19.11.24

Âmes mémorielles et programmations

 


Non seulement les programmations sont-elles acquises à partir du jour un de notre existence, mais dans le mémoriel de l’âme, certaines programmations ont la couenne dure.

Le monde astral de l’âme est parsemé de dualité, cela fait partie de sa structure. Toutefois, la plupart des égrégores puissants sont alimentés par l’homme lui-même grâce à des procédés de détournement d’attention. Depuis la fin des croisades, soit au début du 18ème siècle, on a détourné la pensée humaine dans son fondement. Avant cette époque, il n’y avait nul besoin de le faire puisque l’inconscience régnait en maître nonobstant les classes sociales. Mais à un moment donné, la conscience a fait un bond. La renaissance et les mouvements humanistes de l’époque ont favorisés cette élévation massive. On voulait être instruit, que la connaissance soit l’affaire de tous et bien évidemment, des stratégies ont dû être mises en place pour pallier à cette expansion non souhaitable. Le mensonge cosmique a toujours existé. On peut affirmer que ce terme fait référence à la limitation dans la psyché de l’homme qui n’est pas conscient de cette limitation. Depuis 2020, on en parle largement sur les réseaux sociaux en mentionnant des expressions telles ; les endormis versus les éveillés. Mais l’éveillé demeure endormi sur bien des aspects de son être, même s’il voit davantage la manifestation de la noirceur du monde qui l’entoure. Il ne sait pas encore que cette noirceur l’habite, et de ce fait, continue de la projeter à l’extérieur.

Ce mensonge, c’est justement la vie basée sur la projection extérieure, sur un espace-temps pratiquement figé par des énergies basses, lentes, involutives. C’est le poisson qui regarde la vie au travers son bocal, sans avoir la présence d’esprit de comprendre qu’il en est séparé. Son mental est obnubilé par une perception incomplète du réel de la forme, qui comme on le sait, est manipulé selon des agendas bien précis.

Le monde de l’astral représente une étape que nous sommes appelés à dépasser. Par un premier éveil bien entendu, ce qui laisse une chance à la connaissance d’entrer de plus en plus dans le voile de l’ego. Aujourd’hui, plus de gens prennent le chemin de la conscience, de la vision intérieure, et sont à même d’agrandir leur perception autrefois limitée. En ces temps de révélations, notre vision chevauche à la fois la matrice et le plan du bas astral. Le poisson prend conscience qu’il est séparé du monde, tout en prenant en considération l’existence de son bocal. Ce qui ne lui donne pas encore les moyens d’en sortir. Bien que nous soyons au parfum des stratégies mises en plan dans les mondes invisibles pour tenter de maintenir en place une matrice artificielle, nous n’avons pas la maîtrise des barrières que nous érigeons dans notre propre psyché, ni de ce qui filtre la lumière. Nous l’empêchons d’entrer pour diverses raisons, notamment par les programmations astrales dont nous n’avons pas la main mise et les croyances que nous continuons d’entretenir en sachant toutefois qu’elles ne sont plus nécessaires. On pourrait penser que c’est de la paresse et on n’aurait pas tort. Bien que le savoir nous percute, notre volonté d’agir n’est pas encore assez solide. Du reste, bon nombre de personnes ne savent pas quoi faire, et s’ils le savent, trouvent que les solutions sont trop simplistes pour être efficaces.



Illustrations : La lumière de l’esprit descend et s’infiltre par les brèches dans le voile de l’ego. La perception de l’individu s’agrandit. En position d’observateur, il voit le scénario, apprend à discerner les formes et à s’en détacher.  

C’est d’ailleurs une des raisons pour laquelle nous continuons de vivre des années noires. Plusieurs ont encore besoin de voir, de vivre des influences extérieures pour finalement se ramener à eux-mêmes. Cette impression d’écœurantite que l’on vit actuellement doit pousser les personnes volontaires à se détacher du monde matériel, des croyances et de la vie d’avant. On se rend compte que ce n’est pas vraiment la forme qui est problématique, ni la dualité comme telle qui émerge du monde de l’astral, c’est la perception de l’individu. Il croupi encore dans l’inconscience face à lui-même, non instruit de ce qu’il est ou des responsabilités qui lui incombe d’avoir dans son retour à l’esprit. Tout cela demeure bien incomplet.

On sait que l’intelligence vient de l’esprit, que l’esprit descendra dans la conscience de l’homme au fur et à mesure qu’il aura nettoyer cette fine couche de fumée qui appartient au monde des polarités sur lesquelles s’appuie son quotidien. Si on sait lire les manifestations extérieures comme on lit un livre, on pourra traduire les chemtrails et tout ce qui vient du ciel comme étant des éléments de notre conscience. Une conscience encore dans le brouillard, qui cherche une porte de sortie, encore cachée de sa propre lumière. Une conscience qui s’attache à la propagande, source de diffraction de sa lumière personnelle. Plus la lumière entrera dans la conscience de l’homme éveillée, plus son mental ego s’effondrera. C’est ce que l’on voit dans la prochaine illustration. La vie que nous partageons ensemble en Amérique du Nord comme à travers le monde, est une fabuleuse métaphore de ce qui se passe dans le mental de l’homme. Je ne sais pas si mes illustrations vous ont appris quelque chose au-delà des mots que j’utilise, mais c’était mon intention. Le nouveau mental de l’être humain se nomme le supramental. Et c’est grâce à ce positionnement de la conscience que le voile du mensonge cosmique qui limite notre perception face à la vie, se dissipera.


