27.6.21

Se détacher de la matière

 


Nous sommes toujours là à créer quelque forme que ce soit sans nécessairement en avoir conscience. La présence à soi, à la fois dans l'esprit et dans son incarnation, et ce à chaque instant, demande le détachement complet de la matière sur laquelle nous posons notre regard.
De la minute où notre attention s'extériorise, nous ne sommes plus là où nous devons être. L'espace de création que nous venons tout juste d'abandonner représente l'endroit exact où nos deux polarités co-existent ensemble sans se neutraliser. Hors de l'astral.
C'est notre trône.
L'espace où se crée par un mariage heureux, une troisième énergie de pure lumière qui nous unit au tout et nous permet dès lors, d'exalter dans le diamant de la conscience.
En quelque part, nous voulons régner et habiter l'ensemble de notre royaume. Mais nous nous attachons vraisemblablement au monde physique, à nos rôles, oubliant souvent ce qu'est la réelle nature de la matérialité.
Le/La souverain(e) demeure présent(e) dans ce qu'il/elle est.
Il/elle connaît sa création puisqu'elle vient de lui, d'elle.
Il/elle n'a pas besoin de s'expérimenter.
Tout vient de son esprit.
Lady Isabelle xx
Photo ; Deviant Art

25.6.21

Tout est esprit



Au commencement, tout était moi, la lumière de moi-même, éclairante et libre, non liée à une quelconque forme physique.

Au début, oui. Tout ce que je connaissais était moi-même et le grand mystère au-delà de moi. Je ne m'étais pas exploré davantage. J'étais tout ce que je connaissais.
J'ai alors créé des aspects de moi-même avec lesquels je pouvais communiquer, partager, expérimenter encore et à l'infini, le grand mystère de la vie - l'ESPRIT.
Effectivement, rien n'est issu d'autre part.
Rien n'est séparé.
Tout cela est moi, dans l'esprit, dans toutes les facettes intelligentes du diamant de ma conscience ; qui luit, à la fois dans l'ombre ou dans la lumière éternelle sitôt qu'on en capte le rayon.
La verticalité, c'est de vivre à partir de l'esprit, une expérience humaine d'unité qui se veut n'être qu'une expérience parmi tant d'autres. Dans la densité matérielle, les consciences ne communiquent pas ensemble. Cependant, elles laissent des traces de leur passages, que l'on peut voir surgir à travers le temps, d'une vie à l'autre, d'une fréquence à une autre, comme des synchronicités.
Ce sont nos propres traces d'évolution, que l'on a semé soi-même, d'une brillance à une autre. Comme l'esprit est toujours le même, et que toi mon frère, ma soeur, tu es moi.
Il est prospérité, infinité, éternité.
Ainsi, il se multiplie à l'infini et se voit lui-même dans tout ce qu'il crée.
Lady Isabelle xx

24.6.21

Le principe féminin

 


c'est une histoire d'harmonie avant tout.
L'harmonie des ondes qui traversent notre champ aurique, et qui s'arrêtent un instant, attirées qu'elles sont par cet espace de beauté, de paix et de sagesse intérieure.
Il est possible d'être en harmonie avec soi avant tout, puis avec le cosmos tout entier et les énergies qui nous entourent, simplement en ouvrant notre coeur.
Être sans peur et sans restriction aucune car notre coeur grandit à chaque fois que nous sollicitons sa présence. Comme toute chose, Il réagit lui aussi aux Lois de la prospérité.
Encore et encore, il brille de sa puissante lumière.
Le principe féminin est cet amour inconditionnel que nous portons en nous-mêmes et qui, une fois bien saisi, nous permet d'accueillir toute âme dans le secret de son esprit, dans sa pureté.
Harmoniser, c'est cette acceptation de ce qui se présente à nous sans y mettre de couleur, sans se l'approprier. Cela implique que nous soyons dans la claire vision de ces parties, absolument uniques, qui sont trop souvent en manque d'amour. Le féminin les reconnait tel qu'elles sont, et par une intention puissante et tendre, réconforte, apaise, guérit.
L'amour crée la beauté, et cette énergie nous parle du tréfond de notre âme, à nous de l'entendre, de la laisser s'exprimer.
Elle nous dit : Soyons présent à nous-mêmes. Regardons ce monde comme s'il s'agissait de notre propre création.
Observons les êtres comme s'ils étaient tous nos enfants.
Aimons-les de tout notre coeur.
Lady Isabelle xx

