23.2.24

Inconditionnellement


 

Célibataire depuis longtemps, je n'ai jamais vraiment aimé être en couple. Ça ne me ressemble pas de partager le quotidien et les jours ordinaires avec un partenaire. En fait, ça m’embête.

On me demandait parfois ; Isabelle, as-tu aimé un homme ? et la réponse est non, même si j'ai eu des chums que j’ai apprécié, et un conjoint de longue date.

J’aime les êtres. J’aime le vivant. Je m’aime moi.

Par le passé, j'ai certes été en relation pour combler mes besoins comme la plupart des gens ici, mais rien qui ne vienne du cœur et qu’on peut appeler de l’amour. Je pense qu’on doit être honnête envers soi-même lorsqu’on se raconte, et cesser de se mentir pour gagner des points aux yeux des autres.

L'amour, je l'ai vécu dans des relations significatives, profondes. Je l'ai vécu dans l'accompagnement de personnes jeunes et âgées par exemple, comme dans l'accompagnement en fin de vie alors que les masques tombent et que l'essence se révèle. Je l'ai vécu en partenariat avec des amis animaux, les chevaux en l’occurrence, ou en étant en communion avec la nature, l'énergie et les éléments.

L’amour touche le cœur. Ça n’a rien à voir avec le sexe bien sûr, peu importe sa nature. Ceux qui mélange la sexualité et l’amour se racontent des histoires. Qu’elle soit tantrique ou pornographique, c’est toujours la même chose ; un échange de fluide. Mais je conçois qu'il vaut mieux poser une intention bienveillante derrière nos gestes que de répondre à des plaisirs vils. Prendre soin de soi en conscience permet de changer d'étage, de passer du monde de la 3D à la 4D.

Ce qui touche vraiment mon cœur en ce qui me concerne, c'est la sincérité, la vérité, la simplicité, la pureté de l'intention. Ça me fait vibrer intensément comme un diapason en accord avec la corde du violon. Je me reconnais et j’ouvre comme la rose au soleil.

L'acceptation de notre essence véritable et bien d'autres qualités humaines qui élèvent nous permet à tous de mettre de côté les schémas acquis pour éventuellement parler avec le cœur.
Vous comprendrez que c'est toutefois très rare dans les couples actuels ou les associations amicales et professionnelles, compte tenu du personnage qui masque souvent la vulnérabilité ; la censure. Ajoutons à cela les stéréotypes qui jalonnent notre inconscient depuis tellement d’années et le façonnent selon les agendas du jour. Nous ne savons plus comment être ni comment vivre.

Le personnage mu par ses peurs, ses manques, ses besoins physiques, sa survie, ne sera jamais quelqu’un à aimer d’un amour sincère. Il ne le captera pas. Bien au contraire, l’amour se vit pour lui à une tout autre échelle ; de plus loin. De la sorte, on le laisse agir de lui-même face à ses parties d’ombres pour lui donner la chance de conscientiser et transformer les nombreuses croyances qui le valident. C’est un cadeau qu’on lui fait que de le laisser mijoter dans son coin tout en lui offrant la main dans les moments de détresse.

Moi qui préfère être seule plutôt que d’être teinté d’une couleur qui n’est pas la mienne, je ne veux pas non plus perdurer dans une union par esprit de sacrifice ou par obligation. Je me fais un cadeau.

À 12 ans, j’ai découvert l’amour, le vrai. À cette époque, c’est l’histoire de Jésus qui le personnifiait. Ça m’a marqué. Je me disais déjà à cet âge bien naïf que je ne voulais pas être aimé autrement qu'inconditionnellement. Cet amour vivant, vibrant qui embellit le cœur, l'âme, et nous fait prendre de l’expansion en conscience, je l'ai cherché dans le don de soi. Aujourd’hui, bien que j’aie laissé tomber la religion et ses dogmes, je sais que l’amour existe pour l’avoir accueilli en mon cœur plus d’une fois. Et même si ces expériences ne sont pas calculés dans la durée, j’essaie au mieux de ne pas me nuire en laissant entrer n’importe quoi dans mon champ aurique. J’ai foi en moi, en la vie, et c’est parfait comme ça.

 

Lady Isabelle xx

16.2.24

Ruby

 

Extrait de ; Ce que les chevaux m'ont appris

Pour revenir aux chevaux, ils n’ont pas d’ego, pas de persona. On dit d’eux qu’ils ont chacun une personnalité unique, mais ce n’est pas vraiment juste. La persona que l’on perçoit chez les chevaux domestiqués est la même que celle qui émerge de son cavalier ou du soigneur.