Lady Isabelle, Extrait de Passage à vide

22.10.24

Clin d'oeil


Souvent en marchant, il me vient des idées loufoques. Si bien que je me demande pourquoi ma pensée prend le large, et puis je trouve. 

Ce matin, mon trajet me transporte au abord d'un chemin de campagne. Les couleurs de l'automne sont absolument merveilleuses. Quand j'arrive près des grands champs, j'observe ceux qui sont déjà prêts pour l'hiver, et les autres qui attendent le gel avant la récolte du maïs. 

Au fond de l'horizon, tout près des bois, cet aigle que je connais, plane sans jamais bouger des ailes. Je contemple son vol alors qu'il tourne en rond encore et encore durant quelques secondes, puis fuit subitement. Il a vu quelque chose. 

Je me met alors à balayer des yeux le décor, tentant d'imaginer ce qu'il a pu voir. Et l'idée me vient de cet aliens du film THE PREDATOR. Mesurant une quinzaine de pieds et habillé tout de noir, il tourne la tête dans ma direction. Je sais dès lors que s'il décide d'enclancher sa course, il sera dans ma bulle en moins de deux, et mes chances de survie sont égales à zéro. 

Alors je réfléchis aux scénarios possibles, et du coup, je m'arrête sur celui qui fait le plus de sens ; une attitude de "non" que je vous explique à l'instant. Oui ça a l'air stupide quand on y pense, mais j'ai déjà vécu quelque chose de similaire à maintes reprise avec les chevaux. Car, croyez-moi, ils ne sont pas tous dociles. Certains utilisent l'intimidation pour se placer en dominant, et quand ça marche, quand l'homme a peur, l'escalade des moyens pour maintenir la dominance impressionne. 

Mais la force de l'intention est prodigieuse si on ne laisse aucun doute s'immiscer. Devant un cheval qui me charge au grand galop, avec la bouche ouverte et prêt à mordre, je fais un pas en avant. 

Dans ma tête, une seule idée persiste. 

Je lui dis mentalement et à travers ma posture, que s'il me frôle d'une quelconque manière, je fais un steak avec lui. 

Je l'attend sans broncher. 

Il s'arrête de façon spectaculaire à environ une longueur de cheval, se retourne et fait semblant de passer à autre chose. Dans sa tête, il se demande s'il doit me "truster" ou fuir, et je vais vers lui sans plus attendre. La tension se relâche. 

C'est ridicule je sais, mais devant cet aliens, je ferais la même chose, et ça me réconforte de le savoir. Pourquoi ne pas devenir chummy-chummy avec lui ! Je repense à tout cela en me disant que tout est illusion, et que cette position de "non" est une énergie fabuleuse que l'on peut habiller chaque fois que l'émotion tente de prendre le dessus sur l'intelligence. 

Lady Isabelle

Principe de volonté


Krishnamurti disait que dans tout désir, tout acte, même dans le plus insignifiant qui soit, il y a des répercussions ; dans le champ d’énergie qui nous entoure ainsi que dans celui que nous portons en nous. C’est comme la goutte de colorant rouge que l’on introduit dans un verre d’eau limpide et qui en colore l’entièreté.

Donc toute pensée qui s’immisce dans notre conscience, qu’elle soit négative ou positive, a un effet immédiat sur notre organisme cellulaire, puis sur les vibrations qui émanent de notre corps et rayonnent à l’extérieur. Par conséquent, vigilance et volonté deviennent des forces puissantes, qui nous orientent dans une direction que nous souhaitons voir venir.
Quand la volonté n’est pas, c’est le programme de base qui prend le relais, celui de l’inconscient. Celui-ci, nous le savons déjà, n’aime pas le changement. Il en a même horreur. Il reproduira dans une exact précision les mêmes expériences que la veille et l’avant-veille afin de maintenir le statu quo dans tout le système. Quand la volonté est dirigée par l’ego, on n’est guère plus avancé. L’ego étant un ensemble de filtres qui répond bien aux programmations de la matrice et qui en général est pratiquement toujours en conflit.
Par où devons-nous commencer, me direz-vous ? Par la connaissance de soi bien entendu. C’est inévitable. Si on ne se comprend pas soi-même dans nos structures, on se retrouve la tête dans les nuages, dans un monde irréel. Chacun doit apprendre à s’observer, à analyser ses comportements, ses ressentis, à traduire les différentes formes de langages, celui du corps à priori, puis celui de la réalité qu’il projette.
Ce qui est réellement en train de se passer en soi-même demande qu’on s’arrête, qu’on active sa conscience pour prendre du recul, qu’on mette en marche les facultés du néo-cortex ; l’analyse, la réflexion, le discernement, la synthèse pour décrire des éléments plus abstraits, présents dans l’énergie. Les deux hémisphères sont sollicités d’une égale manière. On peut dès lors observer en fonction de nos rapports, parce que la vie est une perpétuelle mise en relation. Il devient inutile de s’asseoir sur un coussin dans un endroit tranquille et de méditer durant des heures. Lorsqu’on en comprend le principe, on se rend compte que personne n’existe de façon isolée. Nous avons besoin de reflet pour avoir conscience de soi, de relation avec des personnes, des choses ou des évènements, pour se tricoter une histoire.
Lady Isabelle - Extrait de Passage à vide

