20.12.17

Plus près qu'on ne le croit

Mes amis(es), avoir l'esprit des fêtes, c'est de garder a l'esprit qu'il nous importe de donner a ceux qui en ont moins...
Souvenez-vous de la petite marchande d'allumette, ce célèbre conte de Hans Christian Andersen. Pour ceux et celles qui ne s'en souviennent pas...
L'histoire se déroule au soir du Nouvel An. Une petite fille marchande d'allumettes erre en guenilles dans les rues enneigées d'une ville, sans trouver aucun acheteur. Cette petite fille est exploitée par son père, qui la battra si elle ne rapporte pas d'argent. À la fin de la journée, épuisée et grelottante mais n'osant rentrer à la maison, elle se blottit dans une encoignure entre deux maisons.
Pour se réchauffer, elle craque une allumette. Elle est aussitôt émerveillée par la flamme, qui rend le mur transparent et laisse voir un grand poêle en fonte aux ornements de cuivre. Malheureusement, l'allumette se consume.
Elle frotte alors une seconde allumette et aperçoit la table richement garnie d'un repas de fête. Sur une belle nappe blanche couverte de vaisselle en fine porcelaine trône une appétissante oie rôtie, garnie de compote de pommes.
Une troisième allumette lui montre un magnifique sapin de Noël, orné de bougies multicolores et d'innombrables jouets. Mais quand l'allumette s'éteint, l'arbre semble monter au ciel et ses bougies se transformer en étoiles. L'enfant se souvient alors des paroles de sa grand-mère décédée depuis peu, le seul être qui l'ait aimée : « quand on voit filer une étoile, c'est une âme qui monte au paradis ».
Une quatrième allumette produit une grande clarté et fait apparaître la grand-mère. Alors l'enfant allume fébrilement tout le reste des allumettes, de peur de voir sa grand-mère s'évanouir comme les visions précédentes. Mais la vieille femme prend l'enfant dans ses bras et toutes deux s’envolent au paradis.
Le lendemain, on retrouve la petite fille sans vie, avec un grand sourire aux lèvres. On la croit morte de froid, ignorant qu'elle a rejoint pour toujours sa grand-mère chérie pour jouir de la félicité céleste.
Des marchands d'allumettes, on en retrouve partout autour de soi. Suffit de bien regarder et d'avoir un cœur ouvert.
Ils / elles ne viendront pas frapper directement a votre porte pour demander de l'aide, mais en quelque part... vous sentirez ce qu'est la bonne chose a faire pour allez vers eux, aider ces gens plus démunis.
Soyons charitable !
Aimes ton prochain comme toi-même xx



15.12.17

Avoir du guts ...


L'une des plus intéressantes choses que j'ai mis à mon calendrier cette année, ce sont les Voyages.
J'ai attendu tellement longtemps... le meilleur temps, la somme d'argent nécessaire, le compagnon de voyage idéal ou encore, le "guts" de le faire. Et bien je n'attends plus.
Lorsqu'on avance en âge, on se rend bien compte de l'urgence de vivre. Les fleurs du tapis dans lesquelles on s'enfargeait jadis disparaissent tout d'un coup comme par magie.
On apprend à se respecter parce qu'on se connaît mieux, et en même temps, on devient plus tolérant envers les autres et leur histoire de vie puisque tout cela ne nous appartient pas.
La gratitude y est pour beaucoup aussi.
Savoir dire merci à ce que l'on est devenu grâce à nos choix personnels est réconfortant, surtout dans ces moments où on perd de vue son chemin.
Il faut savoir se donner ses gallons, se féliciter, se célébrer... et les voyages, grands ou petits font maintenant partis de mes habitudes de vie. C'est ma façon à moi de célébrer ma vie !
Bonne journée à tous et toutes xx

14.12.17

Un BOF ...