J’ajouterai plus précisément que dans la plupart des cas, cette persona est une partie du soi refoulée, une partie qu’on ignore souvent de nous-même, une partie qui souffre. En résumé, elle est une partie de soi qu’on ne veut pas reconnaître. Pour preuve, on change de cavalier et 20 minutes plus tard, voilà qu’on a plus du tout le même cheval.

À plusieurs reprises, les chevaux que j’avais reçus à l’entrainement étaient décrits par leur maître comme étant monstrueux. Une dame me téléphona un jour, disant que son cheval avait, entre autre chose, peur des portes. 

-     - ""Lorsque je marche en laisse, mon cheval se cabre et tire au renard".

En somme, il s’agissait d’une grosse jument de 5 ans, Paint tobiano, 15.3 mains et d’environ 1350 livres. Une grande bête avec une petite tête d’enfant apeuré. N’ayant pas reçue d’accompagnement dans ses apprentissages étant petite, la jument levait la tête en arrivant tout au centre du cadrage de la porte, se frappant automatiquement le sommet du crâne, assez violemment.

C’était impressionnant, ouf ! Suite au choc, elle perdait ses sens et bloquait aussitôt ses quatre membres, tirant très fort vers l’arrière, un peu comme le fait un âne qui refuse d’avancer.

Cette pauvre jument se frappait la tête comme ça à chaque fois, si bien qu’elle arborait une croute de sang séchée sur la crête occipitale. La propriétaire elle, ne voulait plus la sortir au pâturage bien entendu. Elle éprouvait même de la difficulté à lui mettre son licol tant la bête avait peur de se blesser la tête à nouveau.

En étudiant bien la relation qu’il y avait entre les deux lors d’une démonstration, j’avais remarqué à quel point la propriétaire anticipait la situation. Inconsciemment, son corps se raidissait juste quelques pouces avant d’arriver au cadrage. En un quart de seconde, ses yeux fixait tantôt le sommet de la porte, tantôt le cheval comme si elle se demandait s’il allait bien passer. Tout son corps faisait foi de son incertitude et donc, d’un potentiel danger, si bien que c’est exactement ce qui arrivait à chaque fois.

La jument, en bon cheval qu’elle était, répondait parfaitement bien au message non-verbal qui lui était destiné. On parle d’une fine perception évidemment. La peur du cavalier devenait la peur du cheval tout comme la colère de la mère, dans l’exemple plus en avant, devenait la colère de l’enfant.

Je me souviens avoir pris le cheval par la laisse. Dédramatisons que je lui expliquais à ma manière.

Je m’étais présenté à elle en la laissant un peu me sentir et me regarder. Puis, je l’avais attaché sur les chaînes un peu plus loin. J’avais changé sa routine. Seulement, j’avais fait avec elle ce que je faisais avec tous mes chevaux; examiner sa robe, la brosser, lui curer les pieds, la toucher. Je lui parlais, lui donnais toute mon attention. Je veillais à son confort, à sa sécurité. Je m’installais confortablement moi aussi, dans cet environnement-là qui n’était pas des plus sécuritaire. Ensuite, je lui avais mis son tapis et sa selle.

J’avais enlevé son licol et passé sa bride sans rencontrer aucun problème, et une fois fini, j’avais pris les rênes lousses dans ma main droite pour sortir à l’extérieur de l’écurie. Le cheval m’avais suivi tête baissé comme un petit mouton. Oh! Tout ça était si naturel pour lui. Et ça l’était! Ça l’était pour moi en tout cas. Pourquoi penser qu’un cheval puisse avoir peur d’un cadrage de porte si ce n’est pas nous qui lui mettons cette idée dans la tête ?

Cette fois-là, je peux vous assurer que la propriétaire n’en croyait pas ses yeux. Elle était très fâchée, contre le cheval, contre elle-même, et ne voulait pas s’avouer qu’elle puisse être la cause de toute cette mascarade. Je souriais en dedans de moi, car je m’étais déplacé à sa demande, pour un gros problème, toujours selon ses dires.

Son non-verbal alors semblait me dire : « voyons, je ne suis pas folle, ce que je vous ai dit est vrai ». Et oui ça l’était, dans la mesure où toute vérité n’est bonne que pour soi-même. 

Suite à ses commentaires, j’avais fait et refait la manœuvre plusieurs fois jusqu’à ce qu’elle prenne conscience que peut-être, il pouvait y avoir un lien entre ce qui causait la peur du cheval, et cette anticipation qu’elle entretenait vis-à-vis la porte elle-même. C’en était devenu une obsession.