15.10.24

L'incarnation

 


Drôle à dire, mais bon nombre de gens dans la spiritualité ne sont pas tout à fait alignés dans leur incarnation. Ils sont plutôt prisonniers d'un piège de l'esprit dans lequel ils se complaisent. C'est ce qu'est la matrice, un piège comportant une multitude de facettes.
Même l'ascension en 5D promue de façon ostentatoire depuis 2012 était fausse, comme tout le new age et les formes psychédéliques utilisés pour se connecter à la source alors qu'en vérité, la source est déjà là, dans notre part organique, et non dans la psyché.
Pour savoir, pour être connecté à son essence, il faut d'ors et déjà être complètement incarné dans son corps. Car c'est par lui, par la connexion au réel, que l'on prend conscience de qui on est, que ce soit au point de vue mémoriel ou divin.
Malheureusement, c'est ce que les gens ne font pas alors qu'ils arrivent dans une dimension de forme. On s'incarne à moitié et on développe un monde parallèle dans sa psyché pour toutes sortes de raisons. La principale, c'est qu'on ne veut pas souffrir, on ne veut pas voir la bête, le négatif qui nous gruge par en dedans tout en nous faisant croire qu'on est de la lumière.
Je ne dit pas que la lumière ne nous représente pas, au contraire. L'énergie est de la lumière. Je dis seulement qu'en étant dans un piège ou tout est beau et tous le monde est gentil, on est en face de fausse lumière ; de lumière artificielle.
L'incarnation fait mal au corps. Cette densité est difficile à vivre. Les mémoires qu'on trimballe dans ses bagages aussi. Mais il faut aller jusqu'au bout, prendre place complètement dans son corps pour bien discerner ce qui nous habite, l'accueillir, l'accepter, et éventuellement avec une conscience juste, transmuter tout cela, car ça ne nous définit pas.
Avant que la psyché sorte de ses programmations de l'âme, on intégrera cette souffrance qu'on a vécu par le passé dans cette expérience humaine ; pour la décortiquer, la comprendre et s'en désidentifier. On cessera d'être dans la fuite ou le déni de l'existence des énergies involutives qui nous habitent. On cessera de se cacher derrière des faux gourous qui flatte notre ego spirituel en contrepartie d'une dépendance tacite, utile pour aspirer nos corps d'énergie, car de tous les enseignants, ce sont eux les plus parasités !
Bon retour à la réalité 🙂
Lady Isabelle xx

7.10.24

L'impermanence des choses


 On désire et on s'attache…

La notion de désir incite les êtres à s’attacher désespérément aux choses de ce monde. L'attachement peut être matériel, comme on s’attache à sa voiture, à sa maison, ou de manière plus abstraite, à son conjoint ou à ses enfants.
D’emblée, nous allons jusqu’à nous attacher à des souvenirs du passé, à des maux, et même des maladies. -"Je me souviens de cette relation qui m'a fait tant souffrir, de la fois ou je suis tombé."
Nous pratiquons ces actes inconscients de saisie, croyant que nous en retiendrons le message ou l'essence. -"Je veux que ce soit comme avant, ou je veux que ça reste, dirons-nous. "Cet instant est à moi, ça m'appartient." "Ce chemin est le mien..."
Notre attachement aux choses de la matrice est insensé.
Il passe par divers degrés d'innocence, et notre désir de posséder, de s’accrocher à ce que nous avons acquis, amassé, vécu ou édifié tout au long de la vie, nous sépare du fondement même de la Conscience.
Ces gestes répétés de saisies sont des perceptions mentales erronées. Mon, ma, mes, nous poussent à vouloir retenir quelque chose qui n'existe plus ou qui aspire à bouger, à prospérer. Quand on retient, cela n’engendrent que souffrances et désespoirs, car de cette façon, nos désirs ne peuvent jamais être assouvis. Tout nous échappe, nous glisse des mains.
Le réel est sujet à la non-permanence alors que tout change et se transforme et qu’en fin de compte, tout changement est précaire. La réalité matricielle quand à elle, est artificielle. Elle ne suis pas les Lois de l'Univers. Le changement est induit par la pensée. L'illusion est fixé dans le temps.
En fait, nul être, nul objet ne demeure pareil à lui-même plus d’un instant, et ce, même si on tente de tout figer. Tout ce que nous observons, entendons, ressentons est en état de transformation perpétuelle. Il y a la naissance, la croissance, le déclin et la destruction; la mort. Nous sommes en quelque part dans ce mouvement d'éternel recommencement, et comme les saisons, nous nous transformons.
Laissons aller ce qui doit être, acceptons notre réalité dans ce message profond qu'elle nous transmet, et voyons le réel tel qu'il est, sans retenue. Cessons de nous attacher aux êtres, aux choses, de nous censurer, de figer les mémoires, et questionnons-nous sur l'unique instant qui importe vraiment ; le présent.
Est-il réel ou artificiel ?
Bonne semaine mes amis(es)
Lady Isabelle xo