14.6.21

Le bébé et l'unité

 LE BÉBÉ ET L'UNITÉ

Lorsqu’il arrive au monde, le bébé est dans une conscience d’unité. C’est son programme de base. La pureté de son corps divin a pour assise le plan originel. C’est assez facile à comprendre. Dans un temps relativement court, il se rend compte que ce qu’il ressent intrinsèquement n’est pas du tout la même chose que son parent le plus proche. Il tente pourtant de toute ses forces de s’identifier à cette source d’amour, à fusionner du mieux qu’il le peut avec elle, à son champ aurique, son énergie. Et plus il essaie, plus il perd sa connexion. La froideur qu’il reçoit en retour lui glace le sang. Le petit se sent alors isolé. Il pleure son âme et on lui répond de différentes manières en le gavant ou en lui donnant plus de confort, comme s’il était pris en défaut d’être lui-même dans un monde où il ne se reconnait pas. On le prend en pitié bien sûr. Quelle mère ne le ferait pas, croyant que la vulnérabilité dont il fait preuve partira avec le temps.
Et la souffrance ne part pas. Elle s’accentue. Elle atteindra son paroxysme avant qu’il ne prenne la décision de s’oublier lui-même pour survivre.
Nous ne reconnaissons pas qui nous sommes à la naissance, parce que le groupe auquel nous appartenons n’a pas non plus reconnu sa nature. Ce groupe d’individu qu’on appelle la société est inversé. Donc le nouveau-né transporte en lui toutes les mémoires du monde. Inversement, le message que ses parents lui renvoient, c’est qu’il a tort de s’en remettre à ce qu’il est, à ce qu’il sait. Et toute sa vie cet enfant-là devra combattre sa nature profonde tout comme d’autres l’on fait avant. Devenu un homme, il aura donné son pouvoir de choisir bien des fois, perdant en même temps son droit d’être ce qu’il est. Il aura remis en question sa guidance interne au détriment des gouvernements, ou de la religion. Il ne sera plus que l’ombre de lui-même. À dire vrai, à la fin de notre vie, plusieurs auront oublier volontairement pourquoi ils étaient ici, convaincus que le mal-être qui est présent dans leur corps était une norme et la conséquence d’une vie bien remplie.
Pour le bébé qu’on a été, on parle d’un acte d’abnégation où le renoncement de sa propre lumière, de ses facultés, de son pouvoir créateur. Il chute une fois de plus ressentant un vide de soi immense qu’il n’arrivera jamais à combler. Lui qui voyait la vie à partir des yeux de la source, se retrouve dans un hologramme inventé de toute pièce ou il devra se reconstruire dans le paraître un semblant d’identité basé sur des concepts qui sont complètement faux.
On a tous été ce bébé là
Lady Isabelle
Extrait ; Passage à vide, Essai



11.6.21

À propos des entités

 Il y a tellement d'informations qui voyagent sur la toile en ce moment sur les entités que j'avais envie d'apporter mon point.