Est-ce que les choses s’étaient réglées ce jour-là? Pas vraiment.

Les choses se règlent lorsqu’une personne choisit d’ouvrir son esprit pour orienter ses propres paramètres sur des croyances plus aidantes. Et c’est là que ça devient un petit peu plus ardu. Entraîner un cheval, cela va de soi, mais pour l’humain alors …

 

Chasser le naturel et il revient au galop

J’ai eu cette jument-là à l’entraînement au sol pour un premier mois. Elle ne savait que le strict minimum dont la marche en laisse ne faisait même pas partie. Déjà en arrivant dans sa nouvelle écurie, elle était différente, beaucoup moins stressé, l’œil plus calme. 

J’avais mentionné au palefrenier-soigneur de traiter la jument comme tous les autres, sans égards spéciaux à la nourriture, sans précautions, sans restrictions, alors que chez elle, Ruby, ruait, mordait chaque personne qui daignait mettre le pied dans son box. Enfin, ici, elle avait l’air chez elle. Aussi, j’avais demandé à la propriétaire de ne pas venir à l’écurie, ni d’assister aux séances d’entraînements durant les deux premières semaines. Ça avait été dur pour elle  à accepter, mais mes conditions n’étaient pas négociables.

Ces deux semaines avaient été fort agréable pour moi et pour Ruby. 

Jamais de résistance, peut-être une petite hésitation de temps à autre, hésitation que je transformais bien vite par la dédramatisation, la rassurance et les renforcements positifs. Elle apprenait rapidement, montrait une grande intelligence, participait beaucoup, et voulait recevoir toutes les médailles, toutes les récompenses. Le Dimanche où nous avions reçu la visite de la propriétaire, la jument s’était mise à piaffer, juste en entendant le son de sa voix.

L’ancrage était encore très fort entre les deux, mais la propriétaire fut tout de même surprise des énormes progrès de sa jument.

Un peu plus tard dans la journée, en s’imaginant ce que pourrait être son retour à la maison, l’anticipation de scénarios catastrophiques puis l’anxiété avait repris le dessus et la propriétaire n’était plus du tout convaincue des résultats. Ses craintes évidentes voyageaient entre le cheval et elle, et Ruby m’avait alors exprimé dans son langage de cheval : « Faites quelque chose avec elle s’il-vous-plait ! ».

Elle avait tout appris en ce brillant mois de mai.

Fine comme une mouche,  Ruby longeait aux trois allures, marchait en laisse,

baissait sa tête dans les passages restreints.

Elle s’arrêtait et patientait le temps qu’il faut, se laissait manipuler partout sans broncher. Ça avait été une belle réussite. Tellement que les gens se disaient qu’elle devait toujours avoir été comme ça.

Au dernier jour, j’étais allé la reconduire personnellement chez elle pour l’aider à faire cette transition, et aussi pour qu’elle ait confiance en moi, qu’elle garde un bon souvenir de mon odeur, de ma voix. J’avais pris le temps d’expliquer à la propriétaire ce qu’elle devait changer dans son attitude. Comment transformer son approche pour améliorer le rapport avec sa jument, lui soulignant évidemment ma disponibilité au besoin.

Quelques jours étaient passés sans recevoir aucune nouvelle d’elles. Puis au matin du 07 juin, la propriétaire m’avait téléphoné pour me dire que tout avait recommencé. La jument s’était frappé la tête vous savez où. Le naturel revient toujours au galop ? Non.    

Des histoires de ce genre, il y en a à la tonne dans ma tête. Je pourrais vous en écrire pour les vingt prochaines années. Et c’est un peu ce qui m’a décidé un jour de laisser aller les chevaux à leur nature parfaite et d’aller corriger la source de toutes leurs difficultés, c’est-à-dire, leur maître.