29.9.24

Désillusion

Nous terminons déjà le mois de Septembre, qui, ayant bénéficié d’un ensoleillement record, déroule maintenant son tapis de feuilles. L’automne, pour ma part, c’est le retour à soi, et cette semaine, prise d’une lourdeur existentielle, je me suis souvenue de quelque chose d’important. Je tenterai de vous le partager du mieux que je le peux.

J'ignore si ces souvenirs sont « fiables » ou si c’est mon imagination qui fabule. Toutefois, je sais que le réel et l’imaginaire viennent de la même source. On ne peut pas inventer une information qui ne vit pas déjà, à l’état de latence, dans notre champ d’énergie.

Donc, il s’agit ici d’une expérience faite il y a des années au moyen d’une technique d’hypnose humaniste, technique qui permet entre autres d’expérimenter une expansion de conscience, notamment dans le champ de l’âme.

Je ne me souviens pas de l’entièreté de l’expérience, mais d’une bribe seulement, quasi impossible à oublier compte tenu de l’intensité du message. 

J’étais dans le monde de la mort, et quand je dis « JE », je parle de ma conscience, de mon être. 

Dans l’astral, on se retrouve entre deux mondes, à devoir faire un choix entre la réincarnation ou le recyclage. La réincarnation, vous connaissez. Le recyclage, c’est ce chemin qu’on prendra si on choisit de ne plus s’incarner. On meurt une seconde fois à soi-même, à sa conscience d’être pour devenir tout et rien simultanément. Il n’y a plus de distinction, d’individualité inhérente à la structure d’un plan de forme, plus de dualités. 

Alors, je suis là, en compagnie d’un « allié », une présence inconnue mais bienveillante, qui m’accompagne. Je suis debout aux abords d’un puit de lumière, là où un rayon éblouissant descend vers une dimension inférieure. Je sais que ça représente ma future incarnation. Je vois ma vie actuelle d’un bout à l’autre et je suis émerveillée. Wow…


Alors, nait en moi un sentiment si fort qu'il me chavire, suivi d’un mélange d’enthousiasme, de plénitude et de joie intérieure. Je ressens la promesse d’un jour de fête, le début d'une épopée grandiose, le continuum de ma vie.

Je ne saurais dire ce qui motivait un tel sentiment. Était-ce en comparaison des vies passées ou si c’était vraiment ce que je voyais dans la magnificence de ce rayon, mais j’ai dit « OUI », oui sans hésiter, et j’ai sauté sans réfléchir tant l’excitation était grande.

Une fois arrivé à terme, dans l’ébauche du fœtus, ayaya que j’ai souffert.

J’ai tellement souffert de cet état, c’est indescriptible. J’ai tout de suite pensé à cette fichue souffrance, combien j'en avais négligé l’existence,  autrement je n'aurais jamais plongé. Comme une condamnation à vie, on s’y confronte d’une manière plutôt brutale une fois que notre essence prend place dans la 3D.

Comment avais-je pu oublier ça ? 

Du coup, je me suis fâchée contre moi-même, me répétant combien j’avais été sotte de croire pouvoir vivre l’amour à travers mes sens dans une incarnation terrestre. J’ai eu mal longtemps, puis je m’y suis habituée. J’ai docilement accepté la nature inversée de la réalité matérielle. J’ai joué le jeu du conditionnement pour pouvoir renouer avec l'existence... jusqu’à me perdre et omettre qui j’étais.

Quel choc !

Je me retrouve aujourd’hui à ressasser ce souvenir car longtemps, je me suis dit que je m’étais menti à moi-même. 

Je n’avais rien compris.

Être devant un choix si important remet les choses en perspective. Si j’avais su me composer un double éthérique, j’aurais probablement pu continuer de vivre dans une conscience d’être individuelle tout en ayant la connaissance qu’on est aussi la source elle-même, et m’élever peut-être, dans des dimensions plus raffinées. Mais, quand la conscience n’est pas encore assez structurée pour développer ce double de notre vivant, on se retrouve face à ce dilemme ; soit on se réincarne en maintenant cette conscience d’être, soit on passe au recyclage, de retour à la source, où il n’y a pas lieu d’exister en étant dans le moi ou dans le soi, où on n’est plus rien et par ailleurs qu’on devient tout. Le premier choix implique quant à lui cette vie de misère, où de temps à autre, on touche à la béatitude, mais également où l'on accepte de jouer le rôle d'un avatar stupide qui avance en passant des épreuves dans un jeu vidéo.