Ce qui est dit souvent, c'est que ces entités ont un pouvoir sur notre mental et nous maintiennent prisonniers. Pour un non-conscient qui ne connait pas les mécanismes de la conscience, oui c'est bien possible. Nous avons tous été un jour ou l'autre manipulés. Mais pour les gens qui grandissent dans l'intelligence, ces concepts sont archaïques et obsolètes.
Pour avoir travailler des années avec des techniques comme le Voice Dialogue qui consiste justement à démanteler les parties obscures et reniées de l'être, je peux confirmer que rien, et je dis bien rien... n'est extérieur à soi.
Combien de fois on vous a dit que TOUT PART DE SOI... de la conscience ou de l'inconscience que nous avons de nous-même ?
La conscience est entourée de mécanismes et de structures que tous le monde peut apprendre à connaître et à maîtriser.
Que ce soit au niveau de l'inconscient individuel ou de l'inconscient collectif, de l'ego et la personnalité, de la conscience comme telle, des programmations de l'âme, des expérimentations de dimensions parallèles de l'esprit. c'est tout un monde à découvrir, et c'est ici que le pilier de la volonté est si important. On dédie sa vie à se connaître, là réside l'initiation dont les anciennes civilisations nous parlent. Connait-toi toi-même.
Cela dit, les entités qui "contrôlent" le monde astral, ne sont que des structures qui répondent aux messages vibratoires qu'on renvoient. Le niveau astral est le niveau où la forme prend vie. À ce stade précis, la forme peut n'être que fractale d'énergie. Elle deviendra un ange ou un démon, de la minute où notre conscience plonge dedans AVEC ce qui vibre en nous-mêmes ; c'est-à-dire, l'amalgame de croyances que nous véhiculons.
Plus il y a de consciences qui se concentre sur un aspect de la vie, plus ces formes deviennent ce qu'on appelle des entités. Elles demeurent dans le plan astral avec une force de présence plus soutenue, et si on y pense encore plus fort en tant que collectivité, on peut faire en sorte de la matérialiser. Par conséquent, moins il y a de consciences qui s'attellent à alimenter ces formes, moins elles existent.
L'être humain est lui-même l'avatar de son propre esprit. Nous vivons dans un monde inversé qui se tient en place à partir d'un ensemble de croyances. La réalité est structurée à partir de croyances dont on est appelés à s'affranchir dès lors qu'on comprend que nous sommes le créateur et que nous participons à toute la création, toujours, tous le temps.
Ces parties du soi qui représentent le "mal" sont des parties reniées au niveau de l'ego et de l'âme, auxquelles nous ne voulons pas faire face. Bien souvent, on les a condamnées sans les entendre, sans leur donner la chance de s'exprimer. Comprenez bien qu'à leur place, n'importe qui serait en furie d'avoir été rejeté. Comme vous tous, ces parties ont besoin d'écoute et d'amour. On doit les intégrer en nous-mêmes, les avaler comme dirait l'autre. Elles se dissoudrons comme neige au soleil le jour où nous comprendrons qu'elles sont NOUS, que rien n'est séparée, et que l'amour a besoin d'habiter toute création également.
Désolé pour ceux qui croient aux monstres.
Vous avez le droit.
Soyez conscients qu'ils ne sont que vos plus sombres aspects qui se matérialisent et grandissent grâce aux vibrations de peur que vous engendrez.
Sans la peur, on se fait ami avec son ennemi, et on harmonise... dans la conscience... ce que nous sommes les uns les autres ; UN
Lady Isabelle xx



6.6.21

POUR LE BIEN DE TOUS


 

Nous expérimentons la vie sous l’illusion que nous sommes séparés les uns des autres, et la séparation comme telle, est un aspect déterminant pour expérimenter la tridimensionnalité. Nous l'avons choisi à partir du plan de notre âme, qui elle-même s'est crue séparée de la source, et sans le savoir, nous sommes un peu pris là dedans.
Plus nous nous considérons comme des êtres séparés, plus nous participons à maintenir la dualité en place. C'est comme si nous nous identifions à l'avatar d'un jeu vidéo plutôt qu'à celui qui tient la manette. Nous sommes en fait UN seul et même être qui se rencontre lui-même dans ses différents reflets. Ceci est clairement établi par ceux et celles qui vibrent dans les hautes fréquences de l'esprit.
En d'autres mots, nuire à autrui, c’est comme se faire du mal à soi-même ; Se combattre, c'est d'alimenter des conflits dans sa propre conscience ; Haïr, c'est d'éprouver de la haine pour une partie de soi. Les gens projettent sur les êtres la souffrance qui les habite, que ce soit par la méchanceté ou par l'envie qu'ils n'arrivent pas à voir en eux-mêmes. Ils créent ainsi leur propre film sans comprendre qu'ils en sont les uniques instigateurs.
Le jour où chacun se verra lié au reste de l’humanité, que ce soit dans l'énergie de ce qu'il est fondamentalement ou par l'interdépendance des uns et des autres dans la matière, ce sont les intentions et les actions qui seront différentes envers les autres car elle refléteront la tolérance, la bienveillance et la compassion.
Fais aux autres ce que tu voudrais qu’on te fasse.
N'attends plus, ouvres ton coeur et fais le maintenant !
Lady Isabelle xx