Lady Isabelle xx


30.1.24

La gentillesse


J'écoutais "Persuasion" hier. Un film tiré d'un roman de Jane Austen qui relate l'histoire d'Anne Elliot ; une femme qui a été forcée d'éconduire l'homme pour lequel elle avait des sentiments huit ans auparavant. Voilà qu'il refait irruption dans sa vie et... Hé bien vous le saurez par vous-mêmes.
Outre l'histoire qui est très délicate et les décors somptueux, ce qui m'a interpellé dans ce film, c'est le langage bienveillant des gens de l'époque. La politesse, la mesure, le respect de ce qu'ils échangent ensemble, même si ceux-ci n'élabore pas sur le fond de leur pensée. Comme ça fait du bien au cœur.
Peut-être me direz-vous qu'ils étaient tous hypocrites. Oui, en quelque sorte, c'est peut-être vrai. Une multitude de squelettes garnissaient les placards des maisons. Toutefois, c'est légitime de se poser la question de ce qui est mieux entre la télé-réalité des réseaux sociaux qui font état de débordements émotifs, de souffrances, quand ce n'est pas tout simplement de la propagande d'idée comme de savoir comment haïr son voisin.
L'art de la gentillesse en société, c'est une richesse que nous avons perdu. Quand je parle de gentillesse, je fais référence à l'écoute dans un premier temps et d'une panoplie de qualités qui font friser les cheveux du beau Capitaine Wentworth. On offre un espace à l'autre pour lui permettre d'être et de s'exprimer dans ce qu'il a de plus beau, et de fil en aiguille, c'est le cœur qui s'ouvre comme une rose. Savoir écouter ? une denrée rare aujourd'hui. Les gens ont tellement besoin d'écoute qu'ils sont prêts à rebondir sur n'importe quel sujet, uniquement pour avoir l'attention nécessaire au sentiment d'exister.
L'attention représente un moyen parmi tant d'autres par lequel se diffuse la gentillesse. Sans attention, il n'y a pas de gentillesse qui soit, pas de chaleur humaine, pas de présence ni de relations entre les êtres. Lorsque nous sommes attentifs, nous accordons à l'autre la place qui souhaite avoir, dans sa propre vie, comme dans la nôtre. Chacun a besoin de ce reflet pour se regarder lui-même et bien intégrer son existence, comme la relation enfants et grands-parents qui ont appris ce qu'est la modestie. Et si un conflit existe, nous ne pouvons le régler qu'en étant attentif, non pas en ruminant dans son coin ou en fermant la porte.
Cette bienveillance, c'est peut-être un jeu, des règles de savoir-être qui aujourd'hui semblent dépassées. Pourtant, plus on les pratique, plus elles deviennent une seconde nature. Et sans contredit, si vous avez côtoyé une seule personne avec cette qualité de présence dans votre vie, je suis certaine qu'elle vous a marqué à jamais.
Vivre dans la gentillesse est un don en soi, c'est traiter ses propres démons de façon autonome, en conscience, sans polluer l'énergie de toute la maisonnée. C'est d'entretenir son jardin intérieur, mais par pure générosité. C'est de préserver les secrets des uns dans le respect de la dignité, ou de soigner son regard pour qu'il soit doux et ouvert sur le monde.
Lady Isabelle, éternelle romantique d'une autre époque xx

26.1.24

Allons-y ensemble

 


Notre chemin est parfois sinueux, à pic, parfois enneigé. Il est souvent composé de détours non prévus, d'obstacles qu'on n'avait pas vu et qui nous déstabilisent. Parfois on avance dans le brouillard ou dans la tempête. Puis, à d'autres moments, on peut y marcher rapidement en ayant le soleil qui nous sert de repère.
Chose certaine, sur ce chemin de notre vie, le fait de s'inspirer chaque jour de ce que nous avons de meilleur, d'investir notre énergie dans ce que nous voulons créer pour améliorer la vie, (et non l'inverse) en ayant en tête l'évolution LIBRE des uns et des autres, nous permet de faire un bond vibratoire en conscience.
Avec les années et les expériences de vie, j'ai compris que mon chemin et celui des autres représentent exactement la même destination. Malgré le fait que nous sommes tous uniques, à un autre niveau, nous sommes aussi tous le même être. En approches humanistes, lorsqu'on comprend que nous sommes créateurs, et que la réalité projetée ne demande que notre amour pour pouvoir se transformer et s'épanouir, la dualité devient un non-sens.
Que c'est difficile d'aimer...
Je pense que c'est MON, notre plus grand défi.
Soyons tous et toutes guidés par la grâce de notre Conscience à dissoudre nos tempêtes intérieures pour qu'elles ne se reflètent pas sur nos frères et soeurs de la terre.
C'est dans notre coeur que l'Amour nait. Faisons lui donc de la place.
Bon jeudi
Lady Isabelle xx

18.1.24

Un écran de fumée


Ce qui se produit dans la réalité externe est comme un écran de fumée qui nous embrume l'esprit. Tout est fait pour confondre et désinformer la population humaine, pour polluer la conscience par divers moyens ; comme l'allégorie de la caverne de Platon.