Aujourd’hui, quand je regarde ma vie, je peux comprendre mon enthousiasme. Ça va possiblement mieux se finir que ça avait commencé. Mais c’est quand même fou cette amnésie du supplice d’être présent en 3D, à quel point on s’habitue à ce bagage. On accepte ce corps de souffrance et les mémoires qui s’y rattachent juste parce qu'on veut continuer d'être et d'expérimenter. 

D'un côté, c'est un réel privilège de faire l'expérience des sens. De l'autre, le prix à payer est l'enfermement de l'esprit dans la forme, et les limites à franchir qui vont avec. 

Alors, on passe sa vie à s’ajuster, à défaire, à chercher la sortie, à nettoyer encore et encore pour s’approcher d’une expérience plus significative, plus alignée, plus intelligente, ancrée profondément dans notre esprit. Mais, c’est peine perdu. On ne s'en libère pas.

En quittant ce monde, je serai probablement encore face à ce maudit choix ; continuer d’exister en conscience, ou me faire recycler dans le grand tout. Cette fois-ci, ma réflexion sera plus longue. Je prendrai le temps, et il se peut que je dise non.

Je pourrai devenir « amour pur » vu que j’ai échoué à le laisser me pénétrer entièrement quand j’étais ici.

Car c'est bien de cela qu'on parle n'est-ce pas ; d'amour.

Lady Isabelle xx

19.8.24

 

J'ADORE cette température fraiche de fin d'été.
J'ai l'impression qu'elle porte en elle le message des récoltes et de l'abondance !
Les fleurs, les fruits, Mon doux... que de beautés à contempler.
Les oisillons chez moi ont appris à voler et s'amusent maintenant à virevolter de branches en branches. On les entends presque rire dans le plaisir d'être soi.
L’abondance implique une immersion dans l’amour de soi et la confiance dans l’ordre des choses.
Oui tout part de soi, et cet ordre, cette intelligence intrinsèque EST et SERA TOUJOURS derrière l'illusion de ce qui se passe autour de nous.
La vérité se manifeste dans les choses les plus naturelles ; en d'autres mots, dans ce qui n'est pas manipulé par la main de l'homme. C'est notre point d'ancrage à la terre, notre certitude.
Pour y avoir accès, nous sommes appelés à désapprendre nos fondements, à se délaisser des conditionnements sociétaires pour porter notre attention sur la nature elle-même et la beauté de la création.
Nous sommes appelés à voir la vie au travers les yeux de notre âme, pour réaliser par cette action que nous sommes tous de magnifiques miracles.
J'ai foi qu'en notre cœur nous pouvons puiser assez de force pour transcender le bas astral et participer à la création d'un monde meilleur. Créons la beauté et l'abondance, et laissons aller l'illusion qui se dissous d'elle même puis disparaît.
Lady Isabelle xx

23.6.24

Bonne fête des Québécois

 

... pour ce qu'il en reste.
Il fut un temps...
c'est ainsi que je commencerais mon exposé si j'avais à parler du Québec à un extra-terrestre. Car, sans ces repères du passé, je ne saurais quoi dire qui aie un sens patriotique.
Quand j'y pense, j'me dit que je suis bénie d'avoir pu vivre à une époque où l'on jouait dehors avec des amis ; où on faisaient des feux de camp sans mettre le feu au forêts, où la grippe et le soleil d'été n'étaient pas une source d'alerte, où il ne pleuvait pas tous les jours, et où toutes les institutions n'étaient pas autant corrompues. Ils l'étaient certes, mais pas autant.
Ça me permet de me détacher, de faire des comparatifs, de voir qu'une partie de la population a suivi un chemin alors que l’autre s'est vu emporté par la vague propagandiste des tribulations politico-environnementales sans capacité de discernement.
Dans 30-40 ans les amis, on ne sera plus là pour rappeler aux générations futures ce que le Québec a été avant le millénaire.
Je me souviens...
Ce bout de phrase aussi me rappelle mon Québec. Celui ou j'avais l'impression d'avoir une certaine appartenance, où on se reconnaissaient entre nous.
Aujourd'hui, on oublie...
c'est la nouvelle devise, car la réalité est tout autre, les valeurs ont changés, les droits humains aussi, et mieux vaut ne plus y penser. Pour se rejoindre, on doit se rencontrer en microcellules, afin de ne pas froisser l'idéologie du voisin.
Alors...
Québécois, Québécoises de souche, et ceux d'ailleurs qui se sont bien intégrés à notre langue, nos coutumes, par respect, je vous souhaites BONNE FÊTE ! 🥳🎊
Et pour les autres, bon vent !
Lady Isabelle xx

7.6.24

Troubles de l'attention, anxiété à la hausse ? Pfff

 