5.6.21

L'amour

 L'AMOUR

a une consonnance si étrange dans l’univers des humains.
La plupart du temps, on aime avec sa tête une représentation qu’on a de soi-même et que l'on projette ainsi sur l'autre. Et on se reconnaît soi… en voyant notre reflet.
Oui, on aime aussi avec son sexe, pour répondre à un besoin peut-être ; un besoin d’affection ou un besoin tout court… comme si par une action purement mécanique et souvent dénudée de sens, on pouvait réussir à passer un sentiment aussi sincère et profond. Mais on y croit… et c'est ok. C'est bien ça le pire.
Et puis, il y a cette volonté de plaire qui ne nous abandonne jamais... cette volonté qui nous fait parfois nous oublier nous-mêmes dans ce que nous sommes, dans nos propres valeurs, au détriment des autres, par manque de soi, parce qu’on ne se connais pas.
Qui peut dire qu'il aime réellement avec son cœur d'un amour inconditionnel ? Vous lèveriez la main et je hocherais la tête en guise de réponse, car bien qu'on se souhaite l'amour, la paix, la félicité dans notre vie à chacun, ce ne sont pour nous que des concepts abstraits, des états qu’il nous importe d’atteindre un jour, mais qui sont si lointains dans notre tête, des états qui s'éloignent de plus en plus, à chaque année que l'on rajoute à sa vie.
L'amour tridimensionnel est une carence.
On ne le connaît pas.
Personne ne peut le définir.
On se crée toute sorte de scénarios pour tenter de se faire croire qu'on aime ou qu'on est aimé en retour. C'est tellement simpliste et superficiel quand on y pense, et personne ne s'en rend vraiment compte de ce qui le manipule dans sa pensée.
Les jours passent et dans notre routine métro-boulot-dodo, on calcule l'amour en termes de temps ou d'argent. Je n'ai pas le temps d'aimer, dira l'un, et voilà la plus singulière des réponses que l'on puisse recevoir en cadeau.
En 2021, l'amour n'existe plus ici-bas.
J'ai beau regarder partout autour de moi, je ne la vois plus chez aucun de mes frères et mes sœurs.
Peut-être est-ce ma propre projection, et si c'est le cas, tout cela est bien pathétique, mais ce que je perçois, c'est la condition cachée derrière, ce sont les cœurs enfermés dans la peur, ou les intentions qui sont si faibles qu'elles s'estompent comme des poussières dans le vent.
L'amour inconditionnel existe oui, et c'est le seul qui soit vrai... Alors qu'on puisse l'accueillir pour soi-même, dans chacun des gestes que l'on fait intentionnellement. Ce regard aimant que l'on porte sur soi-même, se veut d'être un regard d'admiration d'une création que nous sommes qui soit si miraculeuse. Et c'est le même regard que l'on porte sur toute existence puisque l’existence elle-même n'est qu'une extension de soi, dans toutes les dimensions, dans toutes les vies.
Nous sommes UN. Comment ne pouvons-nous pas le voir !
Cet amour-là ne s'évanouit pas, ne tourmente pas. C'est à chaque seconde de chaque minute qu'il est poussé à s'exprimer à travers nos cœurs ; éternellement... comme s'il n'y avait que cela.
Alors… Que ceci soit pour tous notre nouvelle façon d'aimer.
Avec amour, Lady Isabelle xo



La nature, source d'inspiration

J'ai toujours adoré ces petites cloches pour leur odeur particulièrement douce. Le muguet est une des premières fleurs du printemps. Une...