Ah... Si on savais...
Oui ce qu'on aperçoit s'apparente à des écrans de fumée, à des ombres que l'on croient vrais parce qu'on ne connait pas autres choses. Nos sens se sont habitués aux limites imposés. Mais en vérité, c'est une illusion mal gérée, faite d'énergie provenant du bas astral qui n'arrive plus à se contenir tellement le mémoriel collectif est plein.
C'est comparable à un film de mauvais goût financé avec de l'argent inventé, dans lequel jouent de mauvais acteurs, avec une incongruence spectaculaire dans les évènements, dans le script, dans les décors, en plus d'un marketing digne d'Ultraman et de ses monstres en papiers mâchés.
Bref, il faut être vraiment fanatique ou aveugle pour ne pas s'en rendre compte. Et si vous êtes d'accord avec moi, il y a beaucoup d'aveugles et de gens qui ne veulent pas voir ici-bas dans les deux clans, le noir et le blanc.
Mais c'est ok. Ça leur appartient !
D'un autre côté, l'énergie mis pour tenter de décoder un mirage, et de mettre en perspective de la fumée rend les gens aussi fous que ceux qui ont conçu ces pièges de premier ordre. Il n'y a aucune cohérence là dedans, aucune logique ni dans un sens ni dans l'autre, aucune référence qui ne soit pas de l'air qu'on essaie d'attraper avec ses mains. La résultante est toujours la même ; une perte de vitalité.
Bien que certains y gagnent en popularité, il reste que ce ne sont que des gains d'egos à l'intérieur du scénario. Un besoin de s'identifier à un rôle pour tenter de dépasser son karma.
Quand le dicton mentionne d'en parler en mal ou en bien, cela revient au même. On polarise. En ce qui me concerne, j'essaie de me détacher de la désinformation. Je suis témoin des tentatives de détournement de l'esprit, celles ou on s'identifie à tout ce qu'on ne souhaite pas.
Mais je sais, c'est la difficulté à être autonome et à vivre pour soi-même qui rend le cheminement ardu. On a tellement besoin des autres pour se voir soi-même, pour savoir qu'on existe, et en même temps, on rejette, on projette ailleurs tout ce que l'on ne tolère pas de soi.
Le mieux est de passer à autre chose !
Si la réalité est faite de croyances, s'il-vous-plait de les changer !
Qu'on se réveille demain matin sur une nouvelle projection 🙂
Fuck Dav@s, Fuck The NWO, Y'a tellement de choses plus intéressantes que ça.
Bonne journée
Lady Isabelle xx

7.1.24

Énergie

 

TOUT EST UN
TOUT EST ÉVOLUTION
Les énergies actuelles sont insistantes. Ah ça oui !
Elles déploient leurs attirails comme une armée en guerre pour mobiliser notre conscience.
Les bombes se succèdent une après l'autre.
Elles demandent notre attention continuelle, mais pourquoi ?
Parce qu'elles ont besoin de vivre.
Or mes amis(es), vous savez bien que si une expression tient autant à se faire entendre, c'est qu'elle a peur qu'on l'oublie.
Elle a peur de mourir.
Et dites-vous bien que celui qui propage la peur est hanté par elle.
Si cette énergie était convaincue de suivre l'évolution des Lois Universelles, comme ceux qui sont alignés avec les principes de la vie, elle pourrait vivre oisivement elle aussi, dans la confiance que tout est parfait, que l'éternité même est son fondement.
Alors...
J'en conclue qu'elle sait.
Oui elle sait très bien qu'elle va à l'encontre des Lois de l'Univers et quoiqu'on veuille manipuler la vie en la remplaçant par des artifices, cet agenda est voué à l'échec.
L'égrégore du bas astral est nourrit par le bas, par les hommes, par la peur, et c'est ce même égrégore qui les fera périr. Étant donné qu'ils ne savent pas quoi faire, ils essaient de garder la tête hors de l'eau en faisant plus de ce qui ne marche pas.
C'est leur folie de penser que de pouvoir maintenir une matrice inversé encore bien longtemps soit permis. La spirale les amènent eux aussi dans la transformation, dans la transmutation de ce qu'ils ont été.
Leur règne de dictature s'achève.
Si on souhaite que ces énergies se dissipent plus vite et quittent notre champ éthérique, nous sommes appelés à nourrir autre chose dans notre conscience. Maintenant.
Laissons-les s'enliser dans leur chute. La loi du karma les attends.
Tout cela ne nous appartient plus.
Lady Isabelle xx

25.12.23

Regard sur le monde

 


Le cerveau, fondement de la personnalité 

C’est dans les années 1870 que William James, psychologue américain, évoque la théorie des 3 sections du cerveau. En 1971, Paul McLean, neuroscientifique, développe quant à lui la théorie du cerveau tri-unique qui sera relayée par le Professeur Henri LABORIT. McLean identifie 3 niveaux cérébraux se rapportant aux différentes étapes de l’évolution animale : le reptilien siège de l’instinct de survie, le limbique siège des émotions et le néocortex siège de la logique et du raisonnement.