Cette année pour ma fête, je n'arrive pas à changer mon état interne.
Ouais... mon émotion si je la décris bien aujourd'hui, c'est un "bof".
Bah ... J'aurais aimé rester à 55 ans.
Il me semble que le chiffre était chanceux.
Les événements que j'ai vécu par contre ont été de toutes les couleurs ; heureux et malheureux, puis heureux encore. Comme quoi la vie trouve toujours son équilibre. Vive la fin de cette année 9 !
Vous savez, j'ai eu l'impression de vivre 20 ans en l'espace d'une seule année tant l'intensité était présente. J'ai fais des pas de géants dans certains domaines, et dans bien d'autres, oui, je stagne encore. Voilà où se situe mon imperfection, quand je pense par exemple à la solitude, parfois c'est si difficile à vivre.
Vous vous imaginez qu'à la question : Qui peut répondre pour vous en cas d'urgence, moi je laisse la case vide. Et qu'en des temps où l'on est supposé être avec des proches, pour moi, personne n'est là.
Normal, je suis un leader !
Alors, je vous avouerai qu'en dehors de mon travail et des personnes que j'accompagne, je suis heureuse d'avoir un si grand réseau social pour me soutenir et m'assister, qui en des jours comme aujourd'hui, me manifeste un peu beaucoup d'amour. Si vous saviez combien j'apprécie cela.
Je ne sais pas ce que j'attends pour passer à autre chose. Dites-le moi donc ! Le manque est parfois un trou si béant qu'il devient pénible à regarder. Et vient ce temps justement où il nous faut décrocher de ces conditionnements mentaux afin de pouvoir préserver sa santé et regarder son avenir. Je suis en accord avec tout ça. Rien ne se fait en claquant des doigts vous savez. On s'accueille dans ce que l'on vit. On accueille tout ce qui parle en nous, et on harmonise son intérieur petit à petit. Il faut les travailler ces automatismes en y faisant face ; ce que je fais d'ailleurs depuis bien des années avec beaucoup de courage. 
Ce que je me souhaite pour mes 56 ans, c'est une clan, mon clan.
Je suis un chef de clan... pas de clan !
Probablement que j'aurai à le construire moi même ce clan que je protégerai et aimerai avec tout mon coeur, mais étant une gagnante, je me lance ce défi de créer ce que seront mes 20 prochaines plus belles années.
Comprenez mes amis(es) que je ne suis pas à plaindre dans ma vie en général. A bien des égards, je suis la femme la plus chanceuse et la plus heureuse qui soit.
Je vous dis Merci mille fois d'être au rendez-vous aujourd'hui et à tous les jours, d'apprécier mes petites complaintes et mes grandes aspirations dans la mesure ou je vous les partage.
Je suis choyée... je suis bénie de vous avoir dans ma vie.
Bisous et câlins

16.11.17

Mots de l'âme

Pour réserver votre copie, laissez moi vos coordonnées courriel en message privé. Merci



26.9.17

L'histoire de Marguerite

J’ai connu Marguerite, une dame vraiment accueillante chez qui j’ai été hébergé le temps d’une formation. Marguerite était une femme qui avait vécu sa vie comme vous et moi, avec ce qu’elle comporte de hauts et de bas. Elle s’en était bien tirée si on peut le dire ainsi, grâce à une qualité spéciale, une qualité que chacun de nous devrions cultiver. Je vous raconte :

Marguerite était amoureuse de sa maison. Sans plus ni moins, elle lui parlait, échangeait avec elle ses réflexions sur la vie. Elle la sentait. Étrange me direz-vous, oui, elle la sentait comme si cette maison avait une âme et un cœur qui battait avec le sien à l’unisson. Marguerite avait peut-être choisie cette maison il y a quelques années, mais sans contredit elle avouait que c’était la maison qui l’avait choisie, elle.