Troubles de l’attention, anxiété, à la hausse ? Pfff
C’est ce qu’on essaie de nous faire gober comme étant une nouvelle norme de santé mentale sans jamais pointer du doigt la principale cause.
L’attention est essentielle à notre existence consciente, car elle dirige notre esprit vers un objet, qu’il soit mental, émotionnel ou physique. L’absence d’attention, caractérisée par la dispersion, l’oubli ou la négligence, crée une lacune dans notre conscience, nous faisant perdre le contact avec nous-mêmes.
La véritable attention implique de rester éveillé, ouvert et pleinement conscient des activités corporelles, des sensations, des émotions, ainsi que des processus mentaux tels que les idées et les pensées.
Or, aujourd’hui les jeunes et les moins jeunes passent des heures devant leurs écrans. Que ce soit la télé, les jeux vidéo ou le cellulaire, leur attention est toujours centrée sur une vision étroite, ce qui réduit d’emblée le développement des centres nerveux ou les amenuisent. C’est le principe même de l’entrainement. Quand on ne sollicite plus un muscle, il s’atrophie.
L’attention est un vecteur de vitalité. Tout exercice d’attention est un entraînement précieux pour l’esprit. Il s’agit de passer d’une vision étroite à une vision diffuse, large, pour mieux saisir les stimuli extérieurs, et les intégrer à notre conscience par l’entremise de tous les sens. Le sport, par exemple, fait appel à une vision périphérique et sollicite l’ensemble des canaux sensoriels. À l’opposé, les jeux vidés se concentrent sur une seule source de stimuli, souvent figé et beaucoup trop forte, et amenuise la performance des processus internes. La conscience ne se développe pas. En réalité, elle régresse.
Il est donc crucial de cultiver notre attention sur nos cinq sens pour les intégrer pleinement et les affiner. Ainsi, au lieu de provoquer la dispersion, nos sens peuvent nourrir une vie intérieure plus riche.
✅Le toucher implique de ressentir des sensations sur la peau, comme la chaleur, le froid ou la douceur d’un tissu. On développe le toucher kinesthésique en bougeant, en étant en interaction avec le monde réel.
✅L’ouïe nous permet d’écouter les sons et, parfois, de percevoir au-delà des mots, d’appréhender et de deviner des non-dits. On développe l’écoute en cultivant le silence.
✅La vue n’est pas seulement la capacité de voir avec nos yeux physiques, mais aussi de percevoir au-delà des apparences. On développe la vision par des exercices de méditation guidée et par des activités créatives.
✅Le goût nous fait apprécier les saveurs, mais il s’étend également à notre sens esthétique, comme le goût pour la décoration ou l’habillement. On développe le goût par l’expérience culinaire et l’agencement des formes et couleurs.
✅Enfin, l’odorat nous permet de sentir une gamme d’odeurs, des plus fortes aux plus subtiles. Avoir « du nez » signifie également exercer son attention pour découvrir ce qui est caché, anticiper les situations avant qu’elles ne surviennent. On développe son odorat en s’ouvrant aux essences de la nature qui nous entoure.
En résumé, l’attention est un outil puissant qui, lorsqu’il est bien exercé, peut transformer notre expérience sensorielle et enrichir notre vie intérieure.
Décrochez les enfants des écrans… et partez à l’aventure avec eux.
Lady Isabelle xx

5.6.24

La nature trouve toujours son chemin

 


Bernard de Montréal, encore lui, mentionnait souvent aux gens venus écouter ses conférences, de toujours tout remettre en question. De partir avec l’idée que tout est faux, qu’il n’y a absolument rien de vrai dans ce que nous avons appris jusqu’à maintenant de source extérieure. Il proposait même de ne pas croire aveuglément ce qu’il disait. Tout remettre en question, oui, mis à part peut-être le réel. C’est-à-dire ce qui ne change pas. 

Quand j’observe la nature par exemple, je constate que la création est et sera toujours la même. Le soleil se lèvera et se couchera même si on tente de le voiler à même des chemtrails. La nature continue de suivre sa vraie nature énergétique, et ce, malgré les tentatives de HAARP. Les animaux ne sont pas influençables comme nous le sommes. Ils sont conçus selon un plan de forme, une maquette énergétique à laquelle ils répondent. Alors, même si l’homme veut remplacer la conscience humaine par de l’intelligence artificielle ou par la technologie, tout ce qu’il arrivera à faire, c’est de s’auto détruire. Oui, détruire les choses qu’il a lui-même créer. 

La terre n’explosera pas. Les éléments ne changeront pas. Ils représentent la vie et en sont les matériaux principaux. On ne peut arrêter la mouvance de la vie, même si on enferme toute une civilisation sous vide. Lorsqu’on manipule le feu avec l’intention de nuire, c’est bien simple, on se brûle. On se crée du karma.

Tout cela pour dire que le réel est immuable, que l’intelligence c’est l’être, et qu’en bout de ligne il n’y a pas de combat à avoir. Les choses suivent leurs cours. Bien et mal n’existent pas. Et c’est exactement ce dont nous devons nous souvenir lorsque nous songeons à la nature humaine. Nous sommes avant tout une essence divine. Nous sommes autant immuables et éternels que les éléments qui nous constituent. Nous sommes tout et partout à la fois.