Ces trois cerveaux fonctionnent de façon hiérarchique. Le premier niveau traite de l’urgence à priori, et en cas de danger, filtre l’accès au niveau supérieur. Si les besoins primaires sont satisfaits, et seulement si, alors l’information sera transmise au second cerveau, le limbique, qui la gère sous forme d’émotions selon une échelle bien simple qui se lit ainsi :

En fonction de son attrait, le cerveau Limbique évalue la pertinence de transmettre ou non l’information au niveau du cortex afin d’en favoriser l’analyse et de la traiter de façon plus rationnelle. Comme il n’y a pas d’intégration des trois cerveaux dans un même temps, une information peut être bloquée au premier ou au second niveau. 

Le tempérament instinctif dispose d’un cerveau reptilien qui a tendance à bloquer l’information à son niveau pour l’inciter à demeurer dans la pulsion. D’ailleurs, la plupart des gens conditionnés par les modèles sociétaires ou les patterns familiaux vivent à partir du cerveau reptilien, qui est réactif. On n’a qu’à penser aux différents agendas de peurs qui ont jalonnés les dernières années à partir de 2020 pour mieux comprendre. La peur étant une des émotions les plus basses, les gens ont tout simplement cessé de réfléchir pour se laisser guider par d'autres. Ils n'ont pas eu accès à leur discernement (néo-cortex) pour bien comprendre quels étaient les enjeux réels. Pour eux, c’est comme si on avait pressé un bouton d’urgence qui provoque une réaction de survie. L’information reste bloquée à ce niveau.

Le tempérament émotionnel quant à lui, exploite son cerveau limbique pour vivre par-delà ses émotions, car il s’est affranchi de certains filtres du cerveau reptilien. Toutefois, il bloque l’information au niveau limbique sans chercher à comprendre ce qui se passe, ni à l’analyser. On dit de ces gens qu’ils sont émotifs car ils se laissent diriger par leurs émotions.

On peut comprendre que l’émotion est fortement sollicitée de par les différents canaux de la technologie moderne. Si vous êtes sur les réseaux sociaux par exemple, vous remarquerez que les adeptes n’ont qu’une chose en tête, soit d’attirer l’attention de plus de gens possible. C’est l’instinct grégaire. Ils se servent alors d'images, de courts métrages, de publicités, de films ou séries télévisées pour solliciter le cerveau limbique, et ce, pour maintenir l’information à ce niveau. Ainsi, on vend une idée, on conditionne les cerveaux à même des stéréotypes, des tendances et modes pour créer des besoins qui seront répondus par la consommation de tels ou tels produits. Comme nous avons tous des blessures enregistrées au niveau du corps émotionnel, ces résonances sont facilement réactivées et cherchent constamment à être nourrit. Les niveaux de conscience de type 2 et 3 fonctionnent à partir du corps émotionnel. Ils peuvent aisément être manipulés.

Le tempérament mental ou rationnel, dispose d’un niveau de conscience qui l’affranchit des deux autres. Lorsqu’il s’est libéré des conditionnements mentaux qui l’emprisonne, il peut alors analyser, observer plus objectivement, faire des synthèses et des liens. Assurément, il est le cerveau le plus récent et en même temps, le plus développé. L'observation de l'actualité nous permet de distinguer ce que la venue de l'intelligence artificielle aura pour conséquence du point de vue du développement de la conscience humaine. 

Il y a fort à parier que le néo-cortex des années 2035 s'atrophiera comme un muscle qu'on ne sollicite plus. Dès lors, les discours sur le transhumanisme seront vu comme des opportunités d'avancement et prêteront main forte à cette perte d'intelligence mondiale.


Lady Isabelle

Les approches humanistes, extrait 


Âmes mémorielles et programmations

  Non seulement les programmations sont-elles acquises à partir du jour un de notre existence, mais dans le mémoriel de l’âme, certaines pro...