Tous les objets sans exceptions, tous les meubles, toutes les plantes de cette maison avaient été imaginés, désirés, choisis avec minutie, accueillis, interrogés puis aimés tour à tour par Marguerite. À chaque acquisition, elle avait pris le temps d’observer et de questionner en long et en large qu’elle était la nature de l'objet en particulier, ce qu’il représentait réellement pour elle, le rôle qu’il voulait bien jouer au sein de sa maison, ainsi que la place, la parfaite place qu’il voulait occuper.
Marguerite percevait les réponses de par son ressenti intérieur. Quand ça se traduisait sous forme de légers frissons sur la nuque, elle savait que c’était ça, comme un accord tacite.

«Quand elle déposait son regard sur les choses, Marguerite leur donnait la vie».

Je peux vous dire qu’après avoir passé quelques jours chez Marguerite, on pouvait ressentir toute la vie, toute l’énergie émanant des objets, des pièces, de la maison comme telle, tout cela se mettre à respirer et interagir avec nous. Si bien que moi aussi, je ressentais tout comme elle qu’on m’adressait la parole de différentes façons, par-delà ce que je considérais à première vue être très matériel. Je ne m’étais jamais arrêté à l’essence même de toutes ces choses porteuses de sens tellement j’étais habitué à n'y accorder que peu d'importance.

Il s’agissait d’un incroyable enseignement que j’avais eu la chance de vivre avec cette personne qui respectait et soulignait, voire qui appréciait chaque chose en leur reconnaissant une âme, en leur offrant autant de valeur. Comme quoi l’amour que l’on porte dans son cœur, qu’il soit destiné à un être ou à une maison crée le même résultat au niveau de l’énergie de vie.

Aimer... c'est vivre !
Extrait de : Ce que les chevaux m'ont appris 



20.9.17

Choix


Dans la vie, nous sommes constamment en face de choix à faire. Lorsqu'il n'y a que 2 choix, on parle alors de dilemme, et avec lui vient le combat intérieur.

Mes amis(es), sachez multiplier vos choix en 4 en 6 ou en 8 car plus on a de choix mieux ça vaut, et plus on s'adapte à la fois aux contextes et aux autres.


Par contre, quand un appel vient du coeur et fait vibrer tous les corps, suivez-le. Les miracles arrivent à point à ceux qui lâchent prise sur le contrôle et s'abandonnent complètement à la vie.



12.9.17

Mon rêve

Je me suis réveillée ce matin sur la plage de Mavilette ; ce lieu magnifique que je ne suis pas prête d'oublier. C'était une réponse claire je pense, de mon esprit qui me ramène à mon essence quand je m'égare un peu.

Ce que j'ai vécu là bas se conjugue en différents verbes, mais celui qui me vient en tête là maintenant, c'est ÊTRE. Oui, être moi.

Mes amis(es) on a besoin des autres pour savoir que l'on existe. Vous êtes d'accord avec ça ! C'est par nos interactions, par nos... rapports avec la vie qu'on arrive à définir vraiment qui ont est. Alors, si la vie n'est qu'un reflet, j'ai trouvé le mien quand jai mis le pied sur le sable de Mavilette Beach.

Car aussitôt je me suis senti m'habiter complètement. Wow... c'etait tout un effet je vous le dit. Je me suis vu pour la première fois. Je me suis reconnue ! Cette partie de la terre était non seulement vaste et aimante, elle m'attendait les bras ouvert, avec une capacité d'accueil qui m'a touché droit au coeur.

C'était la première fois que je me sentais aimée autant, à la fois par la mer, par la magie de l'endroit, et je me suis ouverte à la gratitude éternelle d'avoir pu vivre cette extraordinaire expérience. Aujourd'hui, elle me sert de point de repère. C'est un sentiment fort que je reconnais bien, comme un GPS qui me montre la route ; ma route.

Comme j'aimerais que ce soit précisément là !



UNITÉ

  Le principe de responsabilité universelle implique un niveau de conscience qu'on peut toutefois apprendre à développer. Ce n'est p...