on soit tous égaux en ce qui concerne notre constitution humaine, il existe toutefois des niveaux dans la conscience qui nous donne l'illusion d'être séparés.
Le sommes-nous vraiment ?
Nous savons tous que même si on tire sur la tige d'une plante, elle ne poussera pas plus vite !
Le respect de la nature de chacun est donc de mise, car il ouvre notre cœur et nous place d'emblée dans l'harmonie et dans la paix.
Comprendre ces niveaux et s'accepter soi-même dans son cheminement facilite le transit des informations d'une dimension de soi à une autre. C'est ce qui s'appelle l'ouverture d'esprit qui éventuellement permet à la conscience de s'évaluer.
Critiquer autrui dans sa façon d'organiser sa pensée ou de comprendre son expérience humaine prouve sans contredit qu'on n'a soi-même que peu assimilé d'enseignement. On se les est approprié du point de vue théorique et mental, pour les classer par la suite quelque part au fond de son âme mémoriel, au lieu de les expérimenter, de les dépasser. Si bien qu'on accumule ainsi une quantité assez importante de pollution qu'on devra nettoyer afin de bien mener le processus en conscience.
Toutes les vérités existent, et en même temps, tout ce qui est partagé dans le champs morphique de la conscience unifiée est utile un jour à quelqu'un indépendamment d'où il se situe dans son cheminement. Nous n'avons pas à juger de cela.
Faire une prise de conscience n'est pas une finalité. Au contraire, c'est la reconnaissance d'une infime partie de soi ; le début d'un regard aimant posé sur soi-même, sur sa propre façon d'organiser sa réalité.
Ne jugeons point.
Tout est parfait !
Lady Isabelle xx

2.10.21

La philosophie aujourd'hui

La philosophie par le passé a tenté de répondre à certaines questions fondamentales tel que le sens de l'existence, la recherche de la vérité, la morale, l'éthique, la beauté, le langage, l'esprit.

Il existe des penseurs dont l'influence pour l'humanité a été si pertinente qu'elle a modifié, à un degré plus ou moins grand, la façon dont les sociétés évoluent.

Les penseurs d'aujourd'hui ont changé le sens fondamental de leur mission. Ils dénoncent alors que la vérité n'existe pas dans le monde ou nous vivons. Elle n'est que le fruit des polarités qui nous habitent. Et disons que des siècles de manipulation mentale nous a conduit directement là où nous sommes.

Vivement que l'on recommence à mettre l'accent sur la vertue et qu'on ensemence la terre de parcelles d'idées qui valorisent le développement de la conscience humaine, l'amour... Par exemple : la beauté qui émerge de la nature de l'homme  quand celui-ci préserve dans le respect et l'intelligence toutes formes de vie, ou l'art et les talents que chacun possède dont l'intention première est d'élever notre expérience. 

Nous savons que les valeurs humaines sont volontairement inversées depuis des lustres. La conscience est à l'inconscience, et cela doit changer par le principe de volonté. Il reste que c'est de notre devoir de renverser la vapeur et de remettre en place les valeurs que nous sommes venu incarner, et ce, au delà de toute subjectivité.

Bon week-end a tous

Lady Isabelle

29.9.21

Sortir du trou noir


Il est important de prendre conscience de nos programmations astrales, ainsi que de la polarité que nous mettons involontairement en action sur les courants involutifs avec lesquels on entre en conflit. Si ce n'est pas encore fait, je vous invite à poser une intention en ce sens.