Extrait de Passage à vide 2024

Lady Isabelle 

3.5.24

La nature, source d'inspiration


J'ai toujours adoré ces petites cloches pour leur odeur particulièrement douce. Le muguet est une des premières fleurs du printemps. Une fleur qui accompagne le mois de mai et promet le renouveau, l'éveil d'un cycle de vie, d'abondance.

C'est d'ailleurs le meilleur temps pour souhaiter la santé à quelqu'un, en exprimant le désir sincère que cette personne (toi en l'occurrence) reste en bonne condition physique et mentale pour le reste de l'année.
Alors, que le printemps et l'été puissent renforcer ton système immunitaire et t'aider à emmagasiner de la vitalité au travers d'expériences agréables. Cela sous-entend également mes vœux pour une rapide récupération de toute maladie, la force de surmonter les défis auxquels tu fais face, et l’énergie nécessaire pour poursuivre tes activités et passions.
Mon souhait pour toi en ce mois de mai 2024 s'exprime par mon soutien et ma présence, espérant que chacun de tes jours soit empreint de joie et de santé.
Lady Isabelle xx

17.4.24

UNITÉ

 

Le principe de responsabilité universelle implique un niveau de conscience qu'on peut toutefois apprendre à développer. Ce n'est pas inné pour le personnage en 3D, qui plus souvent qu'autrement, se retrouve dans un état de survie. Tous les défis auxquels nous faisons face, peuvent être relevés si nous réussissons en tant qu’individu, à comprendre et mettre en pratique les principes d'interrelation et d'interdépendance dont je parle abondamment dans mon livre sur les approches humanistes. Ce sens de responsabilité universelle, représente l'émergence d'une intention bienveillante, un sentiment d'engagement nécessaire envers la création via la Loi de correspondance.
La responsabilité dans l'Unité inclut la connexion à soi, avec l’univers entier en soi, avec tous les êtres sensibles vivant sur cette terre, (qui ne sont pas séparés) ainsi qu’une préoccupation sincère pour la pérennité de chacun.
Pour les personnes âgées qui sont pointées du doigt et jugées.
Pour les personnes malades qui n'ont que peu de recours.
Pour ceux qui meurt dans des conditions extrêmes de rejet et de solitude.
Pour la nature, les animaux et les peuples qui sont exploités.
Pour tous ceux qui souffrent d'une quelconque manière.
Il ne s'agit pas ici de sauver le monde, ni de victimiser les individus, mais de faire des choix conscients qui ne valident pas la continuité de la souffrance, puis de souhaiter au tréfond de son cœur et dans sa vibration personnelle, que la conscience s'élève en donnant l'exemple.
Tout est unité, et c'est ainsi que sommes appelés à éveiller nos sens.
Lady Isabelle xo

12.4.24

D'hier à aujourd'hui


Dans ma vie d'enfant, d'adolescente et de jeune adulte, j'ai considéré le temps comme étant éternel. Je ne l'ai pas vraiment vu passer puisque j'y étais pour faire des expériences.

Puis dans la trentaine, je me suis morfondue souvent dans des empêtrements inutiles ;
J'ai ruminé en boucle des situations inconfortables ;
Je me suis comparé juste pour nourrir mes programmations ;
J'ai inventé des scénarios tout-à-fait impossibles pour me valider dans mes choix toxiques ;
J'ai surtout perdu mon temps à trop regarder en arrière, et par conséquent, j'ai oublié d'être là.
Depuis quelques années, j'ai conscience que mon énergie est précieuse. Même si la vie est éternelle, mon corps lui, ne l'est pas.
J'ai appris à m'aimer, à m'accepter plus qu'hier, à accueillir sans juger les choses que je ne comprends pas, à réellement tourner la page pour faire de meilleurs choix.
D'ailleurs, je remercie ma vie tous les jours.
Pour sa justesse à mon endroit, pour son amour, pour me permettre d'être moi-même, de m'accomplir malgré les contraintes, de rester lucide et alignée dans mon plan de vie.
Le temps est peut-être un concept du mental-ego, ici en 3D, et je pense avoir compris qu'on ne doit pas le gaspiller par respect pour soi. Le présent représente donc un cadeau précieux qu'on oublie souvent de s'offrir. Oui, toi, qu'est-ce que tu veux maintenant ?

Et la force de vie que cette question engendre dans un moment aussi unique, par exemple lorsqu'on s'arrête et qu'on est en présence, qu'on additionne une intention avec laquelle on s'accorde, un sens, une direction, est le secret de tous les secrets d'une vie bien remplie.
Pensez à arroser votre jardin, avec amour 🌺❤
Bon vendredi
Lady Isabelle xx

11.4.24

Les approches humanistes

Ça y est !! 🥳
Le livre est prêt.
C'est toujours une grande joie que de terminer un projet semblable. Alors à tous et toutes, Bonne lecture. ☺️
LES APPROCHES HUMANISTES
Les approches humanistes représentent à la fois une philosophie et un cadre de travail dans lequel nous sommes appelés à déposer intuitivement notre confiance en la nature humaine. Orientée à la fois vers la connaissance universelle et le sens de la vie, l’approche prescrit à l'individu de tendre sans cesse vers une existence plus ouverte, plus élevée, plus connectée.
Les différents plans de l’être que nous allons aborder dans cette approche évolutive sont indissociables d’un accompagnement holistique.
Par conséquent, l’étude des différentes dimensions, structures et formes émergentes vous guidera dans la posture et le savoir-être approprié.