Si la réalité est objective, c'est qu'elle EST tout simplement ; en dehors de toutes réalités d'individu. Les forces involutives sont des champs électromagnétiques qui voilent notre conscience, mais qui sont présents partout comme l'air qu'on respire. Quand nous ne les astralisons pas, ces forces passent en notre âme et nous ne les remarquons même pas. Lorsqu'elles tentent au contraire de nous influencer dans notre compréhension du monde, c'est que nous portons dans notre bagage mémoriel quelques aspects non résolus.
Les astraliser donc, c'est leur donner de l'attention ; c'est de générer en leur présence une forme de résistance alors que ce ne sont que des courants d'énergies. Cette résistance leur ouvre toute grande la porte de notre champ morphique. Dès lors, ils parasitent et manipulent notre espace, et jouent avec notre conscience, car c'est ce que ces structures savent le mieux faire.
Tantôt, elles entrent en résonnance avec les programmations de notre âme, celles dont on ne s'est pas encore affranchies. D'autres fois, elles créent des pièges de conscience dans lesquels nous tombons par manque de présence a soi, de vigilance ou de connaissance de ces structures. Ce qui a pour résultat l'apparition de réalités distortionnées sur lesquelles nous semblons nous coller durant un laps de temps.
Dans tous les cas, sachez qu'il ne s'agit que de courants d'énergies dans lesquels nous avons le choix d'avancer ou non dépendamment de notre positionnement intérieur.
Il faut spécifier aussi que ces forces noires se présentent toujours en amont de la lumière a partir de notre point de vue humain. Celle-ci (la lumière), n'éprouve pas la nécessité de forcer sa présence puisqu'elle précède toutes choses.
La lumière précède l'ombre...
L'esprit précède la matière...
La cause précède l'effet...
La matière est faite de lumière diffractée.
Cela signifie qu'il n'y aurait pas de plan matériel si les polarités n'existaient pas.
Le futur, c'est la dualité qui fusionne ; le masculin et le féminin qui célèbre leur union dans le monde de l'esprit. Cette fusion favorise la naissance d'une troisième énergie ; un canal. C’est la porte qui permet la descente de l'esprit dans la matière une bonne fois pour toute.
Alors... cette autorité que nous voyons se déployer à l'extérieur, que comporte t-elle exactement comme message ?
Elle nous force à comprendre que nous la portons tous intérieurement. C'est l'autorité qui nous positionne dans le non lorsqu'il est question d'énergie que nous ne souhaitons pas avoir. Celle qui nous inspire à préserver notre intégrité nonobstant les influences négatives, et de rire des tentatives puériles de ces champs identitaires qui s'amusent à nous hypnotiser.
Peu importe l'habit qu'elles prendront, les énergies de l'astral peuvent être transmutées. On peut les modeler comme de la pâte selon notre volonté, tant qu'on demeure en conscience de ce que l'on fait, dans l'intelligence et l'esprit d'unité !
Lady Isabelle xx

23.9.21

Déçu ?

 


La déception sera toujours présente en regard des choses qu'on ne contrôle pas. On est déçu lorsqu'on place nos attentes a l'extérieur, et que l'on croit que le changement viendra de ce qui est externe a soi. Cela nous place d'emblée dans une position de dépendance, et par extension, de victime.

Or, lorsqu'on se détache du triangle infernal, commence pour nous le retour a soi. Cette conscience d'être responsable de soi-même, et ce, dans une proportion de 100%.
Sommes-nous réellement présent dans notre incarnation, ou laissons-nous encore notre conscience fonctionner sur le pilote automatique ?
Se dégager, s'extirper de l'illusion implique qu'on soit connecté au savoir absolu. Sachant par exemple que tout est conçu par nous-mêmes, pour nous faire évoluer, certes. Mais attention ! Cela était fonction des structures et programmations astrales qui sont maintenant obsolètes.
Avant ça fonctionnait comme sur des roulettes la patente.
Maintenant que nous savons, nous sommes appelés a nous positionner dans l'autorité de notre être pour dire non au programmations qui tentent encore de nous infiltrer.
De la minute ou ces énergies se présentent dans notre champ aurique, nous avons le choix ; soit de les harmoniser avec la puissance de notre coeur pour les intégrer en soi, soit leur faire savoir carrément qu'ils n'ont plus d'emprise sur nous, et les transmuter dans un ailleurs lointain.
Les repères changent dans nos cartes mentales.
Suffisamment pour dire qu'on ne se maintien plus sur rien et que toute organisation basée sur ce qu'on connaissait dans l'ancien monde semble s'effondrer de plus en plus rapidement.
On ne bâtit rien avec du vent si on n'a pas appris a le maîtriser.
Et pour maîtriser le vent, nous devons connaître ce qu'il représente en nous-même.
Avec amour,
Lady Isabelle xx

La nature, source d'inspiration

J'ai toujours adoré ces petites cloches pour leur odeur particulièrement douce. Le muguet est une des premières fleurs du printemps. Une...