Les approches humanistes, un grand pas dans la connaissance de soi.

28.3.24

Vie et mort

 

J'ai souvent vu en conscience que j'allais mourir pendant une marche à l'extérieur. J'en ai même la certitude. Dans cette image du futur, je vois apparaître devant moi un écran "flou", comme un vortex d'eau placée de façon perpendiculaire, ou l'on perçoit le mouvement. Il y a de la vie là-dedans à n'en pas douter, et un appel à vouloir y entrer.

Cependant, je sais bien qu'une fois traversé j'aurai changé de dimension, et du côté d'où je viens, mon corps sera mort. Je l'aurai laissé derrière moi. En fait, j'ai l'impression que c'est ça la mort, un non retour, mais est-ce bien cela ? Peut-être que je me trompe.
Je me souviens avoir vécu un truc semblable dans une expérience d'hypnose humaniste ou l'on suggérait de voir qui nous sommes vraiment au-delà du voile. Dans cette pratique ou je servais de cobaye, je me suis élevé dans des niveaux vibratoires proches de la béatitude. J'y ai vécu des sentiments puissants d'ouverture du cœur qui m'ont chavirés. Et vers la fin de la technique, je me suis retrouvé en face de ce "flou", cette eau qui m'invitait à la traverser. Je pouvais étendre le bras et mettre ma main dedans.
À la question posé par l'hypnologue en herbe ; Veux tu lever le voile ?
J'ai dit non.
Comme je dirais non encore aujourd'hui si cette vague apparaissait.
J'ai pris conscience en marchant hier, que je n'avais pas encore compris la raison pour laquelle je suis venue ici. Je repensais à tout cela et du coup, j'ai vu toute la beauté qu'il me reste encore à voir si je choisissais de traverser aujourd'hui. Cette beauté pour laquelle je suis venue au départ de mon incarnation alors que j'étais si enthousiaste, et finalement, je suis un peu passé à côté.
On nous obnubile tellement dans le rituel metro-boulot-dodo, dans les conditionnements sociétaires de la matrice, qu'on passe à côté du réel de la vie, et de sa raison première d'existence ; la beauté.
C'est en tant qu'être divin qui visite la terre que nous sommes venus faire cette expérience, pas en tant que captif d'une matrice d'énergie basse qui nous maintient dans la souffrance.
L'effort que nous avons à faire pour s'en extirper est grand, j'en suis consciente et nous le savions avant même d'arriver, mais rappelez-vous qu'aucune épreuve n'est trop grande pour être dissoute, et transcendée. Nous savions cela aussi.
Avons-nous péché par orgueil ? Je ne pense pas.
Tout est une question de maturité spirituelle, et d'intelligence.
Les chaines ne sont que des illusions, des attachements.
Libérons-nous !
Lady Isabelle xx

27.3.24

La santé mentale

 


Une autre arnaque des temps modernes pour vendre, pour ne pas faire face à ses responsabilités. Olivier Maslow, créateur de l'échelle des besoins humains disait que la plupart des problématiques au niveau du mental ont pour origine des carences. Carences affectives la plupart du temps, manque de structures et de modèles dans l'édification du moi, manque de reconnaissance et d'encouragement, parrainage négatif ou absent.

De parents carencés naissent des enfants en carences. Rien de nouveau là dedans. Quand on change l'enfant de milieu ou d'environnement, tout de suite il change. Son personnage s'adapte. Il s'épanouit en présence d'attentions qui répondent à ses besoins.
Il est comme cette plante oublié dans un coin noir de la maison, qu'on aura transféré dans le rayon du soleil.

Lorsqu'on retourne l'enfant à la maison, les problèmes reviennent. Donc on peut se questionner sur la démarche à suivre.
La plupart des parents iront à la solution facile en reniant les lacunes qui leur appartiennent et se reflètent sur l'enfant. Ce pauvre chérubin écopera de leurs problèmes et n'aura pas le développement nécessaire pour s'en détacher. Ainsi nait la maladie qui s'incruste, qui en fin de compte n'est qu'un voile, un programme acheté des générations passées.

Traiter un enfant en thérapie, c'est comme de l'installer devant une lumière artificielle. Avec un enfant ou un ado en difficulté, c'est le parent qui doit changer. On va directement à la cause 😁

Aujourd'hui le terme "santé mentale" remplace celui de "maladie mentale". Cela permet de normaliser la maladie et de l'étendre au grand public.... dans le but toujours de vendre des petites pilules !

Lady Isabelle xx 

Âmes mémorielles et programmations

  Non seulement les programmations sont-elles acquises à partir du jour un de notre existence, mais dans le mémoriel de l’âme, certaines pro...